• Attention, la nuit prochaine on passe à l'heure d'été !


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  • Cette fois c'est bien l'automne !

    Cette fois c'est bien l'automne !

    Cette fois c'est bien l'automne !

    Cette fois c'est bien l'automne !

    Cette fois c'est bien l'automne !

    Cette fois c'est bien l'automne !


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  • Aujourd'hui j'ai reçu une information très importante que je me dois de partager avec vous.

    Nous avons tous et toutes été très heureux de savoir que le petit Bacchus qui avait été volé il y a 50 ans  a été retrouvé dernièrement.

    Nous pouvons l'admirer maintenant au Musée du Pays Châtillonnais.

    Aujourd'hui nous sommes en avril, ne nous découvrons pas d'un fil...

    Toute son histoire relatée par Catherine Monnet, Conservatrice en chef du Patrimoine et Directrice du Musée :

    http://www.christaldesaintmarc.com/bacchus-enfant-de-retour-au-musee-c33179901

    Hélas, aujourd'hui, j'ai l'immense tristesse de vous informer que cette adorable statue  ne sera plus longtemps visible au Musée du Pays Châtillonnais, car en effet, la Société Archéologique, en manque de fonds pour réaliser un colloque sur la forêt qui aura lieu en 2023, a décidé de le vendre au plus offrant.

    Plusieurs  riches collectionneurs se sont déjà mis sur les rangs pour acquérir cette superbe statue, et je pense que la SAHC en tirera un très bon prix.

    En effet le petit Bacchus n'appartient pas au Musée du Pays Châtillonnais mais à la Société Archéologique et Historique du Châtillonnais (la SAHC)  puisqu'il a été découvert dans un terrain lui appartenant, à l'époque où fut découvert le site de Vertillum.

    C’est sous la direction d’Henri Lorimy qu’en 1894, la veille même de la clôture des fouilles de l’année, quelques coups de pioche mettaient à jour, à une faible profondeur (0m40 à 0m50, dans un terrain acheté par la Société), au milieu d’une terre fine et meuble, un jeune Bacchus gallo-romain, en bronze…

    Aujourd'hui nous sommes en avril, ne nous découvrons pas d'un fil...

    Tout le monde en sera évidemment très triste.....moi la première.

    Alors admirons encore une dernière fois avant qu'il ne parte vers d'autres cieux....

    Aujourd'hui nous sommes en avril, ne nous découvrons pas d'un fil...

    Adieu Bacchus !

    Aujourd'hui nous sommes en avril, ne nous découvrons pas d'un fil...

    Aujourd'hui nous sommes en avril, ne nous découvrons pas d'un fil...

    Aujourd'hui nous sommes en avril, ne nous découvrons pas d'un fil...

    Mais vous l'aviez peut-être deviné...

    En ce début d'avril, voici une information importante pour les Châtillonnais...

    Ce n'était bien sûr qu'un poisson d'avril ! Aujourd'hui nous sommes en avril, surtout ne nous découvrons pas d'un fil...

    Mais ce qui est vrai, c'est que le Bacchus appartient bien à la SAHC  et non au Musée du Pays Châtillonnais, ainsi d'ailleurs que toutes les collections archéologiques trouvées à Vertillum !!!

    Mais mon petit doigt m'a dit que la SAHC, va faire DON prochainement au Musée de toutes les merveilles exposées venant de la cité gauloise, devenue au cours des années le village de Vertault.

    En effet, les associations sont mortelles... la SAHC comme les autres, qu'adviendrait-il de tous ces objets si précieux si elle venait à disparaître ?

    Après le don, ils seront pour toujours en sécurité dans notre beau musée....et c'est bien là l'essentiel.

    En ce début d'avril, voici une information importante pour les Châtillonnais...

     

     


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  • En visitant le musée du Pays Châtillonnais, j'ai admiré un objet se trouvant dans une vitrine de la salle des bois gravés.

    Il s'agit d'une magnifique boîte  contenant des souvenirs de Sainte Reine, la sainte d'Alise en Côte d'Or.

    la "sainte reine" de ma grand-mère....

    Cette boîte m'a émue, c'était la première fois que j'en voyais une...et cette boîte m'a rappelé des souvenirs d'enfance !

    En effet, ma grand-mère (native de Saône et Loire) ne supportait pas qu'une porte de placard reste entr'ouverte, elle me disait donc impérieusement " mais ferme donc ta sainte reine !".

    Ne comprenant pas le sens de cette drôle d'expression, je l'ai questionnée plusieurs fois, mais elle me répondait  toujours  qu'elle n'en savait rien, que sa mère, sa grand-mère  (née vers 1830 à Perrecy les Forges), le disaient déjà....

    Bien des années plus tard, j'ai appris que des colporteurs passaient dans les campagnes bourguignonnes pour vendre des aiguilles, des fils, des colifichets etc...et qu'à la fin de la vente,  pour remercier leurs clientes, ils sortaient une boîte décorée contenant des souvenirs de sainte Reine, la sainte célébrée à Alise, pour qu'elles fassent leurs dévotions....

    Et cette boîte, qui était appelée "une sainte reine", comportait deux volets que le colporteur refermait avant de partir...une sorte de placard finalement...

    http://www.christaldesaintmarc.com/le-colportage-un-media-dans-la-france-d-avant-les-chemins-de-fer-une-c-a175482664

     Hélas ma grand mère est morte bien avant que je connaisse le sens de ce qu'elle disait, et je regrette bien de n'avoir pu le lui révéler....


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  •  En passant à Brion sur Ource, hier, de bien jolies bottes de foin enrubannées, empilées dans une cour de ferme m'ont tapé dans l'œil !!

    Des bottes de paille enrubannées....contre le cancer !

    Je me suis bien demandée pourquoi ces bottes de paille étaient de couleurs différentes...

    Eh bien j'ai appris qu'il s'agissait d'un joli geste de la part de la Société Trioplast  et des agriculteurs en faveur de l'ARC,  pour la recherche contre le cancer.

    En effet, pour chaque rouleau de film vendu Trioplast donne 1€ et l'agriculteur donne aussi 1€, ce qui fait 2€ par rouleau reversés à la recherche contre les différents cancers.

    Mais que signifient les couleurs ?

    Tout d'abord elles permettent de différencier les différentes coupes de foin faites par le cultivateur.

    Mais les agriculteurs leur ont donné aussi un autre sens : les dons pour l'emballage rose seront destinés à la lutte contre le cancer du sein, ceux des rubans bleus le seront contre le cancer de la prostate et ceux de couleur jaune seront destinés la recherche sur le cancer de l'enfant.

    Une initiative remarquable pour la Recherche, qui donne de la beauté aux cours de ferme, ça fait chaud au cœur !

    Alors je dis Des bottes de paille enrubannées....contre le cancer ! à tous  pour cette idée généreuse !

    Plus d'explications en ouvrant ce lien :

    Trioplast vous en fait voir de toutes les couleurs pour la bonne cause

     


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  •  Claude Minard nous fait connaître aujourd'hui les origines de la fête de Pâques, et aussi de la tradition des œufs en chocolat, avec beaucoup de détails...que nous ne connaissons pas.

    Alors bravo, et merci à lui !

     

    C’est en 325 que fut établie la date précise du jour de Pâques, lors du concile de Nicée réuni par l’empereur Constantin.
    « Pâques est le dimanche qui suit le 14e jour de la Lune qui atteint cet âge le 21 mars ou immédiatement après. »

    L’intrigant silence qui régnait pendant la semaine précédant Pâques, ne manquait pas d’amener les enfants à demander « Pourquoi les cloches ne sonnent pas ? » (C’est moins vrai de nos jours)
    Et depuis le moyen âge on leur rétorque « qu’elles sont parties à Rome et que le Pape les bénirait avant leur retour ». Oui mais pourquoi… ?

    En résumé, à la fin du repas de Pâques (Pessah), ce repas bien connu et appelé la « Cène », Jésus se rendit avec ses disciples à « Gethsémani », plus connu aujourd’hui comme « Le Mont des oliviers ».

    Il demanda à ses disciples « de rester ici » et en emmena 3 avec lui (Pierre, Jacques et Jean).
    Tout 3 s’assoupirent et Jésus resté seul implora Dieu afin qu’il éloigne de lui « la coupe de l’agonie et du chagrin » et pardonne les péchés des hommes.
    Pourquoi a-t-il emmené trois disciples qui se sont assoupis et n’ont témoigné de rien ?

    Le lendemain, Jésus fut livré aux Romains par Judas, jugé et crucifié.

    C’est donc pour célébrer les heures de « Gethsémani » que, pendant trois jours et en signe de deuil, les cloches sont condamnées au silence.

    Toutefois, en certains lieux, cette coutume était détournée et le silence n’était pas respecté puisque l’on avait pris habitude de remplacer les sonneries des offices par le bruit de crécelles.

    Et dans la nuit du samedi au dimanche de Pâques, les cloches « reviennent ».
    Elles sonnent (carillonnent) pour annoncer « la joie de la résurrection du Christ ».

    Seulement, puisque depuis des lustres on a dit aux enfants qu’elles reviendraient avec des friandises qu’elles disperseraient et même qu’elles cacheraient dans les jardins et les prés… A partir de là, il fallut bien assumer…

    Si chez nous les cloches ont cette tâche redoutable, dans d’autres pays comme la Suisse, l’Autriche, ou le Brésil c’est au « Lapin de Pâques » que revient cette distribution, comme dans une partie de l’Allemagne. En Bavière cette tâche est dévolue « au coq », en Thuringe et en Westphalie c’est « le renard » qui officie…

    Les origines de Pâques....

    Jadis, ces friandises étaient de simples œufs de poule, cuit dur de préférence (quoi que quelques œufs crus ajoutaient parfois au comique…) et généralement décorés.

    Les origines de Pâques....

    Jusqu’au XIXème siècle, les œufs étaient décorés (surtout dans les campagnes) avec des couleurs naturelles :


    - Pour le rouge on utilisait de l’oignons coupés en tranches (des rouelles) que l’on faisait cuire, une décoction de racine de prunier ou encore du bois de Campêche.


    - Pour le violet, c’était de la betterave, des violettes ou du « Bois du Brésil »

    - Pour le rose, les épluchures de radis faisaient l’affaire

    - Pour le vert, des feuille d’orties ou de lierre

    - Pour le brun de la chicorée

    De plus, toutes sortes de techniques étaient utilisées pour réaliser les motifs, application de cire, enrobage de mousseline etc…

    Les origines de Pâques....

    Mais il y avait plus complexe.
    Dès le XVIIIe siècle, les œufs (frais) étaient vidés puis remplis de chocolat liquide.
    A ce propos, il faut bien dire que le « gobage » d’œufs crus s’est un peu perdu.
    Dommage c’était pourtant bien agréable…

    Ces œufs ont naturellement fait place à une multitude de répliques en chocolat et autres délices.

    Les origines de Pâques....

    -En 1847 les frères Fry (Francis, Richard et Joseph Fry), probablement les premiers chocolatiers au monde, inventent un mélange « sucre, beurre de cacao, chocolat en poudre » permettant l'obtention d’une pâte molle que l'on peut verser dans des moules.

    A partir de cet instant, l’association de l’œuf à la poule, puis plus curieusement au lapin, devint naturelle.

    Les origines de Pâques....

    Dictons :


    - Noël au balcon, Pâques aux tisons(mais aussi le fameux « Noël au balcon, Paco Rabanne »)

    - A Noël moucherons, à Pâques glaçons

    - Pâques longtemps désirées sont en un jour tôt passées

    - Quand Mardi-gras est de vert vêtu, Pâques met des habits blancs

    Parole d’enfant :


    - Est-ce que la maman d’un œuf de Pâques c’est une poule en chocolat ?


    Le saviez-vous ?


    -La Pâque, avec une majuscule, est un nom féminin singulier, c’est la fête solennelle des juifs célébrée chaque année en mémoire de leur sortie d'Égypte.

    -La pâque, sans majuscule, désigne l'agneau pascal : on « mange la pâque »

    -Pâques, au pluriel et avec une majuscule, est la fête solennelle célébrée chaque année en mémoire de la résurrection du Christ Jésus.

    -Nom féminin, il s’écrit également avec un adjectif épithète : « de joyeuses Pâques », « des Pâques heureuses ».

    -Nom masculin avec le sens elliptique de « jour de Pâques », dans les expressions : « la semaine de Pâques », « Pâques est célébré le 4 avril en 2021».

    -Faire Pâques » ou « Faire ses Pâques » signifie faire pénitence.

    Les origines de Pâques....

    Le blog de Claude Minard où vous pourrez savoir tout, absolument tout sur le Morvan ... c'est une mine de renseignements incroyable !

     www.eulglod.fr/morvan/index.htm


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  • Lorsque Dominique Masson m'a envoyé sa si intéressante étude sur "la médaille miraculeuse et Catherine Labouré"...

     http://www.christaldesaintmarc.com/la-medaille-miraculeuse-et-catherine-laboure-un-notule-d-histoire-de-d-a201765674

    ...je me suis souvenue que ma mère avait une grande dévotion pour cette médaille miraculeuse de la rue du Bac.

    En effet ma grand-mère lui fit porter, depuis sa petite enfance,  cette médaille de métal blanc, attachée avec une petite épingle de nourrice à l'intérieur de ses sous-vêtements...

    Mais quand elle est entrée dans le monde professionnel, et qu'elle a gagné sa vie, ma mère s'est procuré la médaille de la rue du Bac, mais en or cette fois...

    Elle l'a portée toute sa vie, comme un bijou, la voici telle que je la possède encore :

    La médaille miraculeuse de la rue du Bac....

    La médaille miraculeuse de la rue du Bac....

    La médaille miraculeuse de la rue du Bac....

    Cette médaille l'a assurément protégée, puisqu'elle a quitté ce monde à presque 100 ans...

    Mais j'ai un grand regret, c'est de ne pas l'avoir emmenée à Fain les Moutiers lorsqu'elle vivait avec nous à Châtillon,  pour découvrir le lieu où sa sainte préférée avait passé son enfance, ça lui aurait certainement fait un grand plaisir....

     


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  • Huguette Morin donne des cours de gymnastique très suivis aux Châtillonnais volontaires.

    Elle fait partie de la Châtillonnaise Gymnastique, et à ce titre nous a fait passer, en mars, le catalogue de cette association qui proposait de jolis objets et...des bulbes de fleurs.

    Je connaissais les fleurs de l' "œil de paon" pour en avoir admiré à Prats de Mollo, dans le jardin d'un ami. J'ai donc commandé de confiance des bulbes sur ce catalogue et je n'ai pas été déçue, tant ces fleurs sont d'une beauté époustouflante....Jugez-en :

    Un petit clin d' "oeil de paon" à Huguette Morin.....

    Les fleurs de l' "œil de paon", comme leur nom l'indique , ressemblent à l'œil dessiné sur les plumes de ce magnifique oiseau qu'est le paon.

    Ces fleurs dont le nom botanique est "Tigridia pavonia" sont appelés aussi "Lis de tigre", elles sont originaires du Mexique et du Guatemala.

    Chaque tige porte trois boutons qui éclosent l'un après l'autre, chaque fleur ne durant qu'une journée.

    Un petit clin d' "oeil de paon" à Huguette Morin.....

    Un petit clin d'oeil à Huguette Morin.....

    Quelle beauté lorsqu'elles éclosent le matin....

    Un petit clin d' "oeil de paon" à Huguette Morin.....

    Un petit clin d'oeil à Huguette Morin.....

    Un petit clin d'oeil à Huguette Morin.....

    Un petit clin d' "oeil de paon" à Huguette Morin.....

     Donc merci à Huguette de m'avoir permis de me procurer cette fleur si belle et si peu connue  et à bientôt au cours de gymnastique !

     


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  • Eulglod, un ami morvandiau qui tient un blog super intéressant sur le Morvan, m'envoie quelques photos et des vidéos d'une fête "l'Augustine, Nourrice morvandelle", un "concert-conté" interprété par le Groupe "Arpège ".

    Un peu de folklore morvandiau !

    Un peu de folklore morvandiau !

    Un peu de folklore morvandiau !

    Une présentation humoristique

     Le lendemain matin des noces présenté par l'Augustine

     La musique du lendemain des noces

    La lettre à l'Augustine

     Musique pour Noel 1883

     Le départ en Ecosse

     Une musique écossaise à la vielle

     Un cadeau pour le petit Marcel

      Les débuts musicaux du petit Marcel

    .

    http://www.eulglod.fr/morvan/folklore_072.htm

    Consultez aussi les chapitres très intéressants de ce blog, à gauche de la page.

    Eulglod fait un travail remarquable sur le Morvan tout entier, vous apprendrez beaucoup de choses sur ce territoire qui fait partie aussi ...de notre Côte d'Or !


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  •  Après avoir vu, sur ce blog, les photos des cadrans solaires exposés au musée, Eulglod, l'auteur d'un blog sensationnel et très documenté sur le Morvan :

    http://www.eulglod.fr/morvan/index.htm 

    m'envoie deux photos de sa "montre solaire" !

    J'avoue que je connaissais pas cet instrument dont il m'a expliqué le fonctionnement.

    Encore plus fort ! après les cadrans solaires, voici une montre solaire !

    La montre solaire, plus couramment appelée anneau de paysan, bague solaire ou encore cadran annulaire n’est rien moins qu’un cadran solaire apparu au XVème siècle avec les travaux de Régioimontanus, un astronome, mathématicien et astrologue allemand (1436-1476).

    L'anneau de paysan mesure la hauteur du soleil par un repère, un point de lumière percé sur une bague coulissante située au centre de l’anneau.

    Encore plus fort ! après les cadrans solaires, voici une montre solaire !

    Cette bague doit être réglée, de manière plus ou moins empirique, à la date du jour, ce qui modifie la position du point de lumière, et donc la trajectoire du rayon qui se projette sur le chiffre des heures, également gravés, sur la face interne de l’anneau.

     

    Ce système permet d'obtenir, dans la majeure partie de l'Europe (entre les latitudes Nord 35° à 55° environ) l'heure solaire avec une précision de l'ordre de 15 à 20 minutes. Au-delà de ces latitudes, la précision se dégrade.

    A noter que la précision se dégrade aussi considérablement… lorsqu’il n’y a pas de soleil.

    Autre particularité, pour utiliser correctement cette montre, il est préférable de tourner le dos au soleil sinon vous risqueriez d’attraper un torticolis en voulant regarder la projection de la lumière.

     Quelques compléments bienvenus en cliquant sur ce lien : :

    « anneau_de_paysan.pdf »


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