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Collection de référence, le fonds Daum (725 verreries dont environ 300 sont exposées) est présenté dans les 600 m2 du sous-sol du musée, autour des vestiges de fortifications de l’imposant bastion d’Haussonville, construit vers 1560 et remodelé par Vauban.
L'exposition offre un panorama complet des recherches et des inventions incessantes et diversifiées de la manufacture en terme de techniques, de matières, de fonctions, de décors et de formes (pâte de verre, cristal, gravure à la roue ou à l’acide, décor intercalaire..) depuis son origine en 1878 jusqu'aux créations actuelles.
Avant la salle, présentation de quelques verres...pour nous mettre en appétit !
En arrivant dans la salle d'exposition, c'est un éblouissement.
On peut y admirer de merveilleux vases, des lampes sublimes dont beaucoup sont d'Emile Gallé..
Vase aux coquelicots :
Vase aux raisins :
Vase aux raisins :
Vase au hanneton :
Vase monnaie du pape :
lampe "anémone pulsatille" à gauche
Vase "colchique" :
Vase "Le corbeau et le renard" :
Vase à décor de feuilles sèches de marronnier :
Vase "Libellule et renoncules" :
Vase "paysage" :
Vases "paysages" :
Vase verre de jade à monture métallique :
Coupe "Au serpent":
Quelques images de la place Stanislas, traversée pour rejoindre le car qui nous a ramenés à Châtillon.
Cette place a été construite entre 1751 et 1755 sous la direction de l'architecte Emmanuel Héré.
Elle est entourée de six grilles monumentales en fer forgé rehaussées de feuilles d'or, signées par Jean Lamour.
La statue du duc de Lorraine Stanislas Leszczyński :
La Mairie de Nancy :
La fontaine de Neptune
La fontaine d'Amphitrite :
l'opéra de Nancy :
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Pour rejoindre le Musée des Beaux-Arts de Nancy, il faut traverser la magnifique place Stanislas, hélas encombrée de terrasses de café...
Comme notre visite avait pour thème "L'Art Nouveau", notre guide nous a conduit vers des peintures de cette époque, en particulier celles de Victor Prouvé.
En montant, nous admirons un vase d'Ernest Bussière : "Mélancolie d'automne" :
Victor Prouvé : "l'île heureuse", ici tout n'est qu'ordre, beauté , luxe et volupté :
Victor Prouvé : "La joie de vivre"
La grande salle du rez de chaussée abrite des oeuvres d'artistes du XIXème et XXème siècle.
Une autre peinture de Victor Prouvé : "les voluptueux"
Le Musée des Beaux Arts de Nancy possède beaucoup de peintures de grands artistes, voici celles de quelques grands noms qui m'ont attirée.
Edouard Vuillard :
Pablo Picasso :
Amedeo Modigliani :
Suzanne Valladon :
Suzanne Valladon :
Juan Gris :
Paul Signac :
André Derain :
Henri Matisse :
Maurice Utrillo :
Moïse Kisling :
Jacques Majorelle :
Georges Rouault :
Raoul Dufy :
Edouard Manet :
Aristide Maillol :
Jean Prouvé est le fils de Victor Prouvé, peintre "Art Nouveau" de l'école de Nancy, qui évolua dans le même milieu artistique que Gallé et Majorelle.
Apprenti chez un forgeron, il s'initia à la ferronnerie d'art. En 1924, il ouvrit un atelier à Nancy. Au cours des années 1920 et 1930, Jean Prouvé réalisa des sièges en métal et pour cela aborda de front les problèmes de structure. Le Corbusier, Mallet-Stevens et Pierre et Jeanneret apprécièrent son modernisme sans compromis et lui commandèrent des structures métalliques fonctionnelles, souvent livrés en kit à des hôpitaux, des écoles et des bureaux.Le Musée des Beaux Arts de Nancy lui a consacré une salle.
Une autre salle présente "pièce avec une infinité de miroirs et de lucioles sur l'eau" de Yayoi Kusama :
Après avoir admiré ces nombreuses oeuvres d'art, nous sommes descendus au sous-sol où nous attendait la merveilleuse collection de vases et de lampes Daum...
L'article, ce sera pour demain...
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Par Christaldesaintmarc dans -LES SOUVENIRS DE PIERRE ROY d'Aisey sur Seine le 28 Avril 2017 à 06:00
Le repas de noce après la cérémonie...
J’ai eu à exécuter des repas de noce comptant de 40 à 100 et même 150 invités. Tout ce monde passait à table vers 13heures .
La salle ? elle était souvent dans une grange, agencée avec des draps aux murs, décorée de fleurs, de branches, de guirlandes.
La lumière était soit des lampes à pétrole à bec suspendues, plus tard l’électricité suivant les possibilités.
Tables: des plateaux sur tréteaux, entourées de bancs de bois comme sièges, seule la table d’honneur avait des chaises.
Cette « salle » était chauffée par des braséros à charbon de bois, il n’y faisait pas très chaud, aussi les invités d’un certain âge gardaient manteaux et pardessus.
Les tables étaient garnies d’un chemin de table, les serviettes pliées en bonnet d’évêque méticuleusement posées sur les assiettes, couverts, trois verres pour les vins plus la flûte à champagne, bouteilles de vins rouge et blanc, carafe d’eau.
Les bons vins étaient servis accompagnant les plats, une ou deux pièces montées moka, il ne restait plus guère de place sur les tables, les vases de fleurs n’y trouvaient pas toujours place.
La présentation créait l’ambiance du bonheur nuptial, vaisselle, verres, couverts etc… étaient empruntés à des parents ou loués au magasin Michel Regnault à Châtillon.
Chaque menu portait le nom du convive et déterminait sa place, on s’évertuait à lire et relire ce menu, discutant avec plaisir de ce qui allait être offert aux papilles gustatives de toutes ces bouches gourmandes.
Le service commençait, exécuté par des jeunes filles ou femmes habiles de la région qui s’étaient spécialisées dans les réunions de bouche. Ingénieuses, adroites, dévouées, service parfois périlleux, la nuit ou sous la pluie, car la cuisine était souvent préparée dans un local indépendant (chambre à four), traverser la cour la nuit, sans lumière.
A l’instant des desserts, un garçon se faufilait sous la table des mariés, muni d’un ruban bleu pâle, chatouillait les cuisses de la mariée, surprise elle poussait un grand cri ! Le coquin sortait de dessous la table et exhibait les rubans en s’exclamant « La jarretière de la mariée ! ». Et les invités de pousser un « Vive la mariée ! » et applaudissaient.Les rubans étaient coupés en petits morceaux, montés sur une épingle que l’on accrochait sur la poitrine, et en même temps deux couples faisaient une quête parmi l’assistance.
Le produit était compté, les mariés annonçaient que cette somme serait versée à une bonne œuvre sociale.
Après le repas du soir, une quête était faite au profit du personnel ayant participé au travail et au service de la noce.Après les desserts, le champagne, les convives se devaient de souffler un peu.
Commençaient alors la diction de récits, monologues pétillants et spirituels par des personnes joviales, chansons sentimentales même sur une fausse note, applaudies plus ou moins, entrecoupées de farces et attrapes, d’un air de violon de Papiche, avec ses rengaines, monologues monocordes « les pommes aux biques,les chaines d’agnons, les poères a leu grand quoms, j’ai la rate qui s’dilate… »
Cette ambiance avait le pouvoir d’apporter une bonne humeur qui facilitait la digestion, on ne souffrait pas de ces excès gastronomiques.
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Après la visite du Musée de l'école de Nancy, consacrée aux grands artistes de "l'Art Nouveau", nous sommes allés déjeuner à la brasserie "L'Excelsior" .
Cette brasserie s'est imposée comme l'un des plus remarquables chefs d'oeuvres de l'école de Nancy, alliance de l'art et de l'industrie.
Outre sa façade extérieure typique de l'Art Nouveau, confiée aux architectes Lucien Weissemburger et Alexandre Mienville...
De vastes baies ouvrent sur une majestueuse salle de 25 mètres sur 12 mètres.
Le célèbre verrier Jacques Grüber s'est vu confier la réalisation des dix verrières.
Un montage trouvé sur Wikipédia, car il m'a été impossible de photographier les détails superbes du vitrail de Jacques Grüber :
Galetier et Burtin, sculpteurs, ont réalisé les fougères accrochées au plafond.
Trois cents becs lumineux, lustres et appliques en cuivre ciselé sont signés Daum
Le sol est aussi décoré de mosaïques Art Nouveau...
Le mobilier en acajou massif de Cuba a été conçu par Louis Majorelle.
Après l'apéritif, offert par l'Association Culturelle Châtillonnaise...
un repas délicieux nous a été servi.
Le dessert était "Le tout Nancy", une spécialité de l'Excelsior : un parfait glacé aux éclats de macaron et de bergamote, et coulis de mirabelles.
Le classement de l'Excelsior comme monument historique en 1976, grâce à des Nancéiens passionnés d'Art Nouveau, a sauvé la brasserie de sa démolition.
Après le repas, nous avons parcouru en bus les rues de Nancy pour admirer les nombreuses maisons "Art Nouveau" de la ville...je n'ai hélas pu en photographier que quelques unes....
Villa les Glycines :
Villa Hélène :
Villa Marguerite :
Maison César Pain :
Petit château Gallé :
.
Nous sommes arrivés ensuite près d'une célèbre maison typique de "L'Art Nouveau", la "Maison Bergeret".
La "Maison Bergeret" est un hôtel particulier dessiné dans le style École de Nancy par l'architecte Lucien Weissenburger.
Elle a été construite entre 1903 et 1905 pour l'imprimeur Albert Bergeret.
Après une formation aux techniques de l'imprimerie, de la photographie et de la phototypie à Paris, Albert Bergeret intègra en 1886 les imprimeries Royer à Nancy, Albert Bergeret y dirigea alors l'atelier de phototypie.
Dès 1898 il créa sa propre entreprise pour fabriquer des cartes postales illustrées : les Imprimeries A. Bergeret & Cie.Les premières cartes de vues de ville portèrent la mention « Phototypie A. Bergeret et Cie - Nancy " , puis vint la commercialisation de cartes fantaisie. 25 millions de cartes seront fabriquées en 1900, 75 millions en 1903.
Face à ce succès, le premier atelier de la rue de la Pépinière s’avèra trop petit. L’architecte Lucien Weissenburger fut choisi pour construire d’autres bâtiments rue Lionnois (1901) pour son imprimerie ainsi que sa demeure familiale (1903), juste à côté.Nous avons eu la chance de pouvoir visiter la Maison Bergeret, qui est une demeure privée . Elle accueille aujourd’hui des services de l'Université de Lorraine.
La porte à l'intérieur : fer forgé et panneaux de verre, décor monnaie du pape et gui.
Les ferronneries ont été réalisées par Louis Majorelle et Eugène Soutif. La monnaie du pape en constitue le thème décoratif principal.
En haut de l'escalier, un superbe vitrail de Jacques Grüber: "Roses et mouettes".
Au plafond une toile de Victor Prouvé.
Le jardin d'hiver est constitué des vitraux de Joseph Janin.
des briques de verre et des daturas....
un paon sublime...
Certains meubles d'Eugène Vallin ont été conservés, notre guide vous les commente.
Dès 1898 Bergeret créa sa propre entreprise pour fabriquer des cartes postales illustrées : les Imprimeries A. Bergeret & Cie.
Au sol, toujours la monnaie du pape...
Un dernier coup d'oeil à cette si belle maison, avant de nous diriger vers le musée des Beaux Arts, place Stanislas.
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Un superbe voyage à la découverte de l'Art Nouveau à Nancy, a été proposé par l'Association Culturelle Châtillonnaise à ses adhérents.
Ce voyage avait été précédé par deux conférences , l'une par Marlène Gossmann "le style Art Nouveau", l'autre par Pauline Andlauer "L'Art Nouveau en architecture, ferronnerie, ébénisterie".
Quelques mots sur ce que l'on a appelé "l'Art Nouveau" :
Sous l'impulsion décisive d'Emile Gallé, céramiste, verrier et ébéniste, "l'Art Nouveau" connut à Nancy un développement exceptionnel.
La capitale lorraine devint en l'espace de quelques années un foyer très dynamique de l'art décoratif français. Textile, reliure, bijoux, céramique et surtout verrerie, mobilier, vitrail et architecture participèrent à un mouvement de rénovation qui voulait affirmer "l'art dans tout" et "l'art pour tous".
Les efforts d'Emile Gallé connurent un grand succès lors de l'exposition universelle de 1889, puis à celle de 1900 avec l'apparition de jeunes talents : Louis Majorelle, les frères Daum, Eugène Vallin, Jacques Grüber, Victor Prouvé.
Le Musée de l'école de Nancy que nous avons visité se trouve dans l'ancienne propriété d'Eugène Corbin, collectionneur. Celui-ci en fit don à la ville de Nancy pour abriter beaucoup de réalisations d'Art Nouveau.
Notre guide nous a parfaitement présenté les riches collections du musée.
Ce tableau nous montre la famille Corbin déjeunant sur la terrasse de sa maison de la rue du Sergent Blandan, devenu musée de l'école de Nancy.
Marcel Corette a peint ce "goûter sur la terrasse" en 1938.
Voici une étagère-bambou d'Emile Gallé :
Une desserte "les blés" d'Emile Gallé :
Un cabinet de chêne lorrain réalisé en collaboration par Emile Gallé et Victor Prouvé :
Dans ce salon tous les meubles aux décors "ombelles", et la lampe, sont d'Emile Gallé.
Nous avons été séparés en deux groupes. Pendant que l'autre groupe visitait le reste du Musée de l'école de Nancy, nous nous sommes rendus dans le parc....
pour visiter une curieuse construction appelée "l'aquarium".
Cet édifice fut commandé par Eugène Corbin (l'ancien propriétaire de la maison) à l'architecte nancéien Lucien Weissburger en 1904.
Il fut réalisé avec l'esprit des fabriques du XVIIIème siècle, il s'agit d'une des constructions les plus originales de l'époque. C'était un lieu de détente et de contemplation dédié au monde aquatique.
Le sous-sol et le rez de chaussée, avec les aquariums, sont dédiés à la faune marine. Au premier étage une terrasse panoramique domine le jardin.
Les portes et les impostes des fenêtres sont ornés de vitraux de Jacques Grüber.
En retournant au musée, nous passons devant une porte en chêne qui fut exécutée en 1897 par l'ébéniste Eugène Vallin pour les ateliers d'Emile Gallé, le décor stylisé se compose de feuilles de marronnier.
A l'entrée du musée, on peut admirer une superbe table d'Emile Gallé, intitulée "Le Rhin" (1889)
Le décor en marqueterie a été réalisé d'après un décor de Victor Prouvé.
Dans un couloir est installée une banquette-bibliothèque-bureau "au mineur" réalisée par Eugène Vallin.
Ce meuble avait été commandé par Jules Kronberg, négociant en charbon, c'est pourquoi un mineur est représenté en haut de la banquette.
Dans la pièce suivante, un salon de musique, meublé d'oeuvres de Louis Majorelle : piano à queue, guéridon, bureau, fauteuil.
Les lampes sont aussi belles éclairées qu'éteintes...
Louis Majorelle a été peint par son fils Jacques :
"Les demoiselles Moulins" par Victor Prouvé :
"Les enfants" par Victor Prouvé :
Les menuiseries de la salle à manger sont d'Eugène Vallin, les panneaux de cuir et le plafond de Victor Prouvé.
En haut de l'escalier nous attend le "vitrail des roses" de Jacques Grüber.
La première chambre à coucher est de Louis Majorelle.
Le vitrail est de Jacques Grüber :
Le lustre est de Daum et de Jacques Grüber.
La seconde chambre à coucher est d'Emile Gallé.
Au rez de chaussée , une curieuse "grotte" :
un vitrail d'Henri Bergé :
La partie centrale d'un autre vitrail de Jacques Grüber pour la véranda "La Salle".
Dans des vitrines de superbes vases comme l'amphore du Roi Salomon (Gallé)
le vase "Hommes noirs" (Gallé et Prouvé)
Gallé encore :
Une phrase de Théophile Gautier sur du verre blanc bullé , décor émaillé.
Une dernière salle nous montre un mélange de réalisations de tous les grands artistes de "L'Art Nouveau" qui nous ont été présentés au musée.:
Emile Gallé :jardinière, vitrine
Louis Majorelle :piano à queue, vitrine
Victor Prouvé : coupes, statuettes
Eugène Vallin : bureau.
La visite de ce musée est fabuleuse, on y admire des oeuvres magnifiques d'artistes qui ont marqué leur temps, un temps bien court (fin XVIIIème, début XIXème siècle).
Nous nous sommes ensuite dirigés vers la brasserie "Art Nouveau", l'Excelsior, où nous avons déjeuné, puis nous avons parcouru en bus les rues de Nancy pour admirer les nombreuses maisons "Art Nouveau" de la ville.
Nous avons ensuite visité la maison Bergeret, traversé la place Stanislas pour nous rendre au Musée des Beaux Arts où nous attendaient des tableaux de Victor Prouvé (et d'autres d'artistes non moins célèbres) et la fabuleuse collection Daum...
Ces visites feront l'objet d'autres articles, tellement ce voyage a été riche en beautés de toutes sortes.
J'en profite pour remercier madame Simon, Présidente de l'A.C.C. et les membres de son Conseil d'Administration, qui nous ont préparé un voyage dont nous nous souviendrons longtemps.
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Anne Bouhélier, dans son superbe ouvrage sur les "pressoirs Châtillonnais", nous a révélé que l'inventeur du célèbre pressoir Châtillonnais se nommait Monsieur Amand Lemonnier, et que son petit-fils Célestin Courtois avait continué l'oeuvre de son grand-père Amand ...
Je savais que ces deux personnes et leur famille étaient inhumées au cimetière Saint Vorles..
Voici leur tombe :Ce tombeau destiné aux familles Lemonnier et Courtois est orné d'une statue représentant l'Espérance, exécutée par Lefort, sculpteur à Châtillon-sur-Seine (inscription sur la base de la colonne) .
Monsieur Bertrand Gautier de Breuvand m'a écrit dernièrement pour m'envoyer deux photos de son arrière-arrière grand-père Armand Lemonnier
Les voici :
Voici, de plus, ce qu'il me révèle :
La fille d'Amand Lemonnier épousa Joseph Courtois, percepteur de Châtillon sur Seine, qui devint industriel.
Ils eurent 3 enfants:
-Célestin 1850-1944 (érudit, archéologue de passion).
-Jules, Prêtre, décédé en 1916
-Marguerite 1855-1943 Mon arrière grand-mère.
Les Courtois étaient une vieille famille de marchands de fer, dijonnaise.
Un album familial existe, Bertrand Gautier de Breuvand m'en a scanné les pages, le voici (photos cliquables pour mieux lire) :
La page suivante est intéressante pour les Châtillonnais puisque la maison des Courtois existe toujours rue docteur Robert (ancienne rue de Chaumont).
Bertrand Gautier de Breuvand me révèle aussi :
Jean-Bernard Bossu (de Baigneux les juifs et enterré à Montbard) plus célèbre au USA qu'en France se trouve également rattaché à cette famille, comme Hugues Maret (Ministre, fait duc de Bassano par Napoléon I°) fils d'un chirurgien de Dijon.
L'article que j'avais fait paraître sur Jean-Bernard Bossu :Mille mercis à Bertrand Gautier de Breuvand qui, par ses envois, a permis aux lecteurs de ce blog de mieux connaître l'histoire de cette ancienne et célèbre famille Châtillonnaise.
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