• Il y a cinq ans, des amis, Nicole et René, m'avaient offert un pied de sabot de Vénus cultivé. (il est interdit de se procurer un pied de sabot de Vénus dans la nature). Je ne savais d'ailleurs pas que certaines espèces de sabots de Vénus étaient cultivables !

    La fleur, magnifique n'avait, hélas, duré qu'un temps.

    Depuis rien... Et voici que depuis tant d'années, le pied a refleuri, plus beau encore que la première fois !

    Voici la fleur en bouton...

    Un sabot de Vénus dans la maison...

    et épanouie :

    Un sabot de Vénus dans la maison...

    Quelle beauté...dire que j'avais failli jeter le pied qui, je pensais, ne refleurirait plus ! il ne faut jamais douter de la nature...

    Un sabot de Vénus dans la maison...


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  • Quelle fut pas ma surprise de me trouver nez à nez avec un superbe chameau, mardi dernier, près de chez moi !

    J'ai appris ensuite qu'un petit cirque s'était installé sur le parking de l'ancien Weldom...

    Un dromadaire dans mon quartier...

    Un dromadaire dans mon quartier...

    En faisant mes courses samedi, j'ai rencontré un jeune homme qui m'a dit que le cirque était en pause sur le parking, à la suite d'une avarie de véhicule. Donc pas de représentations...mais on peut aller voir la ménagerie. Peut-être une idée de sortie pour aujourd'hui ?


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  • Jean-Pierre Gurga m'envoie une étonnante série de photos d'oiseaux qu'il a prises en novembre 2015. Voici ce qu'il nous explique :

    Début novembre, plusieurs quartiers de la ville ont été envahis par une quantité impressionnante d'étourneaux.

    Au crépuscule, ils arrivaient par vagues de plusieurs centaines , tournoyaient et finissaient par se poser dans un bouquet d'arbres au milieu des habitations, afin d'y passer la nuit, tout ceci avec des cris aigus et incessants.

    L'occasion était belle d'essayer de les photographier, mais les conditions de prises de vue, quant à elles, l'étaient beaucoup moins. Contrairement à ce que les photos laissent penser, il faisait pratiquement nuit lorsque les oiseaux terminaient de se poser.

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Afin de donner un peu de clarté aux images, il a fallu surexposer, et de ce fait, jouer sur la vitesse d'obturation.

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Si la vitesse d'obturation était tout juste limite pour garantir un minimum de netteté sur les oiseaux perchés, elle était bien trop lente pour figer les oiseaux en vol, ce qui a généré ces arabesques rappelant les coups de pinceaux et qui, à travers l'impression de mouvement, donnent de la vie aux images.

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga

    Des vols d'étourneaux photographiés à Châtillon sur Seine par Jean-Pierre Gurga


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  •  Elevée vers 1512, l'église Saint-Jacques et Saint-Philippe de Lentilles,  dans l'Aube, a toujours été considérée comme la plus typique des églises à pans de bois de Champagne.

    Ses formes allongées sont accusées, non seulement par l'absence de transept, mais aussi par la couverture des bas-côtés reliée à celle du porche.

    La façade ouest et la flèche, à quatre abat-son superposés, sont tapissées d'écailles de bois

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    Le porche présente une arcade en saillie sur le toit, surmontée d'une statue de saint Jacques le Majeur, marquant bien l'axe de l'entrée. Cette statue mesure 110 cm, elle date du XVIème siècle.

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    A l'intérieur, on découvre un élément singulier que l'on ne rencontre qu'à Lentilles : des fenêtres circulaires ou "oculi" surmontant les baies du choeur polygonal. Elles sont garnies de verrières du XVIème siècle.

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    Le plafond à motifs de losanges a été redécouvert lorsque fut démontée dans les années 70, la fausse voûte en plâtre datant du XIXème siècle.

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    Quelques beaux bâtons de procession (XIXème siècle) se trouvent le long de la nef.

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

    La cuve des fonts baptismaux a été sculptée au XVIIIème siècle par Monsieur Cortier.

    L'église à pans de bois de Lentilles (Aube)

     


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  • en présence de son réalisateur Rémi Lange.

    Projection du film "Le Chanteur" au cinéma Le Select...


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  • Il y a eu aussi, dans notre ville, de magnifiques décorations visibles seulement de jour !!

    Il semble que le jury ne les ait pas vues, c'est dommage...

    Une lectrice m'envoie cette photo et son commentaire :

    Il n'y a pas que des maisons illumionées à Châtillon sur Seine...

    "Il y avait aussi des rues oubliées des châtillonnais et pourtant parcourues par des dizaines de visiteurs étrangers, des décorations, certes moins clinquantes,mais très appréciées. Elles avaient surtout l'avantage d'y être vues de jour sans le pouvoir "magique du LED""


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