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C'est le printemps tant attendu, les oiseaux vont maintenant se débrouiller seuls pour chercher leur nourriture, je ne leur donne plus rien, c'est le conseil de la LPO..
Il y a néanmoins quelques irréductibles qui continueront de venir comme ces tourterelles à collier bien sympathiques et toujours en couple..
La large plage gris pâle formée par une partie des couvertures alaires (grandes, primaires et secondaires internes) contraste avec le gris sombre des secondaires externes et le gris brun des rémiges primaires. Cette couleur se retrouve au niveau du dessus de la queue, seulement marquée aux coins par la coloration blanc crème des extrémités des rectrices, surtout les plus externes. Les deux sexes sont semblables et ne peuvent généralement être reconnus que par leur comportement en période de reproduction.
qu'il fait bon dormir au soleil revenu !
Des pies on en verra toujours, très difficiles à photographier , car toujours en mouvement..
Les derniers que je présenterai ce sont ceux que j'aime le moins : les moineaux domestiques, culottés, braillards..pour eux il y aura quand même quelques miettes de pain durant la belle saison...
Le moineau domestique adulte mâle a le dos brun strié de noir. Les scapulaires sont châtain. Les ailes sont brunâtres avec des barres alaires blanches. Le croupion est gris. La queue est gris-brun foncé.
Les parties inférieures sont plus claires, avec la poitrine et l'abdomen gris uni. En plumage nuptial, le mâle a une bavette noire.
La tête est foncée, avec la calotte grise, bordée de châtain s'étendant vers le bas de l'arrière du cou. Les joues et les côtés du cou sont blancs. Une bande noire traverse les yeux, et rejoint la bavette noire.
Le bec conique est gris noir. Les yeux sont foncés, avec une petite tache blanche au dessus de l'orbite.La femelle n'a pas les couleurs châtain et noires du mâle. Elle a la calotte brun grisâtre, et une bande sourcilière gris chamoisé. Les parties supérieures et les ailes sont plus grises que chez le mâle. L'abdomen est blanchâtre
Et voilà un autre visiteur que j'ai été obligé de refouler tout l'hiver ...
Mais certains oiseaux reviendront lorsque les cerises seront mûres, j'espère faire encore d'autres photos à ce moment-là...
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Jean-Pierre Gurga m'a envoyé le compte-rendu de l'Assemblée de la Truite Châtillonnaise, accompagné de très belles photos, je lui laisse la parole...
Dimanche 27 février 2011, la Truite Châtillonnaise tenait son assemblée générale annuelle, l’occasion pour ses dirigeants de faire un rapport d’activité sur l’année écoulée, de présenter le bilan financier , et d’aborder quelques points de règlement tant au niveau local que départemental. En voici un compte-rendu.
Après avoir remercié l’assistance , le président Michel Mavy, cède la parole à Stéphane Bruley, secrétaire qui présente l’ordre du jour. Voici les principaux sujets abordés :
-Le club-mouche dirigé par Denis Matias et Jean-Pierre Gurga continue , grâce au dévouement de pêcheurs expérimentés, à délivrer des cours de montage à tous les débutants, jeunes et moins jeunes. Les séances ont lieu un vendredi sur deux, de 18h à 19h30 pour les débutants, et de 20h à 22 heures pour les confirmés. La cotisation est de 10 euros pour les moins de 18 ans, et de 20 euros pour les adultes. Cette année , afin d’être en phase avec les décisions de l’OMS, la gratuité d’inscription est accordée à tout nouvel adhérent.
Voici quelques photos du Club-Mouche :
Classe d'eau à l'école d'Ampilly juin 2009 :
Fête du Sport 2009 :
Fête du Sport 2010 :
Séance de montage :
Les vainqueurs du Challenge départemental D.Gobert :
Quelques modèles de mouches :
-La lecture du bilan financier est faite par Philippe Bruley, trésorier. Face à la parfaite gestion de la trésorerie, le bilan est adopté à l’unanimité.
-Concernant le tarif des cartes, et face aux différentes solutions proposées, il est conseillé de consulter le site de la Fédération Départementale http://www.fedepeche21.com , celui de la Truite Châtillonnaise http://www.truitechatillonnaise.com ou de se procurer le fascicule départemental disponible chez les dépositaires de cartes (Dropê-Chass, Tabac MCL, Restaurant Côté Seine à Montliot)
-L’alevinage , une fois de plus , a été très conséquent, puisqu’aux 230kgs de truitelles de 6 à 14cm déversés en septembre 2010 et février 2011, se sont ajoutés 850kgs de truites fario surdensitaires de très belle taille. Un déversement complémentaire de 300kgs de truite arc-en-ciel est prévu courant mai sur les différents parcours.
Alevinage 2009 :
Alevinage 2010 :
Alevinage 2011 :
-concernant les étangs des Marots, la date d’ouverture est la même que celle de 1ère catégorie (12 mars).Afin de satisfaire les pêcheurs un déversement de 100kgs de truites sera effectué pour le 19 mars , et un second courant avril.
-Face au succès rencontré par le concours de pêche de Veuxhaulles (96 participants) et devant l’excellent accueil réservé par les gérants de la pisciculture, celui-ci sera normalement reconduit le 6 août 2011-03-15
Concours de Veuxhaulles 2010 :
-Concernant l’avenir du lac de Marcenay, et malgré plusieurs réunions avec les différentes parties prenantes (dont la dernière en présence de la sous-préfète de Montbard) force a été de constater qu’à ce jour aucune solution n’a été adoptée, des blocages ayant lieu face à la proposition la plus réaliste (celle, soutenue , entre autres par la truite châtillonnaise), à savoir la reprise de la gestion du lac par la Fédération de pêche de Côte d’Or.
Pêche de fond au lac de Marcenay novembre 2008 :
-Question réglementation, la Truite Châtillonnaise fixe le nombre de prises de salmonidés à 3 maximum par jour de pêche.(taille minimum de la truite 30cm).Sur les parcours en vis-à-vis de la Gaule Vixoise, c’est le règlement de cette dernière qui s’applique. La pêche est ouverte depuis le 12 mars. Par contre , à compter de cette date, et jusqu’à la fin mai, la pêche est interdite les mardi et vendredi, par arrêté préfectoral.
-Différentes informations, renseignements et reportages photo sont consultables sur le site internet :
http://www.truitechatillonnaise.com géré par Eric Felder.
Avant de passer au « ver » de l’amitié, une projection d’images réalisées sur les trois dernières années a permis de donner un excellent reflet de l’activité associative de la Truite Châtillonnaise et de la parfaite implication de ses membres.
J’ai déjà publié au cours de ce texte les photos du Club-Mouche, et les activités de la Truite Châtillonnaise (pêche à Marcenay, Alevinage, Concours de pêche à Veuxhaulles)
Dans un prochain article je publierai les photos de Jean-Pierre Gurga sur « les rivières et plans d’eau », et sur « les insectes, truites et envie de pêcher »
(D’autres photos sur le site de la Truite Châtillonnaise, noté plus haut, mais présent également dans mes "sites amis")
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La tradition dit que les sous-sols du Pensionnat Saint Bernard sont la seule partie de ce qui reste de la maison de l'aïeul paternel de Saint Bernard.
C'est en effet dans cette maison que naquit son père Tescelin, seigneur de Fontaine, et que ce dernier rencontra Aleth de Montbard qui allait devenir son épouse.
Installée à Fontaine les Dijon, la famille reviendra chaque année dans cette maison de Châtillon pour accompagner le Duc de Bourgogne venant tenir cour et rendre justice à Châtillon.
La réputation de l'école des Chanoines de Saint Vorles et la possession de cette maison incitèrent Aleth à choisir Châtillon pour la formation de Bernard.
C'est donc ici qu'il demeura de 1098 à 1108.
Il devait y revenir 6 ans plus tard avec 30 compagnons: frères, oncles, cousins, amis qu'il avait persuadés de se mettre au service de Dieu. Après 6 mois de réflexion et de prière, le petit groupe quittait à Pâques 1113 la maison paternelle pour aller frapper à la porte de Citeaux, abbaye fondée par Robert de Molesme pour retrouver la rigueur de la règle de Saint Benoît.
Par héritage la maison revint à Barthélemy de Sombernon qui avait épousé une nièce de Bernard.
La maison fut incendiée lors des affrontements qui opposèrent Louis XI et Charles le Téméraire.
Au XVIème siècle, les ruines passèrent entre les mains de Jehan Gaillard de Châtillon, dont je vous montrerai les armes un peu plus tard.
Puis par lettre patente du procureur du Roi, à la demande des Gaillard, la maison fut donnée aux Bernardins, moines cisterciens pour perpétuer le souvenir de Saint Bernard .
Sur l'arrêt du Parlement de Bourgogne qui entérine cette donation (12 février 1624) on peut lire :
"Qu'il sera permis aux Feuillants, conformément au bon plaisir du Roi, et de Monsieur de Langres, de bâtir un couvent au lieu vulgairement appelé la maison de Saint Bernard, et non ailleurs".
Ce couvent fut fondé en 1621 sous la conduite de Dom Malachie.
Bien après la révolution , le couvent qui avait servi pour une partie de carrière de pierres, fut acheté par les Ursulines pour y établir une maison d'éducation de jeunes filles.
J'ai pu visiter ce qui reste de la maison de Saint Bernard grâce à mon amie Chantal Ganzin.
Les pièces ont servi longtemps de cave aux Ursulines et maintenant on y trouve hélas un peu de tout...sans parler des tuyauteries et fils électriques qui les défigurent un peu...
La porte a été très difficile à ouvrir, mais nous sommes tout de même arrivées à rentrer ...
Le couloir reliait le sous-sol à la maison d'habitation..
La première salle était sans doute destinée aux domestiques, la seconde était celle de la boulangerie..
La troisième salle , qui fut modifiée par les Feuillants pour être la crypte de leur église, s'appelle la salle saintMalachie.
Les armes non identifiées de la salle saint Malachie (au 1, à deux badelaires en sautoir accompagnés de quatre étoiles, au 2, au mouton passant accompagné de trois roses) ont un rapport avec les armes de la famille Gaillard (d'azur, à deux badelaires d'argent en sautoir, les poignées d'or, et les pointes en bas), on pense que ce sont les leurs.
Au plafond, on voit cette belle inscription sur une croix encastrée au centre de la voûte.
Près de cette salle on peut voir le petit oratoire où Bernard venait prier.
Une statue moderne du Saint y fut installée, je vous ai dit qu'elle avait été décapitée. Irréparable, elle a été enterrée par le père Canat, et non jetée, car elle avait été bénie.
On ne voit plus que son socle.(voir la carte postale qui la représente au chapitre précédent du "Pensionnat Saint Bernard")
Dans cette pièce on voit un ancien œil de bœuf muré :
La tradition dit que cette porte, murée en son milieu, était l'entrée d'un souterrain menant jusqu'à Saint Vorles, par lequel serait passé saint Bernard pour aller à l'école des Chanoines.
Avant de revenir à l'air libre, un dernier coup d'œil aux voûtes qui ont vu sans doute passer le jeune Bernard de Fontaine, celui qui allait plus tard devenir le grand saint Bernard de Clairvaux , il y a plus de 900 ans, c'est très émouvant...
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Dimanche 13 mars 2011, une très belle après-midi musicale nous a été offerte par France-Accordéon et la Ville de Châtillon sur Seine, au Théâtre Gaston Bernard..
C'était une rencontre départementale d'ensembles d'accordéons avec les villes de Châtillon sur Seine, Beaune, Seurre, Chenôve et la présence exceptionnelle de l'Orchestre d'Accordéons de Paris..
Ce très célèbre orchestre a vu dans ses rangs, rien de moins que Bourvil et Etienne Lorin !
Voici quelques photos de ce merveilleux spectacle présenté avec humour (et compétence !) par François Gaillard.
La présidente de France-Accordéon, Madame Quintelier, fondatrice du groupe, étant souffrante, c'est la Vice-Présidente , Madame Sabatier , qui a eu l'honneur de présenter le spectacle.
Le spectacle a commencé par le concert de l'Association qui organisait la rencontre, France-Accordéon de Châtillon sur Seine, les élèves étant dirigés par Elisabeth Studer.
Voici les morceaux interprétés par nos jeunes accordéonnistes Châtillonnais :
Mille Accordéons (J.Baselli & M.Azzola), Here's to you du film Sacco et Vanzetti(Ennio Morricone),Chansons d'Irlande (arr.Célino Bratti), La jument de Michao (Tri Yann), Champs Elysées (JP Bourtayre et JC Petit),ABBA, best off (arr.Matthias Hennecke) et The Final Countdown (Joey Tempest)
Le second orchestre fut celui de Beaune, "l'accordéon-Club Beaunois" , spécialisé dans les morceaux de programme classique, sous la direction de Mary Claude Thurillat.
L'Accordéon Club Beaunois nous interpréta :
Fantaisie Russe (Jörg Draeger), Titus (Wolfgang Amedeus Mozart),L'Arlésienne , menuet et farandole (Georges Bizet), Teufelstanz (Josef Hellmesberger)
Puis vint l'orchestre de Seurre, "les Accordéonnistes Seurrois", dirigés par Jean-Marc Bèche.
Les Accordéonnistes Seurrois nous interprétèrent :
En cadence (Ch Fuhrman), Piazzolino (L.Necchi), Mon amant de SAint Jean (L.Angel, E.Carrara), Manège d'antan (Maggay), My Way (C.Françoix, J.Revaux), Sous le ciel de Paris (H.Giraud), Joe Dassin, in memory (W.V Palavicini,T.Cutugn)
François Gaillard félicita les trois clubs qui venaient de nous charmer, il nous proposa un entracte et avant cela, nous présenta Eric Piermaria, grand spécialiste de la "facture " d'accordéons.
A l'entracte les spectateurs ont pu admirer une très belle collection d'instruments anciens dont je vous montrerai des photos en fin d'article.
Pour la deuxième partie de cette sensationnelle représentation, nous avons entendu le programme de l'Académie d'Accordéons de Chenôve, sous la direction d'Arnaud Bottazzo , qui manie la baguette avec dynamisme et bonne humeur .
Zita (Astor Piazzolla), La valse d'Amélie (Yann Tiersen), Caravan (Duke Ellington), Bando (Astor Piazzolla), Nuages (Django Reinhardt) et Fantaisie Russe (Jörg Draeger)
Pour terminer cette après-midi de rêve, c'est l'Orchestre d'Accordéons de Paris qui est venu nous enchanter, le mot n'est pas trop fort, car le jeu de cet orchestre est véritablement exceptionnel..: un orchestre qui a eu en son sein Bourvil ou Etienne Lorin ,qui le fonda en 1957, une référence en matière d'accordéon..
La surprise ce fut d'apprendre qu'un Châtillonnais faisait partie de cet orchestre prestigieux: il s'agit de Vincent Bonnisseau que vous reconnaîtrez sur les photos.
L'orchestre d'accordéons de Paris est dirigé de main de maître par José Vicario, il nous fit entendre :
Rondo Romantica (Otto M.Schwarz), Montaigus et Capulets (Serge Prokofiev), Façade (Philip Glass), City Moments (Hans Günther Kolz), Suite Israélienne (Johan de With), Fièvre de tango (Astor Piazzolla), La storia (Jacob de Haan)
(Vincent Bonnisseau)
Voici un petit montage que j'ai réalisé, qui vous fera écouter un des morceaux interprétés par l'Orchestre d'Accordéons de Paris, vous pourrez vous rendre compte à quel point cet orchestre est magnifique :
FIÈVRE DE TANGO d'Astor Piazzolla
Ultime surprise: tous les musiciens présents, ceux de Beaune, Seurre, Chenôve, Châtillon sur Seine et Paris, se réunirent pour nous interpréter un "Tutti", et c'est Elisabeth Studer qui a dirigé tous ces talentueux accordéonistes , sans oublier les batteurs, pianistes, contrebassistes des différents groupes :
La Paloma (YRadier) et Sur un air d'accordéon (Michel Pruvot)
Monsieur Brigand, le Maire de la Ville de Châtillon sur Seine, offrit aux chefs d'orchestres de Beaune, Seurre, Chenôve et Paris , une reproduction de notre Vase de Vix, de petite taille, mais fort lourd, car en fonte (réalisé à Bourgogne-Fonderie)
Voici maintenant quelques photos des accordéons anciens , de 1850 à nos jours,qui étaient exposés dans la salle du bar du TGB, une exposition exceptionnelle qui intéressa beaucoup les spectateurs.
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Par Christaldesaintmarc dans -Les photos et les vidéos de Christian Labeaune le 16 Mars 2011 à 06:30
D'autres très belles photos que Christian Labeaune m'a envoyées dernièrement...
Il a l'art de saisir les animaux dans toute leur grâce, comme ce chevreuil "brocard" étonné !
Des grives litornes :
Un triton..
Une bergeronnette grise...
cette cane col-vert espiègle..
une mésange bleue nourrissant son oisillon..
Et de magnifiques paysages Châtillonnais..
Etangs des Marots :
Essarois :
Essarois :
Etangs des Marots :
Vers les Etangs des Marots :
Et bien sûr , il faut aller voir son site internet , on ne s'en lasse pas !
Cliquez sur ce lien :
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