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L'élection de Miss Côte d'Or aura lieu au théâtre Gaston Bernard de Châtillon sur Seine :
LE SAMEDI 29 AVRIL 2017
Voici les bénévoles qui ont préparé pour vous une soirée inoubliable...
Miss France 2017, Alicia Aylies sera présente et vous aurez le plaisir d'assister à un show exceptionnel de la troupe "Ose Cabaret".
Les candidates filmées par Pierre Magès lors du casting :
Le défilé des candidates en tenue de ville :
La vente des billets pour l'élection de Miss Côte d'or aura lieu :
les 19, 20, 21 , et 25, 26, 27 avril de 14 heures à 17 h
au théâtre Gaston Bernard de Châtillon sur Seine
prix de la place : 18 euros
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Les professeurs et les élèves de l’Ecole Municipale de Musique ont été heureux d'accueillir un public très nombreux pour leur concert 2017.
Cette année le programme a fait place à la chanson : de Claude Nougaro à Radiohead en passant par Serge Gainsbourg et les Beatles.
Un programme varié arrangé pour orchestre, chœurs et solistes.
Caroline Martin a présenté le programme et a remercié élèves et professeurs de l'E.M.M. pour leur travail assidu et constant.
Le concert a commencé par "Armstrong" de Claude Nougaro, la musique a été interprétée par les élèves chevronnés, et le chant par les plus jeunes qui n'ont pas encore beaucoup d'expérience dans la pratique d'un instrument.
Il est cinq heures, Paris s'éveille (Jacques Dutronc) avec Sanaé Idblal :
Crosstown Traffic (Jimmy Hendrix)
Eleanor Rigby (The Beatles)
Here, there and everywhere (The Beatles)
Diggin' on James Brown (Tower of Tower)
Shipbuilding (Yaël Naïm)
Let it be (The Beatles)
Sweet dreams (Eurythmics)
The great gig in the sky (Pink Floyd)
Black trombone et la Javanaise (Serge Gainsbourg)
L'amour sorcier (Claude Nougaro)
I want you (The Beatles)
California dreamin' (The Mamas and the Papas)
Paranoïd Androïd (Radiohead)
They don't care about us (Ibrahim Maalouf)
Come together (The Beatles)
Gone under (Snarky Puppy)
Caroline Martin, Directrice de l'E.M.M. de Châtillon sur Seine a remercié la Municipalité de Châtillon sur Seine, la Direction du TGB, Sanaé Idblal (chant), Florent Hazouard (son) et Gilles Milliet (lumières), les professeurs attentifs, dévoués et passionnés, les élèves petits et grands pour leur travail, leur énergie et leur joie, les parents pour leur aide précieuse et leur dévouement tout au long de l'année, et le public venu nombreux encourager les stars d'un jour...
A l'année prochaine !
Disciplines enseignées à l'Ecole Municipale de Musique de Châtillon sur Seine :
Clarinette, saxophone, flûte à bec, flûte traversière, trompette, trombone, tuba, piano, guitare, batterie, percussions, djembé, choeur, formation musicale, éveil musical, option musique du baccalauréat.
Renseignements/Inscriptions :
E.M.M. 17 rue de Seine 21400 Châtillon sur Seine
Tel : 03.80.81.28.29 06.18.36.27.07
E.mail : ecoledemusique.chatillon@orange.fr
Evénements à venir :
-Vendredi 12 mai : audition de la classe de piano
-Samedi 20 mai : audition de la classe de flûte traversière
-Samedi 3 juin : Journées Châtillonnaises , cours l'Abbé : musique brésilienne
-Samedi 10 juin : audition des classes de trompette, trombone et tuba
-Mercredi 21 juin : Fête de la Musique Châtillon sur Seine (centre ville) musique des Balkans
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Par Christaldesaintmarc dans -LES SOUVENIRS DE PIERRE ROY d'Aisey sur Seine le 14 Avril 2017 à 06:00
Noël
La cérémonie de Noël était célébrée à l’église dans une ambiance de calme et de recueillement en attendant minuit, la venue du Messie .
La crèche était constituée de quatre sapins de bonne taille, de papier gris, de mousse, de paille, la grotte reproduite avec l’enfant Jésus, tous les rois mages et animaux 30/35cm ce qui donnait une idée plus appropriée que les sujets et autres santons de 6cm.
On venait y allumer une petite bougie.
Minuit moins le quart, la vieille cloche tintait, les fidèles se rendaient à cette messe à pied, avec la lanterne à bougie ou tempête à pétrole.
Dans l’obscurité du village, on voyait ces petites « luzottes » (lumières) converger vers le pôle de la sagesse.
Les rues étaient obscures, la lumière électrique n’existait pas (1928).
Dans l’église tous les beaux lustres étaient garnis de bougies allumées, tandis qu’un gros cubilot américain tentait de réchauffer l’air.
A minuit, les cloches sonnaient à toute volée, puis l’office se déroulait avec communion pour les fidèles préparés à ce repas .
La messe terminée, chacun regagnait ses pénates, quelques groupes de jeunes gens et jeunes filles se réunissaient dans une famille, 10 à 12 personnes. Devant l’âtre de la cheminée où les flammes pétillaient, dans une grande poële à trous, à long manche, les marrons crépitaient, ceux-ci fendus au centre afin qu’ils soient plus faciles à éplucher pour les déguster. On grignotait des noisettes, des noix arrosées d’un bol de vin chaud sucré, c’était modeste en comparaison des réveillons d’aujourd’hui.
Avant ou après la messe de Minuit, selon certains, les enfants ciraient chaussures et sabots, les rangeaient près de la cheminée, qui était le mode de chauffage assez classique.
Au matin, dans ceux-ci il y avait deux oranges, quelques bon bons et papillottes . On remerciait le Père Noël en parlant dans la cheminée.
Les portes étaient ouvertes afin d’adoucir la température des pièces avant d’aller se coucher dans des lits froids. Chacun avait soit un cruchon d’eau bouillante, brique chauffée dans la braise, enveloppée dans un linge. Dans la journée, les personnes rhumatisantes, assises, avaient une chaufferette à braises pour se réchauffer les pieds.
Je ne me souviens pas que dans les familles il y ait eu des sapins de Noël, il est vrai que l’on ne se fourrait pas chez les gens. Par contre certains accrochaient une boule de gui au plafond, porte-bonheur pour la famille « Au gui l’an neuf ».
1er janvier
Le Jour de l’An, des étrennes, des cadeaux, crayons de couleur, poupées en tissus avec têtes en porcelaine bien jolies ma foi,livres d’enfants .
Les enfants se rendaient chez leurs grands-parents, souhaiter la bonne année, bonne santé, puis dans le village à tous les habitants, ce qui rapportait quelques petits sous, gaufres et parfois rien de quelques vieillards de condition modeste .
Ce n’était pas l’intérêt, mais le plaisir de prodiguer ces souhaits sincères, ils nous embrassaient sur le front.
Les Rois
Quelques familles, avec une pâte à pain améliorée, faisaient une galette.
A la Chandeleur, ma grand-mère faisait des crêpes, et des crèpiats plus épais, qui remplaçaient le dîner « carême » suivi par les personnes pratiquantes à faire maigre, c'est-à-dire repas sans viande le jeudi et le vendredi.
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Le Salon des Antiquaires du Lions Club de Châtillon sur Seine et du Pays Châtillonnais a été inauguré par sa Présidente, madame Marie-Line Mion.
La présidente a rappelé que le Lions Club Châtillonnais fête cette année ses quarante ans d'existence et que ce salon est le vingt-cinquième organisé par le Club.
Elle a rappelé que le LionsClub est un club-service dont les buts sont humanitaires et que les bénéfices de ce salon permettront au Club de réaliser de nombreuses actions.
Marie-Line Mion a inauguré le salon des Antiquaires 2017 en compagnie des membres du Lions Club, du Président de la Communauté de Communes du Pays Châtillonnais, Jérémie Brigand, et du Maire de Châtillon sur Seine, Hubert Brigand. C'est ce dernier qui a coupé le ruban.
Quelques photos des superbes stands du salon.
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Les Amis du Châtillonnais ont demandé à un collectionneur Châtillonnais, Pierre Delval, d'exposer sa fabuleuse collection d'affiches , de panneaux explicatifs, de maquettes salle des Bénédictines .
Une collection haute en couleurs...
Au fond de la salle on pouvait admirer la reproduction du chapiteau du cirque Pinder, des années 60, ainsi que des véhicules miniatures .
et des "objets dérivés"...
Jenry Camus, Président des Amis du Châtillonnais a présenté l'exposition en compagnie d'Hubert Brigand, Maire de la ville.
Pierre Delval a conté son parcours de collectionneur et nous a confié que tout ce qu'il possédait n'était pas exposé !
Des écoliers, ravis, sont venus visiter l'exposition....
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Pascaline Kromicheff, "De la voix au Chapitre" envoie un message aux lecteurs de ce blog :
Pascaline KROMICHEFF Association De la Voix au Chapitre
2 rue du Four, 21400 PUITS
06 32 52 81 02 pascaline.ecrivain@gmail.com
Puits, le 7 avril 2017
Madame, Monsieur,
Permettez-moi de vous exposer un projet de livre qui me tient particulièrement à cœur et pour lequel je vous propose de m’aider.
Projet d’édition d’un livre « Nos P’tits Bals perdus » Du temps où la campagne faisait la fête tous les dimanches.Dans toutes les campagnes de France, les années trente à quatre-vingt-dix ont été l’âge d’or des “bals montés” qui réunissaient sur les parquets de danse jeunes et moins jeunes à l’occasion des fêtes villageoises. Antres du musette, ils se sont adaptés aux airs yéyés mais ont succombé peu après l’arrivée de la vague des “disco-mobiles”. Les entrepreneurs de bals ambulants installaient leur rotonde sur les places des communes. Souvent, des forains du secteur montaient leurs manèges et leurs jeux à proximité. L’ensemble constituait un événement local, les familles du village invitaient leurs proches pour profiter de ces deux ou trois jours de fête annuels qui savait rassembler petits et grands. Autour de Châtillon-sur-Seine, en Haute Côte-d’Or, les fêtes patronales et les bals montés (bals Tardy, Ronnot, Roger, Verry, Foveau…) constituent un véritable patrimoine historique immatériel. Cette zone rurale est d’ailleurs représentative de bien d’autres campagnes en France qui ont vécu la même mode !
Beaucoup de personnes de différentes générations se souviennent encore de l’arrivée des forains au village, des orchestres à la mode (Les Minis stars, Charly Jack, Argon…), des confiseries (nougat, pommes d’amour, Anis de Flavigny ®…), des manèges comme le “cri-cri” et les “autos-skooters”.
Certains sont nostalgiques des dancings éphémères tels le “Truc Much”, le “Neptune” ou le “Relax” qui ont aujourd’hui disparu, remplacés par des dancings fixes où les airs “rétro” ont encore le vent en poupe. Il s’agit là de la mémoire collective et vivante d’une pratique populaire autrefois très répandue. Les forains et les orchestres animaient le monde rural, participaient à la vie des villages, créaient du lien social, favorisaient les rencontres « intergénérationnelles » avant même que le mot ne soit inventé !
Tant que les témoins directs de cette pratique sont encore accessibles, collecter leurs mémoires revient à préserver un précieux patrimoine. En faire un livre permet de conserver ces témoignages accompagnés de nombreuses photos et documents. De plus, le livre est un moyen de fédérer lecteurs et témoins autour de souvenirs partagés, de faire ressentir une identité commune qui se construit d’autant mieux qu’elle est reconnue et mise en valeur.
Ce livre illustré dressera un état des lieux juste et pertinent du divertissement populaire à la campagne. À l’image des fêtes et bals ambulants, il colportera les valeurs qu’il met en avant : liberté, créativité, ouverture d’esprit, partage, cohésion, solidarité, tolérance.La sortie de « Nos P’tits Bals perdus » est prévue pour fin 2017. À ma connaissance, aucun livre ne traite exclusivement ce sujet. J’ai déjà collecté et transcrit une quarantaine d’authentiques témoignages auprès d’anciens entrepreneurs de bals, de musiciens, de forains, de clients… Ils décrivent l’évolution du divertissement populaire en milieu rural, en particulier en Châtillonnais, Barséquanais, Haute-Marne, et à l’est de l’Yonne. Les bals et fêtes foraines sont montrés comme moments très forts de rassemblement et de cohésion entre des personnes de tous les milieux. Les témoins mélomanes mettent l’accent sur l’évolution des « musiques à danser » jouées sous les rotondes mobiles par des orchestres hélas peu à peu remplacés par des DJ…
Après trois années de recherches et de travail, le collectage des témoignages et des photos touche à sa fin. J’ai réalisé – sur mon temps libre – une bonne partie de la transcription de ces témoignages, il me reste à effectuer la mise en page… Et de prévoir l’impression du livre !
Aujourd’hui, j’ai besoin de vous pour que ce joli projet puisse aboutir. L’entreprise dijonnaise AGÉOR (Pierre Gotte) m’a fourni un devis pour l’impression de 1 000 exemplaires du livre qui s’élève à 8 000 euros.
Les petits ruisseaux font les grandes rivières ! L’association loi 1901 De la Voix au Chapitre est la porteuse du projet. Nous sommes à la recherche de soutiens financiers et/ou d’appuis techniques pour imprimer et diffuser ce livre. Afin de lui offrir une sortie digne de ce nom, une manifestation campagnarde du type bal monté et fête foraine est envisagée dans la région de Châtillon-sur-Seine…Si mon travail, l'univers du livre, l'univers de la danse populaire, du bal et des fêtes foraines, le collectage des mémoires ou encore l'histoire du Châtillonnais vous intéresse, vous pouvez soutenir financièrement l'édition de mon prochain livre "Nos p'tits bals perdus - Du temps où la campagne faisait la fête tous les dimanches".
Même avec une toute petite somme ce serait chouette, car rappelez-vous, les petits ruisseaux font les grandes rivières, d'ailleurs chaque petite lettre et signe de ponctuation contribue à écrire un livre.Bien entendu, les grosses sommes sont aussi bienvenues... ;-)Voici le lien vers une cagnotte entièrement sécurisée :Tout y est expliqué et je reste à votre disposition si vous avez des questions ou des propositions.Amicalement
Pascaline
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