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Par Christaldesaintmarc dans -Les Stèles, mémoire de la Résistance Châtillonnaise durant l'Occupation le 18 Juin 2018 à 05:55
Voici quelques photos de la cérémonie en l'honneur des maquisards tués à Essarois, que m'a envoyées Jenry Camus, merci à lui.
Tout d'abord au Monument aux Morts du village.
Puis des photos de la cérémonie dans le parc du château, à l'endroit où les maquisards ont été tués.
Sur cette photo, on reconnait Monsieur Burtey (en bleu), qui était présent ce funeste jour.
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Par Christaldesaintmarc dans -La Société Archéologique et Historique du Châtillonnais le 17 Juin 2018 à 06:00
Après la visite de Mussy sur Seine et de sa collégiale, les adhérents de la S.A.H.C. se sont retrouvés dans un restaurant d'Essoyes qui domine le village cher à Auguste Renoir et sa famille, celui des "Demoiselles".
Les Renoir, nous a-t-on dit plus tard, étaient de bons vivants, les adhérents de la S.A.H.C. aussi, le repas servi dans ce très bel endroit les a donc comblés !
Voici les délicieux plats qui leur ont été proposés :
un clafoutis d'andouillette à la moutarde ancienne :
Une timbale de chèvre frais et poivrons :
Une pintade farcie forestière, jus au porto :
Un suprême de lieu rôti à l'oseille :
Une tarte aux pommes meringuée :
Un tiramisu :
Après ce repas convivial, nous nous sommes dirigés vers le "Centre Renoir", situé au centre du village.
Notre guide a retracé pour nous l'histoire de la famille Renoir, tout d'abord avec son arbre généalogique : Pierre-Auguste Renoir et sa femme Aline, née Charigot, leurs trois enfants: Pierre (acteur), Jean (metteur en scène), Claude (céramiste) et leur nombreuse descendance.
Les débuts de Pierre-Auguste Renoir, né à Limoges, qui rencontra Aline Charigot à Paris, dans la crèmerie où elle travaillait, ses rencontres avec d'autres peintres qui allaient eux-aussi devenir célèbres comme Claude Monet par exemple...
Gabrielle, modèle de Renoir, native d'Essoyes a fait partie de cette famille d'artistes...
Comme nous, les Renoir étaient de bons vivants qui appréciaient les bons produits de la région, Aline Renoir adorait faire la cuisine....
Un superbe tableau où l'on reconnaît Aline Renoir, ses fils Pierre adolescent, et Claude dit Coco, soutenu par Gabrielle...
Une jolie photo de famille : Auguste, Claude et Aline Renoir à Essoyes...
Dans une salle à gradins, nous avons pu visionner un film très poétique et joliment illustré, sur la vie de la famille Renoir...
Puis nous nous sommes mis en route pour aller visiter la maison de Renoir qui est maintenant ouverte au public.
La maison de Gabrielle avec un beau portrait d'elle avec Coco.
Nous voici face à cette maison que nous connaissions seulement par la peinture qu'en avait fait Pierre-Auguste...
Le salon qui servait aussi d'atelier au peintre :
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La cuisine si chère à Aline :
Au premier étage se trouvent les chambres de la famille ...
La chambre d'Auguste :
La chambre d'Aline :
La chambre des enfants :
Nous nous dirigeons à présent vers l'atelier du peintre situé dans cette petite maison (la seule que nous visitions autrefois).
Au rez de chaussée, on a suspendu la chaise roulante qui permettait au peintre, devenu handicapé , de se promener dans le jardin.
Ce beau périple qui a conduit les adhérents de la S.A.H.C. de Mussy sur Seine à Essoyes n'était pas terminé !
En effet nous avons pu ensuite visiter une ancienne commanderie templière, située près de Bar sur Seine, celle d'Avalleur.
L'article qui la montrera ce sera pour bientôt...
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Sylvain Pluyaut a présenté le concert et l'a débuté en jouant une œuvre immortelle que son père lui demande d'exécuter au début de chaque concert....sous peine de le déshériter !
Cette œuvre chère à Yvon Pluyaut, c'est la Toccata de Jean-Sébastien Bach :
Puis, avec son complice Olivier Pelmoine à la guitare , tous deux ont interprété :
Antonio Vivaldi (1678-1741) : Concerto RV 93 (original pour luth et cordes
Jean-Philippe Rameau (1702-1766) Chaconne des "Indes Galantes", quatrième entrée (original pour orchestre)
Olivier Pelmoine, seul, a joué deux œuvres de Joaquin Rodrigo :
Joaquin Rodrigo (1901-1999) Fanfare de la Caballeria de Napoles y Españoleta, extrait de "Fantaisie pour un gentilhomme" (original pour orchestre)
Joaquin Rodrigo (1901-1999) Concerto d'Aranjuez, 2ème mouvement (original pour orchestre)
Sylvain Pluyaut a ensuite, seul, interprété :
Camille Saint-Saens (1835-1921) Danse macabre pour orgue seul
Yolande Estrat, Présidente de Châtillon-Scènes a remercié les deux artistes pour le merveilleux concert qu'ils ont donné devant un public venu nombreux.
Olivier Pelmoine a ensuite interprété, seul :
Astor Piazzola (1921-1992) Campero et Compadre pour guitare seule
Pour terminer ce magnifique concert Sylvain Pluyaut et Olivier Pelmoine ont joué ensemble :
Mario Castelnuovo-Tedesco (1895-1968) Fantasia opus 145 (original pour piano et guitare)
Une belle complicité entre musiciens...
Les deux artistes ont comblé le public qui n'a pas ménagé ses applaudissements.
Quelques mots sur les artistes :
Sylvain Pluyaut, Châtillonnais de naissance, a débuté la musique par l'étude de l'accordéon et du piano.
Après différentes distinctions, il est devenu professeur d'orgue au CRR de Dijon , et organiste co-titulaire des orgues historiques Riepp-Callinet de Semur en Auxois.
En 2013, Vincent Berthier, fondateur du centre de musique Baroque à Versailles a confié à l'organiste la tâche de travailler et de faire découvrir l'œuvre d'orgue de Jacques Berthier, son père, compositeur universellement connu, et auteur d'une œuvre d'orgue inouïe.
Cette œuvre a été l'occasion d'une série de récitals qui a culminé le 20 juin 2015 à Notre Dame de Paris et enregistrée sur le grand orgue de la cathédrale de Dijon.
Olivier Pelmoine : concertiste éclectique, se produit régulièrement en concert en France et à l'étranger. Diplômé du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (prix mention très bien) et de l'Ecole Normale de Musique de Paris, il remporte en 2000 au festival international de guitare de Montpellier, le premier prix.
Dédicataire de nombreuses œuvres, il enregistre , sous le label Skarbo, différentes œuvres.
Professeur titulaire d'enseignement artistique, il enseigne depuis 2009 la guitare au Conservatoire à Rayonnement Régional de Dijon, ainsi qu'à l'Ecole Supérieure de musique de Bourgogne Franche-Comté.
Directeur artistique de l'événement "Guitares à Dijon".
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Les inscriptions à l’Ecole Municipale de Musique de Châtillon-sur-Seine pour la rentrée 2018/2019 ont lieu jusqu’au 30 juin
Disciplines enseignées : clarinette, saxophone, flûte à bec, flûte traversière, trompette, trombone, tuba, piano, batterie, percussions, djembé.
Eveil musical (de 4 à 6 ans), Formation Musicale, préparation à l’Option Musique du Baccalauréat, chorale (de 9 à 14 ans).
Pratiques collectives
Contact : Caroline MARTIN
Ecole Municipale de Musique
17, rue de Seine – 21400 Châtillon-sur-Seine
Tél : 03.80.81.28.39 (ne pas laisser de message)
06.18.36.27.07
Mail : ecoledemusique.chatillon@orange.fr
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Par Christaldesaintmarc dans -La Société Archéologique et Historique du Châtillonnais le 15 Juin 2018 à 06:05
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Par Christaldesaintmarc dans -La Société Archéologique et Historique du Châtillonnais le 15 Juin 2018 à 06:00
Les adhérent(e)s de la Société Archéologique et Historique du Châtillonnais ont fait trois belles sorties historiques le 9 juin 2018.
Ils ont tout d'abord visité la jolie petite ville médiévale de Mussy sur Seine et sa superbe collégiale, puis ils sont allés à la rencontre du grand peintre Pierre-Auguste Renoir à Essoyes. Et pour terminer cette enrichissante journée, ils ont rencontré deux Templiers qui leur ont présenté l'ancienne Commanderie d'Avalleur. Un beau voyage dans le temps !
Le village de Mussy Sur Seine s'appelait autrefois , avant la Révolution, Mussy l'Evêque, car il était le lieu de la résidence d'été de l'évêque de Langres.
C'est ce que nous a appris, en préambule de la visite, notre aimable guide.
Nous débutons la visite par cette superbe allée-promenade de 400 mètres, plantée de tilleuls . Elle fut aménagée sur le revers des anciens fossés entourant la ville, par l'évêque de Langres, monseigneur Luzerne (ça ne s'invente pas !), au début du XVIIIème siècle, pour faire plaisir aux habitants du village qui se plaignaient de ne pas avoir un lieu rafraîchissant pour se rencontrer.
A droite se situe l'usine CRIC qui fabrique des jouets.Une fresque est peinte sur le mur.
Le village de Mussy sur Seine possède beaucoup de très belles maisons. Certaines sont superbement restaurées comme celle-ci :
Des têtes sculptées ont été utilisées pour la décoration de certaines maisons.
Une très belle bâtisse qui aurait bien besoin d'être restaurée...
Nous sommes ici devant le "grenier à sel", fondé au XIVème siècle, après la création de la gabelle.
Remanié à la Renaissance, ce grenier à sel desservait cinquante paroisses.
Le porche ouvre sur la rue des Juifs.
Dans la rue des Juifs, on admire la superbe maison du Rabbin ou synagogue, qui date de la Renaissance.
Le long des petites rues , on trouve des pierres sculptées qui proviennent sans doute des anciennes fortifications qui servirent ...de carrières de pierre aux habitants.
Cette maison faisait partie de l'ancien hôpital.
Nous n'avons pu la visiter, mais vous pourrez cliquer sur le lien en fin d'article pour en avoir une petite idée.
Une halte auprès de l'ancien canal de Mussy, aujourd'hui comblé.
Nous passons dans la ruelle de Mauconseil...qui portait bien son nom, nous a dit notre guide...
Et rejoignons le boulevard de l'est qui longe la Seine.
Une tour faisant partie des anciennes fortifications est toujours debout. On ne l'a pas détruite car elle servit longtemps de lieu où l'on parquait les bêtes destinées à l'abattoir.
Les dernières inondations ont fragilisé l'entrée, nous n'avons pu admirer ses murs de 3m50 d'épaisseur et sa superbe voûte. (à voir dans le lien plus bas)
L'abattoir est maintenant désaffecté.
La ville de Mussy a la particularité de posséder des passages nommés "ruelles", qui, de la rue Gambetta, permettent d'accéder à la Seine.
Rue Gambetta, on admire un superbe "Christ aux liens", malheureusement pas très bien mis en valeur...(le chéneau, les fils électriques...sans commentaires)
Au fond de cette rue existait un couvent , apparenté avec un de ceux de Châtillon sur Seine.
Nous voici près de l'Hôtel de Ville de Mussy, qui était autrefois le château où les évêques de Langres venaient passer l'été, depuis le XIIIème siècle, loin des "froidures" du plateau de Langres...
Ce beau bâtiment a connu des malheurs : incendies, destructions gratuites, remaniements sévères au XIXème siècle, mais il est toujours bien agréable à regarder. Les intérieurs sont encore très beaux, un bel escalier permet de rejoindre le premier étage.
Une fenêtre de l'ancienne chapelle des évêques a été heureusement conservée.
Un joli point de vue sur un bras de la Seine...
Près du lavoir nous admirons ce calvaire...
sa Vierge à l'Enfant naïve...
et son fût décoré.
Le lavoir a été restauré, il présente une superbe charpente.
Mussy possède un château , propriété du Maire de la Commune.
Au bord du parc on admire cette maison appelée "Maison du chanoine", typiquement Renaissance. C'est la maison la mieux conservée de l'ensemble canonial qui entourait la collégiale, elle a été superbement restaurée.
(Je lui trouve une certaine ressemblance avec la maison "dite des Templiers" de Coulmier le Sec)
Le long des rues de Mussy on aperçoit de belles plaques ....
Et celle-ci, étrange, un frère trois points habiterait-il ici ?
J'avais déjà visité la jolie ville de Mussy sur Seine avec un guide de l'Office du Tourisme.
En cliquant sur ce lien vous pourrez voir des lieux que nous n'avons pas pu visiter avec la S.A.H.C : l'ancien hôpital et son collectionneur de réveils, le magnifique intérieur de la tour du boulevard de l'est...et même la glacière des évêques de Langres !.
http://www.christaldesaintmarc.com/une-visite-de-mussy-sur-seine-bourg-medieval-a5419884
La collégiale Saint-Pierre-ès-liens de Mussy est maintenant presque restaurée... la blancheur de ses murs extérieurs nous a surpris...
Cette collégiale possédait au Moyen-Âge un chapitre de 13 chanoines qui y siégeait.
Construite au XIIIème siècle, les dix chapelles latérales furent ajoutées au XVIème siècle.
On peut maintenant voir les voûtes gothiques et admirer les vitraux.
Je remarque dans ce vitrail que Satan, le serpent tentateur, possède un buste de femme ailé !!! ai-je la berlue ? c'est vrai qu'à l'époque on traitait les femmes de tentatrices ....
Ce Christ aux liens est magnifique, quelle douleur sur son visage...
Notre guide nous révèle qu'autrefois existait à Mussy un atelier de sculpteurs.
Ces artistes réalisèrent au XIVème siècle des œuvres de toute beauté comme cette statue de saint Jean-Baptiste, et les gisants du Sire et de la Dame de Mussy.
Le chanoine Bréjard fonda la quatrième chapelle de la collégiale en 1594. Il a dû habiter la belle maison Renaissance, vue précédemment.
Dominique Masson nous montre un triptique dont la partie gauche représente saint Vorle. (Nous écrivons habituellement Vorles avec un S)
Les gisants du Sire et de la Dame de Mussy , fondateurs de la collégiale, ne sont pas visibles actuellement car cernés d'échafaudages. Vous les verrez mieux en cliquant sur le lien suivant.
Au début des rénovations de la collégiale de Mussy, tout n'était pas caché, en particulier les magnifiques gisants du sire de Mussy et de son épouse, et d'autres très belles statues. Vous pourrez les voir en cliquant sur ce lien :
http://www.christaldesaintmarc.com/la-collegiale-de-mussy-sur-seine-a91762845
L'Office de Tourisme nous a réservé une surprise : une dégustation de produits artisanaux de la région Champagne-Ardennes...
Des délices....
Le champagne Clérambault de Neuville sur Seine accompagnait à merveille ces agréables dégustations, mais on pouvait aussi apprécier du jus de pommes du pays d'Othe.
à notre guide et au Syndicat d'Initiative de Mussy sur Seine pour leur sympathique accueil.
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Vide-grenier, concours de tartes, exposition de peintures, jeux pour les enfants, buffet, buvette, la fête a été belle à Chaumont le Bois le 10 juin, sous le soleil....
Quelques images du vide-grenier qui était aussi une fête champêtre ...
Une belle structure gonflable a fait la joie des enfants...
Un concours de tartes a été organisé par le Comité des Fêtes de Chaumont le Bois.
13 tartes de toutes sortes ont été jugées par des juré(e)s compétent(e)s.
Déjà pour leur aspect, puis ensuite pour leur goût
La buvette a rafraîchi les visiteurs...
Les peintres des Amis du Châtillonnais ont exposé leurs œuvres dans une jolie salle, très bien éclairée, où leurs aquarelles, peintures à l'huile, collages ont été très bien mis en valeur.
Dominique Masson :
Elisabeth Doukhan :
Françoise Debeaupuits :
Amalia Cailletet :
Claude Ferreira :
Lucia Rambaud :
André Lagarde :
Chantal Schaeffer :
Chantal Archambaud :
Madeleine Bailleux :
Maripol Camus :
Jean-Pierre Loget :
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Par Christaldesaintmarc dans -André Belin, grand chef de cuisine de Montbard le 13 Juin 2018 à 06:10
Andé Belin, grand chef réputé de l'hôtel de la Gare à Montbard réalisait de succulentes recettes , celle du "Saulpiquet Montbardois" est restée dans les mémoires.
Voici l'article que je lui avais consacré :
Mais une autre recette faisait la renommée de ce grand chef, celle de "La truite de Fontenay, caprice de Buffon".
Michel Belin, le neveu d'Andé Belin m'a confié la recette de son oncle (mais sans les proportions exactes), la voici :
TRUITES FARCIES « Caprice de Buffon »
Ingrédients pour 4 personnes:
4 truites de 200 à 250gr « de préférence sauvage même si ……. »
5 ou 6 bananes.
Pour la farce : « selon vos envies » : échalotes, épinards blanchis,oseille, champignons, fines herbes « à votre choix », le tout haché très fin.
Beurre et huile de pépins de raisins.
Assaisonnements à la demande.
Préparation :
De la farce : Faire étuver au beurre ou à l’huile selon vos choix : les échalotes, puis incorporer les épinards blanchis, l’oseille, les champignons, les fines herbes. Réserver.
Truites : Enlever l’arête par le dos, les assaisonner, les garnir avec la farce et cuire doucement, au beurre, comme « Meunière ».
Cuire au beurre séparément des tranches de bananes coupées dans le sens de la longueur.
Mise en forme :
Dresser les truites avec, sur chaque pièce, deux tranches de banane. Décorer le plat avec oranges cannelées, du persil haché, et ajouter un jus de citron.
Accompagner le tout d’un beurre noisette.
Bon appétit.
Pourquoi demander à Michel Belin, cette recette de son oncle ?
Eh bien parce que j'ai reçu il y a peu un mail plein de nostalgie et donc très émouvant, d'un lecteur qui se souvenait de son enfance :
Moi j’avais 10 ans …
En voyage avec un jeune père divorcé, on était à la fin des années 60…et …les guides Michelin bleu et rouge ouverts sur les jambes, je suivais les indications de mon père qui me conduisait à travers la culture de la France : histoire, géographie, et culture gastronomique.
Fatalement avant Val Suzon , nous avons atterri à l’Hôtel de la Gare et j’ai mangé LA TRUITE DE FONTENAY CAPRICE DE BUFFON.
J’y ai trouvé l’acidité d’une duxelles ….un velouté de poisson marqué d’un ½ glace… mais aussi la douceur de sucre (…) y avait il une chiffonnade d’oseille …ma mémoire me fait défaut …je me rappelle la truite désarêtée…la farce au centre… un moment de grâce.
Avec Internet je me suis dit…et puis rien ….pas l’ombre d’une recette.
Alors je vous sollicite et vous embrasse de toute ma gourmandise.
A bientôt peut être.
Ce mail m'a émue, car il a ravivé aussi en moi des souvenirs familiaux, par exemple des repas de baptême chez Belin à Montbard.
Alors j'ai vite écrit à Michel Belin, au cas où il aurait conservé la recette de son oncle...et miracle il l'avait et me l'a envoyée !
Mille mercis à lui d'avoir sauvegardé le patrimoine culinaire d'André Belin et de me l'avoir transmis !
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Par Christaldesaintmarc dans -La Société Archéologique et Historique du Châtillonnais le 12 Juin 2018 à 06:00
Venez nombreux !
Voici un article, publié après la visite des adhérents de la SAHC sur le lieu de ces fouilles, qui vous fera comprendre l'intérêt de cette conférence qui sera donnée par Olivier de Cazanove , Directeur du programme "Sanctuaire d'Alésia", et Professeur d'archéologie Romaine Université Paris 1 Panthéon Sorbonne.
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Par Christaldesaintmarc dans -L'Association G.R.E.N. de Sainte Colombe sur Seine le 12 Juin 2018 à 05:55
L'association "Bien vivre à la campagne" était présente à la porte ouverte de G.R.E.N.
Gilles Méan présentait ses lentilles bio et sa farine de lentilles.
Lors d'un petit marché artisanal dans la cour du musée du Pays Châtillonnais, madame Méan nous avait fait goûter de délicieux biscuits à la farine de lentilles bio...sans gluten. Une farine intéressante pour les personnes allergiques.
La "Corne Vaudrine", élevage caprin de Savoisy vendait ses fromages de chèvre.
On pouvait trouver les "Epate en Bourgogne " de la ferme de Combe Noire...
et les produits à base de safran de "La Safranerie Templière"...
Bruno Dangin et son champagne bio de Celles sur Ource.
Ce viticulteur réalise aussi du crémant bio à Molesme.
Le producteur de volailles Pascal Bavoillot s'étant absenté, c'est Annie Chazottes qui le remplaçait à son stand !
Michel Payot, qui fabrique les yaourts Adelle de la ferme du Mont Lassois, ainsi que des fromages blancs, était présent comme il l'est, d'ailleurs, tous les jeudis de 17h à 18h30 au marché de légumes bio chez G.R.E.N.
A cette porte ouverte, on pouvait trouver tous les délicieux produits de l'apiculture des ruches de monsieur et madame Thiery de Sainte Colombe sur Seine .
Et bien sûr, les légumes bio des jardins du Viaduc de G.R.E.N. étaient présents : salades, carottes, courgettes, pommes de terre etc...côtoyaient des plants de toutes sortes.
Une visite des serres a été proposée par Thibaud Dupas, je n'ai pu m'y rendre, ce sera pour une autre fois !
Venez acheter les superbes et goûteux légumes bio du Jardin du Viaduc, tous les jeudis sur place dans la cour de G.R.E.N. à Sainte Colombe sur Seine, de 17h à 18h30, où rendez vous au marché de Châtillon sur Seine tous les samedis matins.
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Par Christaldesaintmarc dans -Animations au Musée du Pays Châtillonnais-Trésor de Vix le 11 Juin 2018 à 06:10
À l’occasion des Journées Nationales de l’Archéologie, du 15 au 17 juin 2018, le musée propose à son public de prendre part à un projet coopératif autour de la construction d’une riche demeure romaine (domus) à l’échelle 1/10ème et de découvrir les techniques du bâtiment de nos ancêtres gallo-romains.
Le Musée du Pays Châtillonnais – Trésor de Vix, l’Inrap et l’association Au fil du métal se mobilisent le temps d’un week-end pour faire découvrir au public l’architecture gallo-romaine et la vie quotidienne dans l’Antiquité à travers la construction d’une maquette de 2,5 mètres sur 1,5 mètres..."
Les architectes romains font preuve d'une grande modernité en concevant des résidences privées à l'organisation spatiale complexe et codifiée. Les fouilles archéologiques de leurs vestiges fournissent de précieuses informations sur la vie quotidienne durant l'antiquité.
Pour les Journées Nationales de l'Archéologie participez à un projet coopératif de construction d'une riche demeure romaine à l'échelle 1/10 en reproduisant les gestes de vos ancêtres. La taille du chantier permet à tous d'apporter sa pierre à l'édifice, et pour les plus motivés de revenir plusieurs fois participer aux différentes étapes du chantier.
Sur un plancher où sont délimitées les fondations, tout au long de la journée, Batiplus, le maître d'oeuvre, guide ses apprentis maçons. Ainsi s'élévent peu a peu les murs. Il faudra placer les huisseries avec leurs systèmes de fermetures antiques, poser les poutres et planchers de l'étage, dresser les colonnes de l'atrium, qui supporteront la charpente. À l'autre bout du chantier, du côté de la cour à péristyle, une équipe munie de tesselles de couleur, aura la charge de décorer les sols de mosaïques de type géométrique. Enfin, le petit mobilier sera placé (latrines, cuisine, lits, tables...) pour définir l'usage de chacune des pièces.
Les artisans de la villa
Le chantier de construction de la villa fait appel à de nombreux corps de métiers. Venez en découvrir quelques-uns…
Les mosaïstes
Des milliers de carreaux de céramique permettent de composer des mosaïques à motifs géométriques, soit en laissant aller sa créativité, soit en s'aidant des cartels reproduisant des mosaïques antiques. Elles sont ensuite installées dans les pièces de la villa.
Les maçons
Construire une voûte en plein cintre est tout un art. Comme le ferait un maçon romain sur un bâti provisoire, briques et mortier sont assemblés. Attention au décoffrage !
Les tuillers
Comment fabriquait-on les tégulae et les imbrices à l'époque romaine ? Les petits ouvriers retrouvent les gestes des tuilliers gallo-romains pour réaliser au 1/10ème quelques-unes des milliers de tuiles d'argile de la villa.
Une activité à partager en famille et qui vous permettra de vous projeter dans la vie quotidienne à l’époque gallo-romaine au coeur des collections du musée.
Les journées de l'archéologie seront aussi l’occasion de découvrir le travail réalisé par les élèves du lycée agricole de la Barotte à Châtillon-sur-Seine, en partenariat avec l’INRAP, sur les traces des exploitations agricoles « Villae » gallo-romaines.
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Voici quelques photos et articles de presse du mois de mai 1968, conservés précieusement par Michelle Moriseau-Boyer.
Ces photos ont été projetées le soir de la conférence sur Mai 68 donnée par la Ligue des Droits de l'Homme.
Merci madame de me permettre de les publier.
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Pierre Magès a assisté aux Journées Châtillonnaises. Il a tourné deux vidéos que je publie aujourd'hui, merci à lui !
(A mettre en plein écran)
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Samedi 2 juin 2018, les adhérents de la Société Mycologique du Châtillonnais, se sont retrouvés à Brienne la Vieille, village du nord-est du Parc de la Forêt d’Orient, dans le département de Aube.
Cette sortie avait pour but de découvrir "l'Ecomusée de la Forêt d'Orient", situé sur le site d'une ancienne laiterie, semblable à celle qui existait autrefois à Veuxhaulles sur Aube. On y fabriquait un délicieux fromage appelé "Le roitelet".
Sur la route de Radonvilliers, la "Maison des jours et des champs" abrite une remarquable collection d'outils et de matériels agricoles, témoin de la quête opiniâtre des hommes d'améliorer l'agriculture, de l'antique araire au moderne tracteur.
Certains matériels peuvent être vus à l'extérieur.
Cette partie de l'Eco-Musée était autrefois une porcherie, où les porcs étaient nourris, entre autres, avec le petit lait issu de la fabrication des fromages de la laiterie voisine.
Les instruments agricoles sont remarquablement restaurés et sont présentés avec beaucoup de goût, sur des estrades colorées. Chaque couleur correspond à l'usage des engins qui sont, de plus, étiquetés.
Notre guide nous a expliqué le fonctionnement de tous ces outils, du plus ancien au plus moderne avec énormément de détails bienvenus, et aussi avec beaucoup d'humour, ce qui ne gâte rien !
Nous avons pu admirer de très anciennes araires...
et bien d'autres outils que j'ai découverts, n'étant pas du tout spécialiste !
De beaux panneaux lumineux présentent toutes les sortes d'instruments manuels utilisés par l'agriculteur...
Ici le sac de l'auguste semeur....
Les bénévoles de l'association de l'Eco-Musée réparent les outils agricoles, les repeignent avec les couleurs d'origine, ils réalisent un travail remarquable. Ici un outil en réfection :
Dans les bâtiments de l'ancienne laiterie, une collection de tracteurs anciens ont intéressé les visiteurs.
Un "tripotin" :
Les carrioles de toutes sortes...
La laiterie et tous ses outils a été reconstituée avec bidons, moules, baratte etc...
En continuant la visite on arrive à la maison traditionnelle champenoise reconstituée : salle, chambre....
mais aussi la boutique du coiffeur...
la classe...
et son écolier puni...
Les messieurs-dames attendent d'entrer...
chez la couturière...
dans l'épicerie...
et au café.
Après cette visite très enrichissante et superbement commentée, nous nous sommes dirigés vers le restaurant « Le Saint-Jean » 20 rue du Général Leclerc, à Brienne la Vieille.
Dans une jolie salle, le Président de la Société Mycologique du châtillonnais, Luc Lefray, a annoncé le menu sous les applaudissements...
L'apéritif était, comme il se doit, une "soupe champenoise" c'est à dire un agréable mélange de champagne, de liqueur de Cointreau, de citron et de sucre de canne.
Tous les adhérents présents ont trinqué à la bonne santé de la société mycologique !
Le menu a commencé par une belle salade composée
s'est poursuivi avec des cuisses de canette aux cèpes, haricots verts et purée de patates douces :
du fromage...
et s'est terminé par une délicieuse part d'omelette norvégienne, suivie du café.
Après le repas, nous nous sommes dirigés, à 300 mètres de là, au cœur du village de Brienne-la-Vieille, vers la "Boutique du charron"
Cette boutique présente un atelier de charronnage et de forge installé en 1900 et entièrement restauré en son état d'origine.
Il s’agit d’un véritable atelier de forge, charronnage et maréchalerie de 1900 conservé en l'état. A la veille de la grande guerre, trois frères ont rivalisé d'ingéniosité pour améliorer leur ancestral savoir de maréchal-ferrant et de charron.
Dans leur atelier, à côté de la vénérable forge et du tableau de fer à chevaux...
un enchevêtrement de courroies et de poulies partent d'un "locomobile" qui entraîne des machines-outils d'un autre âge.
comme le tour à fabriquer cinq rayons de char en simultané.
Notre guide, comme le matin à l'Ecomusée, nous a expliqué de A à Z la confection d'une roue de charrette, avec beaucoup d'explications techniques et...d'humour toujours !
Toutes les machines exposées dans l'Atelier du Charron sont en parfait état de fonctionnement.
Notre guide a fait fonctionner la locomobile qui a entraîné toutes les poulies de l'atelier, c'était impressionnant.
N'hésitez pas à vous rendre à l'Ecomusée de la Forêt d'Orient, il vaut vraiment la visite !
http://www.pnr-foret-orient.fr/fr/content/ecomus%C3%A9e-de-la-for%C3%AAt-dorient-p%C3%B4le-culturel
Le voyage s'est ensuite poursuivi par la visite d'une jolie église à pans de bois, proche de Brienne la Vieille, celle de Mathaux, je vous la montrerai dans quelques jours.
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Devant un nombreux auditoire attentif et passionné, les intervenants se sont évertués à décrypter à leur vision sur Mai 68.
Tout d’abord , Dominique Masson, a abordé les nouvelles transmises par Châtillon-Presse dirigé en 1968 par Madame Cuzin, laquelle abonnée à un service de presse , fait paraître un résumé de ce qui se passe en France et à l’étranger .
Dans le journal du 17 Mai , elle rédige un article sur » la révolte des étudiants « évoquant à mi-mot les barricades . Il faut attendre le 31 Mai pour voir évoqué la situation sociale dans le Châtillonnais .
Ce sont d’abord les revendications des instituteurs des cantons châtillonnais qui « s’élèvent contre l’autoritarisme du gouvernement en matière économique et sociale » soutenus les parents d’élèves et le syndicat des inspecteurs primaires .
Chez les ouvriers , les deux usines de FerEmbal , les établissements Bidez-Haller et Mérat , ainsi que l’usine de Sainte-Colombe sont en grève .
Un comité de liaison intersyndical organisa le 24 Mai une grande manifestation devant l’Hôtel de Ville .
Illustré de nombreuses photos d’époque , notamment celles projetées avec l’autorisation de Michelle Moriseau- Boyer (*) que la Ligue des Droits de l’Homme remercie vivement.
(* ces photos seront sur le blog le 10 juin)
La contribution de Georges Vayrou tendait à mettre en regards croisés des témoignages de divers protagonistes de Mai 68
-dans l’espace
Les deux révoltes : un atelier de Renault et ses revendications , et les « rêveurs « du théâtre de l’Odéon
Les deux Georges( Pompidou et Séguy)qui furent les protagonistes principaux du « constat de Grenelle » ( et non accords)
-dans le temps : comment chacun a « digéré » 68
Marchais et Cohn-Bendit : de « l’anarchiste allemand »au premier grand affrontement entre la masse des travailleurs et le pouvoir des monopoles , et l’économie de marché à réguler.
En conclusion, Georges Vayrou évoquait les « conquis de 68 : augmentation de salaires, nouveaux droits syndicaux, la profonde évolution dans les consciences , la dignité retrouvée, l’efficacité de l’action collective et solidaire. Dans la société, le mouvement de transformation des mœurs s’amplifie , la condition féminine va connaître des évolutions majeures , mais inégales.
Dans un tout autre registre , Mathieu CHARTIER , professeur d’histoire au Lycée Désiré Nisard traitait du rôle particulier des médias et tout spécialement de la radio.
Mai 68 marque pour la France un tournant sociétal auquel les médias n’échappent pas.La radiodiffusion française connaît une mutation profonde , l’ORTF en est un acteur incontournable.Les postes transistor mobiles et individuels ont remplacés les vieux récepteurs et de nouvelles émissions , de nouvelles musiques attirent et captivent les jeunes éditeurs.
C’est aussi l’émergence d’une aspiration à la prise de parole , une parole plus directe et libérée de ses contraintes , plus en phase avec les aspirations et les changements sociaux et moraux des années 60.
La place et le rôle de la radio dans les événements de mai 1968 soulignent la contradiction d’un système médiatique qui arrive à terme en même temps que s’annoncent ,mais ne se réalisent pas , les changements des années 1970-1980 et notamment les radios libres à venir.
De nombreuses questions poursuivirent cette conférence de haute qualité, Mai 68 aura laissé sa marque dans l’histoire.
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Cela fait 30 ans que Karin Neumann, artiste passionnée, a posé son chevalet à Nesle et Massoult. et qu'elle peint dans le Châtillonnais.
Pour cet anniversaire, elle nous présente en ce mois de juin 2018, une bien belle rétrospective de son travail avec des toiles et des installations.
Une toile de...1992 !
Et d'autres tableaux à l'huile, au pastel sec, au fusain, sur lin, carton et papier, d'originales "installations", qui nous montrent toute l'étendue du talent de Karin Neumann !
A noter que l'éclairage de l'ensemble est parfait, les photos sont en tout point semblables aux œuvres exposées, contrairement à celles que j'avais faites (avec deux appareils différents pourtant !) d'une précédente exposition d'artistes qui s'est tenue à Châtillon sur Seine.
Une très belle rétrospective à aller voir absolument (les jours et les dates sont indiqués sur l'affiche en début d'article)....
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Par Christaldesaintmarc dans -Jean-Baptiste Zarat, exploitant bio à st Broing les Moines le 6 Juin 2018 à 06:00
Les portes ouvertes à la Ferme des 100 blés de Jean-Baptiste Zarat se sont déroulées dans une très agréable ambiance, avec un très beau soleil ce qui ne gâte rien.
Les fermiers avaient invité des producteurs locaux, comme la "ferme du bout du chemin", de Chemin d'Aisey qui proposait du porc bio...
Un producteur de volailles...
Une éleveuse de poules de Chambain qui proposait ses œufs bio....
Thibaut Salloignon vendait les fromages de brebis de sa ferme du Conclois, près de Bure les Templiers
L'Office du Tourisme de Châtillon sur Seine avait fait découvrir la bergerie du Conclois lors d'une journée découverte :
Thibaut Salloignon a une autre activité bien intéressante, ingénieur en cycle, il vend des vélos originaux avec son entreprise "Cycle en Transition".
Voici un vélo où deux enfants peuvent être transportés !
Ses cycles sont incroyables, comme celui qui suit, qui est entièrement pliable !
https://sites.google.com/site/cycleentransition/produits/xtracycle
Certains ont fait un petit tour pour tester ce vélo pliable et ils en ont été très satisfaits...
Annette Dulion de Busseaut présentait les produit de ses ruches...
On pouvait voir les productions d'un éleveur d'escargots de Vernot...
Jean-Baptiste Zarat est très connu à Châtillon sur Seine puisqu'il vend au marché du samedi, ses excellents pains bio au levain naturel, mais on peut se rendre à la ferme le vendredi pour s'en procurer.
Voici son moulin à farine, un moulin à meule pierre Astrié qui préserve le germe des grains de blé....
Le pétrin et le four à bois...
Dans la petite boutique on trouve le pain, mais aussi les autres productions de la ferme : farines de blé, d'épeautre, de petit épeautre, de blé noir, de seigle, de lentilles, et aussi d'huiles de cameline, de colza, de tournesol qu'il produit lui-même, lentilles, graines de lin, bière fermière MOUH, etc...
Tout est BIO bien entendu !
Au dehors un artiste à la tronçonneuse a fait des démonstrations....
Cet artiste, Lionel Rodriguez, avait réalisé l'an dernier, une bien belle statue de Jeanne d'Arc chez Jenry Camus à Essarois !
Les Bure Haleurs, groupe musical antinucléaire qui propage le débat sur le projet CIGÉO d’enfouissement de déchets nucléaires à Bure, étaient présents pour le grand plaisir des visiteurs !
Les musiciens des Bure Haleurs font partie d'un groupe d'activistes opposés au nucléaire dont le but est de sensibiliser les gens à la question de cette énergie et des déchets radioactifs.
Madame Zarat tenait le stand de la buvette : on pouvait se procurer auprès d'elle des tickets pour acheter différentes boissons : de la MOUH, bière artisanale bio fabriquée à la ferme des 100 blés, et une boisson délicieuse et rafraîchissante à base de fleurs de sureau et de jus de citron.
Des glaces faisaient aussi le plaisir des visiteurs.
J'avais visité, avec un mardi-découvertes de l'Office du Tourisme de Châtillon sur Seine, le ferme des 100 blés, voici l'article qui racontait cette visite :
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Par Christaldesaintmarc dans -Les expositions des peintres des Amis du Châtillonnais le 5 Juin 2018 à 06:00
Voici les quelques photos que j'ai pu faire, avec beaucoup de mal, des aquarelles, huiles et collages des peintres des Amis du Châtillonnais lors de leur neuvième Salon, celui de 2018.
En effet, l'éclairage de la salle n'était pas du tout adapté, car les lampes se trouvaient derrière le tissu qui protégeait les grilles.
Cet éclairage donnait souvent une teinte jaune à ce tissu, ce qui troublait la photographie, c'est dommage.
Heureusement, les yeux humains sont plus intelligents qu'un appareil-photo, aussi les spectateurs du salon ont vu des tableaux tels qu'ils étaient et les ont beaucoup admirés, c'est l'essentiel !
Après bien des hésitations j'ai quand même décidé de publier ces photos imparfaites....
Les tableaux des peintres sont présentés par l'ordre alphabétique du nom de leur auteur.
Chantal Archambaud :
Madeleine Bailleux
Amalia Cailletet
Maripol Camus
Guy Collin
Rémi Courtejaire
Régine Dazard
Françoise Debeaupuits
Elisabeth Doukhan
Jean-Jacques Doukhan
Claude Ferreira
Odile Gheeraert-Masson
Madame Guilleman
Monique Hérard
Françoise Labeaune
André Lagarde
Jacques Lamy-Au-Rousseau
Jean-Pierre Loget
Dominique Masson
Michelle Mora
Hélène Parize
Lucia Rambaud
Chantal Schaeffer
Pierre Thuillier
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Martine Aubignat, Adjointe à la Cuture de la Municipalité de Châtillon sur Seine, et Catherine Miraton Directrice du Théâtre Gaston Bernard, ont présenté au public venu nombreux au jardin de la Mairie, le dernier spectacle de la saison 2017-2018 "Entre deux horizons" .
Ce spectacle a été offert gratuitement aux habitants du Châtillonnais, quel beau cadeau..car ce ballet aérien a ravi petits et grands par sa dextérité et sa poésie...
Il a dévoilé la part sensible que chacun porte en soi et a laissé opérer la magie de la danse quelque part entre ciel et terre.
Deux contraires se sont rencontrés : un homme aux semelles de plomb qui a tendu vers l’envol et une femme suspendue qui a cherché à s’ancrer.
Ces deux individus sont partis à la découverte l’un de l’autre pour s’inventer ailleurs un autre demain.
Un très beau spectacle, servi par une musique envoûtante ...
Les deux interprètes Serge Ambert et Séverine Bennevault-Caton ont été très applaudis. pour leur danse aérienne sublime !
Et Catherine Miraton nous a donné rendez-vous le 21 septembre 2018 au Théâtre Gaston Bernard pour la présentation du programme de la saison 2018-2019.
La saison actuelle a été en tous points parfaite, tous les spectacles ont été beaux, originaux, captivants, joyeux...
Merci à l'équipe du théâtre Gaston Bernard, à sa Directrice et à la Municipalité de Châtillon sur Seine qui nous offre de tels spectacles...pour des prix accessibles à tous...ce qui ne gâte rien !
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