• Michel Lagrange, toujours inspiré par la Beauté, en littérature, musique, peinture, sculpture, arts de la scène....est présent à chaque vernissage de la Galerie d'Art et d'Or de Châtillon sur Seine, tant il admire les oeuvres exposées.

    Inspiré par les peintures, les sculptures présentées avec art par Patrick Dupressoir dans sa galerie,  il compose des poèmes qu'il lit devant le public.

    Il l'a bien sûr fait lors du vernissage des peintures de Tatsuo Jikumaru et des bronzes de Juan-Carlos Carrillo samedi 18 novembre 2017.

    Michel Lagrange a composé de merveilleux poèmes sur les superbes peintures de Tatsuo Jikumaru

    Comme Michel Lagrange sait que j'admire infiniment les peintures de Tatsuo Jikumaru, qui nous a accueillies mes amies et moi dans son cours de peinture à Montbard, il m'a donné le superbe poème qu'il a composé en son honneur ...Merci à lui.

    Michel Lagrange a composé de merveilleux poèmes sur les superbes peintures de Tatsuo Jikumaru

    LES APPARITIONS DE JIKUMARU

     

     Affleurement

    Si loin… si proche...

    Au bord de l’invisible,

    On sort du temps,

    Des pesanteurs de la réalité, des hasards de la prose,

    Et des lois de l’espace.

     

    Un rêve… il s’agit de rêver

    D’u royaume intime étrange étranger…

    À mi-chemin de l’univers sensible

    Et d’une image issue des profondeurs…

     

    Au fil d’un sable bleu,

    La lune

    Est en apesanteur magique,

    Exprès pour que la nuit, de concert avec moi,

    Murmure en paix.

     

    Espace imaginaire

    Et plus vrai que réel,

    Où librement se défont nos lourdeurs

    Qui sont de pauvres certitudes.

     

    Entre mes yeux qui l’interrogent

    Et l’apparition d’une femme,

    Il y a cette imprécision

    Précieuse…

     

    « Il-était-une-fois » des contes

    Illustre ainsi les contours vaporeux

    Où vit le légendaire.

     

    Apparition de femme…

    Évasive… informelle…

    Ailleurs et autrement…

     Elle est… elle n’est pas…

    Son index tendu désigne un mystère…

     

    En approcher, c’est convertir la vie

    Au plus intime, au plus offrant

    D’un nouveau contre-jour.

     

    Frémissements…Félicités…

    L’écho d’une ombre

    Est un soleil pâli.

     

    Dans la paume du ciel,

    L’hiver d’un arbre

    Est un sillon vital

    Dont il me garantit la profondeur.

     

    Envol silencieux du plaisir,

    Une autre clarté est à l’œuvre…

    On est dans le chuchotement

    D’un verset sur mesure.

     

    On passe à travers l’apparence,

    On y étreint une forme incertaine

    Où rien ne réduit l’horizon…

     

    Les limbes…

    Existent-ils entre la vie et l’au-delà,

    Comme entre la mort et le renouveau ?

     

    Fruit d’or de l’idéal...

     

    Qui confond brouillard et brouillon

    Ne mérite pas cet envol d’oiseau.

     

    Aucun effacement ne peut mettre à néant

    Une idée souveraine.

    Il la purifie

    De toute anecdote.

     

     

    Accommodant sur la beauté,

    C’est l’infini que je rencontre.

     

    Une harmonie… une vue spirituelle…

     

    À s’enflammer pour un « peut-être »,

    On met le feu à du hasard,

    Et le destin s’en souviendra.

     

     Le nombre d’or du temps qui passe

    Est la mise en couleurs de ces apparitions.

     

    L’amour…

    Le désir de beauté m’oblige

    À changer d’envergure et de lumière intime…

     

    Apparition… secret providentiel…

    Un homme au bord de l’au-delà

    Ne peut pas crier ce qu’il peint.

     

    Il murmure en couleurs

    Le jeu subtil d’un filigrane

    Encore en chrysalide…

     

    Il apprivoise un univers qui pose une auréole

    Autour de la Lumière…

     

    Apparition… vertu d’offrande…

    Et je sors victorieux de mes contours d’orage.

     

     

     


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  • Les sculptures d'Eric de Laclos ont inspiré Michel Lagrange....

    Ce texte « Un troublant jeu d’échos » veut traduire le travail du sculpteur Éric de Laclos, dans la cour du  Musée de Châtillon. Il a repris les deux statues mutilées trouvées auprès de la tombe de Vix, exposées au Musée, qu’il a « ressuscitées », semblables aux originaux, mais complètes, et renouvelées.

    D’abord, il interroge la pierre. Il s’agit pour lui de dégager ce qui se trouve enfoui dans le matériau. De libérer ce qui demeure emprisonné. La mémoire du sculpteur et celle de la pierre travaillent de concert.

    Il y a dans cette entreprise quelque chose de troublant. L’apparition d’une création originale et fidèle à un modèle antérieur de plusieurs siècles. C’est comme si le sculpteur repartait en amont, à la source d’une œuvre, tout en créant son propre univers, selon sa sensibilité et son propre style.

    Le résultat est fascinant. Les œuvres achevées relèvent à la fois de la copie et de l’originalité, de l’identique et du dissemblable, du mensonge et du véridique.

    Ce qui est le propre de toute création, qui puise dans la culture et dans le génie personnel de l’artiste.  

        

    UN  TROUBLANT  JEU  D’ÉCHOS

     

     Deux statues fondatrices

    Au musée de mémoire,

    Entre la vie glorieuse

    Et la mutilation mortelle.

     

    Une femme et un homme,

    Assis, exilés du pouvoir,

    Guetteurs décapités.

     

    En bas, entre l’église et le verger,

    Où la curiosité s’oriente et se prépare

    Aux visions sans coutures,

    Un sculpteur inaugure

    Un chemin de mémoire.

     

    A pris deux blocs d’un chaos primitif.

     

    Les interroge à tour de rôle :

    Te souviens-tu de cette femme

    Et de cet homme, assis dans ce musée,

    Frappés par la damnation de mémoire?

    Conduis-moi vers ces deux guetteurs. 

     

    La pierre a donné son accord.

     

    Remontant le cours de l’histoire,

    Il taille… il cisèle…il travaille

    En harmonie avec l’esprit et la main d’autrefois.

    Comme un archéologue,

    Il investit la nuit des hommes…

     

    Alors que le verger

    Sculpte ses fruitiers sans un bruit,

    Chaque coup de ciseau pénètre un courant pétrifié.

     

    Abîme et prospection.

    Quelque chose en amont cherche à me parvenir…

     

    Ce qui restait dissimulé,

    Le sculpteur le retrouve

    Et le réhabilite à ciel ouvert

    Qui est de tous les siècles... 

     

    Un chant profond,

    De l’estuaire à la source…

     

    Invention… délivrance…

    Union de la mémoire et de l’imaginaire…

    Du pareil et du dissemblable…

     

    Obscur, tellurique, ambigu,

    Hier croyait finir quand il revient

    Sur les versants de la coïncidence

    Heureuse et véridique.

     

    Une femme et un homme,

    Auxquels je rends le souffle

    Et la liberté d’exister

    Posthumes.

     

    Retour monumental à la sacralité

    Profanée volontairement

    Au temps où les statues étaient vivantes.

     

    Opération magique où le temps rebondit

    Dans l’imprévu de l’écho nouveau-né.

     

    En sont témoins les copeaux de la pierre

    Et le tremblement de mes mains

    Striées par les siècles vaincus. 

     


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  • Lors du vernissage de l'exposition de "La cave aux oiseaux", en hommage aux découvertes de Jean-François Chéreau auteur de fouilles à Chamesson, Michel Lagrange a offert à Jean-François Chéreau, et au public, un superbe hymne à l'oiseau sous terre qui renaît à la vie lorsqu'il revoit la lumière...

    "L'oiseau sous terre", un superbe poème de Michel Lagrange

     L’OISEAU SOUS TERRE

     

    Énigme à demi-effacée…

    Avenir d’autrefois…

    Rêve d’une ombre ensevelie…

     

    La vie attend sous terre

    Une exultation qui la justifie

    Et la métamorphose.

     

    Innocence et mystère…

    Une espérance,

    Un frémissement se souvient…

     

    Le temps s’est arrêté,

    Le temps qui vieillit dans nos caves

    Et qu’on oublie,

    Jusqu’à ce qu’il se fasse entendre…

     

    Quelques pierres… un décor… des rinceaux de couleurs…

    Un oiseau s’impatiente…

     

    Hantée de souvenirs et de pressentiments,

    Ma maison a connu, certains jours, des frissons

    Que l’oiseau seul expliquera, plus tard…

     

    Quel temps fait-il continûment sous terre ?

    Une nuit d’exil écrasant,

    Plus bas que ciel… plus haut que terre…

     

    Enfin, la découverte au bout de mes tâtonnements…

     

    Le tremblement du temps qui se délivre…

    Le regard d’un oiseau rattrapé par la vie…

     

    Entre chaos et sauvegarde,

    Une œuvre d’art,

    L’accord silencieux de la terre et de l’esprit.

     

    Je suis l’acteur qui fait renaître

    Un oiseau des siècles des siècles...

     

    Espérant qu’il ne succombera pas

    Aux éléments d’une terre étrangère

    Et d’un ciel inhospitalier,

    Je fais monter l’oiseau vers la lumière.

     

    Dans le faux jour d’une fresque inventée

    Par le besoin de vivre ailleurs,

    Un oiseau apparaît,

    Pour la première fois, perdu et retrouvé…

     

    Cet oiseau… quelques autres…

    Entre l’absolu de l’artiste

    Et la cécité du sous-sol.

     

    Illusion des temps confondus…

     

    L’oiseau dont je ne savais rien

    Se réalise et redonne à mes yeux

    La naïveté de l’enfance.

     

    Un oiseau, contemporain de mes jours

    Autant que du peintre appliqué

    Au panneau sans bruit de ses fresques.

     

    À mes questions, l’oiseau répond

    À hauteur d’homme.

     

    Un souffle issu de mon passé

    Devient mon avenir,

    Comme si les événements de ce lieu de ma vie

    Ne se succédaient pas,

    Mais demeuraient contemporains,

    Simultanés, heureux que nous nous retrouvions

    Ici et maintenant.

     

     Le paradis tient tout entier

    Dans l’oiseau qui regarde un homme

    En train de lui redonner vie.

     

     Un homme, à revoir l’éclat d’une étoile éteinte,

    Acquiert profondeur et vertige.

    Il est réinventé.

     

     A cappella, l’oiseau qui se met à chanter

    Contient les chants de toutes les époques.

    Il est mémoire… oubli… résurrection.

    Un nouveau temps commence…

     

    Un oiseau, les oiseaux sans nom

    Qui font d’un arbre un pays de non-lieu,

    Alors que se fait oublier

    La nuit pesante et sans couture.

     

    Oiseau que l’ankylose a failli pétrifier,

    Mais qui reçoit de la curiosité solaire

    Une envie d’envol à nouveau…

     

    Ainsi pactise un soleil aujourd’hui

    Avec l’Antiquité d’un village en Bourgogne…

     


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  •  "L'association des Amis de Saint-Phal représentant des hommes et des femmes très attachés à ce site millénaire, remercie Michel Lagrange et lui présente toute sa gratitude d'avoir su exprimer à travers des phrases poétiques le désarroi ressenti, après la découverte de cette chapelle éventrée, lacérée, triste accouchée de dalles disparues et vouées à couvrir des sols étrangers."

                         En hommage et remerciements à Michel Lagrange.          Philippe Fonquernie

    Saint-Phal, petite église écorchée vive, un poème de Michel Lagrange

    CHAPELLE  SAINT-PHAL

     

     Écorchée vive,

    Au plus obscur de la nuit des humains.

     

    Dépouillé, ton sol n’était pas

    De simples pierres.

    Tes dalles font partie

    Du credo de nos siècles.

     

    Insultée sans scrupules

    Et rendue à la terre,

    Tu es labourée comme si

    Tu pouvais donner plus de fruits

    À ta colline aux arbres verts.

     

    Tout un pan de ton histoire est parti,

    Vandalisé, martyrisé,

    Petite église au sommet de toi-même.

     

    Dilapidé dallage originel…

    Une apparence horizontale

    En souvenir de nos gisants,

    Mais à hauteur de l’espérance et de la foi…

     

    Ainsi, le Christ fut dépouillé

    De ses vêtements de blancheur,

    Tourné en dérision.

    Blessé au flanc.

     Et nous, terre battue, et autant dévastés,

    C’est d’un dallage intemporel

    Que nous nous trouvons investis

    Au sablier de notre temps.

     

    C’est l’humilité de l’humus

    Que ce désastre ici découvre.

     

    Il nous rappelle un désert aux pieds nus,

    Et le secret d’une  prière

    À contre-courant de la nuit des hommes.

     

    Rien ne profanera le credo qui nous porte,

    Et chaque dalle,

    Obligée de servir, ailleurs et autrement,

    Dira nos fondations vitales.

     

    ( Michel Lagrange. Lauréat de l’Académie française.)

    Monsieur Fonquernie vous communique :

    Un concert de musique baroque, chant et clavecin, sur le thème de la mélancolie sera donné le samedi 9 juillet à 20h30 dans la chapelle.Nous aurons le plaisir de vous y retrouver malgré les dégâts causés par des êtres sans foi ni loi.

    Réservez par avance votre soirée dont les bénéfices iront à la restauration de la chapelle Saint-Phal.


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  • Michel Lagrange a été bouleversé par les assassinats perpétrés par des barbares, assassinats d'êtres humains, mais aussi destructions d'œuvres d'art millénaires.

    Il a composé ce magnifique poème qu'il m'a autorisée à publier, merci à lui.

    L’INCENDIE

     L’inévitable est arrivé.

    Le temps s’est corrompu.

    Il a spontanément mis à feu

    Et à sang nos œuvres majuscules.

     

    Tourments des brasiers sur notre idéal

    Accumulé le long des siècles,

    Et dont l’écho est dans le cœur

    De nos besoins de certitudes.

     

    Ouvrant le rythme des saisons

    À l’au-delà des jours,

    La beauté de tant de chefs-d’œuvre

    Est devenue vertu vitale

    Offerte à l’air que je respire

    Et qui me garantit

    Mon statut d’être humain.

     

    Ricanements des livres convulsés,

    Crépitements des toiles peintes,

    Éclatements des marbres purs

    Promis aux décombres nocturnes...

     

    Ces œuvres sont la proie des flammes,

    Exterminées par le plaisir

    Sans regard des sentences.

     

    L’enfant qui meurt… l’œuvre d’art qui s’éteint…

     

    Mêmes douleurs, mêmes blasphèmes,

    Même effroi scandaleux

    Pour le déshérité

    Dont le désir est plus grand que la peur,

    Et qui a faim chaque jour au désert.

     

     J’ose espérer que ma douleur est bonne,

    Et que dans l’air chauffé à blanc

    L’esprit des morts s’élève au ciel

    Pour ne plus retomber dans nos indignités.

     

    Je crois au paradis des œuvres d’art,

    Et des enfants martyrs.

     

    Ce paradis tourne autour de la terre

    En anneau bienfaisant…

    Il donne ses couleurs aux jours festifs

    Où Orphée se déplace en altitude et profondeur,

    Au nom de l’idéal humain…

     

    Ce sont les jours de l’espérance

    Où l’homme en quête de repères

    Attend la mort pour ne plus avoir peur

    De vivre

    Exclu de ses chefs-d’œuvre.

     


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  • "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    Après le concert spirituel donné en l'église Saint-Pierre, anciennement Notre-Dame, par les Ambrosiniens, la Schola de Pontigny et les Dames de Pontigny, Michel Lagrange a dédicacé son nouveau livre, illustré de photos de Bernard Béros : "Le dernier jour de saint Bernard" suivi de "Clairvaux, Prison-Prière"

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    Michel Lagrange a dédicacé son ouvrage à de nombreux châtillonnais, en dédiant à chacun un message personnel, superbe preuve de son humanité et de sa bienveillance.

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    Bernard Béros y a ajouté sa signature.

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    Et avec chacun des lecteurs, ils ont eu un contact chaleureux...

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    La première partie du livre de Michel Lagrange est consacrée à saint Bernard, qui, sur son lit de mort, se remémore sa vie qui, bien que courte, fut si intense spirituellement et matériellement.

    Le texte est magnifique et émouvant, on suit en effet Bernard depuis sa tendre enfance, à côté de ses parents et de ses frères et sœur, on le retrouve à Saint Vorles auprès des chanoines, à Citeaux qu'il rejoignit avec de nombreux adeptes, bien sûr à Clairvaux qu'il fonda et lors de ses nombreuses rencontres et voyages, malgré sa santé chancelante.

    Bernard Béros a illustré le texte de l'auteur avec des photos qui nous montrent les lieux où le saint à vécu.

    Quelques pages parmi les nombreuses qui illustrent si bien le livre :

    A Châtillon sur Seine :

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    A Citeaux :

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    A Clairvaux :

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    La seconde partie du livre de Michel Lagrange s'intitule "Prison-Prière". Ce poème poignant lui a été inspiré par la vue des miradors de la prison de Clairvaux où les surveillants pénitentiaires regardent vers le sol ...alors que du temps de Bernard, les moines levaient les yeux vers le ciel en d'ardentes prières..

    Bernard Béros a encore ici illustré l'ouvrage de Michel Lagrange de belles photos, voici deux exemples parmi de très nombreuses pages,  qui nous montrent Clairvaux que d'habitude on n'a pas le droit de photographier.

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

    "Le dernier jour de saint Bernard" et "Clairvaux Prison-Prière" un livre de Michel Lagrange et Bernard Béros

     

     


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