Jean Ponsignon vous communique :

j’ai besoin de vous pour mener à bien un projet éditorial historique et original que je vous présente ci-dessous.

C’est un projet de publication en 4 tomes de la « Correspondance de mes ancêtres » réunis dans un coffret constituant un cadeau original d’intérêt culturel et historique. Cette présentation est réservée aux souscripteurs et ne sera pas vendue chez les libraires, qui se contenteront de vendre les ouvrages séparément !

Pour aboutir, ce projet a encore besoin de quelques soutiens qui l’accompagnent ; c’est l’objectif de mon courrier et de cette brève description.

Le hasard a fait que la conjonction de deux événements : le deuxième confinement de 2021, et la mort d’un proche, m’ait fait découvrir dans un grenier un coffre en bois contenant des centaines de lettres et de documents relatifs à des ancêtres, dormant là, depuis un peu plus d’un siècle (fin de la guerre de 14) qui ne m’étaient pas connus et dont j’ai découvert la vie, sortant de l’ordinaire, de leurs auteurs, et me suis rendu compte de leur grand intérêt historique. Leurs écrits seront rassemblés dans 4 tomes rassemblés dans un joli coffret qui sortira en juillet prochain. Mais j’ai besoin d’avoir environ 150 commandes en souscription.

• Tome 1 - Laurent Jourdain qui pour quitter sa famille, demande son émancipation, et s’engage sans vocation militaire, mais va, entrainé par l’épopée révolutionnaire et napoléonienne, finir sa carrière comme colonel blessé à la bataille de la Moscova (ce qui lui évitera la retraite de Russie). Ses lettres à sa famille (1792 – 1812) n’ayant pas subi de censures sont une source d’informations exceptionnelles sur sa vie quotidienne, ses combats et ses amours.

• Tome 2 - Pierre Etienne Gombault, modeste employé de mairie à Orléans au début de la révolution, père de quatre enfants, dont un estropié, et ayant du mal à faire vivre sa famille décide, embobiné par un escroc, de partir faire « fortune » à Saint Domingue. Il y perdra ses dernières économies et finira massacré en 1804 à Cap Haïtien, comme la quasi-totalité des blancs, lors de la célèbre insurrection. Mais les lettres (1789 – 1807) concernant son voyage à travers la France jusqu’à son embarquement, la traversée de l’Atlantique, et les quatre années sur place nous permettent de l’accompagner dans sa descente aux enfers. En 1807, 3 ans après sa mort, sa femme recevra une lettre la prévenant qu’il a été tué par des « cannibales » (sic).

• Tome 3 - Deux générations plus tard nous découvrirons la correspondance de Julie Blondeau (une de leur nièce un peu éloignée). La plupart des lettres ont été écrites depuis La Roche-en-Brenil et Saulieu, deux communes de Côte d’Or situées dans le Morvan. Cette correspondance témoigne de 1838 à 1904 :

D’une certaine aigreur, voire âpreté, dans les relations familiales, exacerbée par la gêne dans laquelle se trouve le couple Blondeau-Gombault, et qui se termine en brouille générale.

De la tendresse tout de même de Julie pour son père et sa mère, malgré le peu d’entente de son mari avec ses parents

Le jeune Henri, que l’on voit grandir au fil des pages, apporte une touche de bonne humeur, de gaieté, de santé. Il va devenir un librettiste d’opérettes très célèbre à son époque

Ces correspondances sont surtout le témoignage vivant de la vie d’une petite bourgeoise qui s’introduit avec aisance dans le milieu aisé d’une petite ville de province et qui, grâce à ses lettres, nous fait vivre son quotidien, entre les nombreuses « visites » et invitations dont elle raffole et les questions d’approvisionnement de viandes et de légumes.

Elle nous fait vivre les déplacements et les péripéties de son cheval et l’importance de l’homme qui conduit la diligence pour Paris.

Certes les ennuis d’argent et les mésententes conjugales sont toujours présents en toile de fond.

• Tome 4 - Une génération plus tard on lira la correspondance de mon grand-père le colonel Edmond Ponsignon (les documents recueillis vont de 1859 à 1949), de mon Père Maurice Ponsignon de Chamesson et de ma grand-tante Eugénie Riu infirmière de la Croix Rouge (fille du général Riu) de Chamesson également. Outre les documents issus des Archives Militaires de Vincennes, ont été retrouvés le journal de marche du régiment du colonel et les très nombreuses lettres adressées à son fils et à sa belle-sœur, depuis un hôpital de Dijon où il est soigné après avoir été blessé très sévèrement ; ces échanges donnent une coloration très vivante à cette période dramatique de l’histoire. Eugénie Riu – infirmière de la Croix Rouge y décrit ses travaux dans 10 hôpitaux militaires, dont celui de Châtillon.

Une description du contenu du coffret rassemblant les 4 tomes est jointe à ce courrier. Il s’agit de témoignages rares, de premières mains d’événements marquants de notre histoire.

Ce projet est déjà financé au tiers, mais pour voir le jour il a encore besoin de soutiens qui acceptent de s’engager à acquérir un ou deux coffrets au prix de souscription de 60 euros, auquel il conviendra d’ajouter le port.

Bien entendu on peut en acquérir pour faire quelques cadeaux.

C’est pourquoi je joins à cet envoi un bon de réservation.

Bien entendu je suis prêt à répondre à toute questions et à échanger avec vous sur ce sujet

Bien amicalement,

Jean Ponsignon

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BON DE SOUSCRIPTION

Nom …………………………………………………

Prénom ………………………………………………..

Adresse ………………………………………………

Adresse Mail …………………………………………

Réserve (nombre)  ……. Exemplaires du coffret « Correspondance de mes ancêtres » au prix de 60 euros par coffret auquel il conviendra d’ajouter le port.

Une fois l’édition réalisée (fin juillet) je vous préciserai le prix du port et vous demanderai le règlement.