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De magnifiques constructions en pierre miniaturisées, vues par René Drappier à Poinçon les Larrey...
René Drappier a admiré sur le vide-grenier de Poinçon-les-Larrey, ces magnifiques miniatures de pierre.
Il ne sait pas qui les a réalisées, il pense qu'il s'agit d'un certain monsieur Déchaud.
Si quelqu'un connait le nom de cet artiste, qu'il le dise en commentaire, merci.
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Par Christaldesaintmarc dans -Les photos et les vidéos de Christian Labeaune le 12 Juillet 2015 à 06:00
Régalez vous avec les yeux, en admirant les petits amis de Christian Labeaune qui dévorent les pucerons !!
C'est comme d'habitude MAGNIFIQUE !!!
Le Troglodyte mignon..
Mésange bleue & charbonnière..
Fauvette à tête noire (femelle tête marron)...
L'écureuil du jardin...
Et quelques images en plus...
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Dans le cadre d’un partenariat avec Le Consortium de Dijon, le Château de Bussy Rabutin accueille l’exposition d’Amy O’Neill : "Parade Float Graveyard" .
Conçue entre 2004-2006, cette exposition représente un défilé de chars en cours de construction, recréé à partir d'images de défilés passés.
Amy O'Neill, venue tout spécialement de New-York pour le vernissage de son exposition dans les communs du château de Bussy Rabutin, nous confie que ces chars, qui lui rappellent son enfance, sont aussi des symboles de l'art populaire américain. Elle se remémore la découverte de certains chars, au rebut, qui ont inspiré ses créations :
« En visitant la Nouvelle Orléans et sa périphérie l'été 2000, quelque chose d'étrange est apparu à travers la vitre de notre voiture de location. Par cette journée de chaleur record, mon compagnon et moi nous sommes aventurés sur des tas de cailloux recouverts de broussailles pour regarder de plus près. Nous avons aperçu des rebuts de chars de Mardi-Gras, en forme de crânes et d'os. Cet amoncellement est ainsi considéré comme le premier et membre honorifique, du cimetière du défilé de char (Parade Float Graveyard). »
Amy O'Neill est née en 1971 à Beaver, Etats-Unis, elle vit et travaille à New York.
Elle crée des œuvres qui traitent de culture populaire et d'interrogations identitaires et exploite à travers ses travaux les bizarreries de sa culture d'origine et de sa Suisse d'adoption où elle a vécu plusieurs années.
Tout autour du char l'auteur nous montre l'évolution de la terre, et les réalisations humaines au cours des temps : du dinosaure au cosmonaute...
Dans la seconde salle Amy nous présente d'autres superbes réalisations ...
La vieille arche de Noé, (Old Noah's Ark) et ses originaux animaux, réalisés en fil de fer...
La grande roue qui tourne sur elle même éternellement...
Un char peut être destiné à présenter la "reine" de la fête foraine, une sorte de vaisseau fantôme... (The Ghost Float)
Monsieur le Maire de Bussy le Grand s'est dit très heureux d'admirer cette exposition présentée par le château de Bussy Rabutin, dans l'ancienne ferme. Cet ancien bâtiment se prête merveilleusement bien à l'art contemporain.
Cette œuvre d'Amy O'Neill a été exposée au centre d'art Le Consortium à Dijon en 2006. Le représentant du Consortium nous présente Amy O'Neil qui reconstruit le « réel » sous forme de décor. Son travail s'appuie sur une vision ironique des choses, avec un certain désenchantement.
On voit mieux sur cette photo de l'exposition au Consortium, les magnifiques animaux de l'arche de Noé :
(photo ArtComPix)
François-Xavier Verger, administrateur du Château de Bussy Rabutin a l'intention de continuer des expositions d'Art Contemporain dans cette partie de la ferme du château nouvellement rénovée. Amy O'Neill y expose jusqu'au 31 octobre 2015.
En mémoire du 300ème anniversaire de la mort de Louis XIV, le Musée des Beaux Arts de Dijon a prêté au Château de Bussy Rabutin une toile d'Adam van der Meulen, "Le passage du Rhin par louis XIV et son armée le 12 juin 1672"
et un buste de Louis XIV par Jean Dubois, qui se trouve dans l'escalier qui monte au premier étage.
Malicieusement, François-Xavier Verger s'est demandé ce qu'en aurait pensé le comte de Bussy Rabutin exilé par Louis XIV dans son château bourguignon !! Les deux se haïssaient...
Le Centre des monuments nationaux vous invite donc au château de Bussy-Rabutin pour découvrir l’exposition d’Amy O’Neill
« Parade Float Graveyard »
du 27 juin au 31 octobre 2015
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Fin mai, nous avons été intrigués par le manège de petits oiseaux, noirs et beiges, à la queue orange, entrant et sortant de notre bûcher.
Ces oiseaux étaient des rouges-queues reconnaissables très facilement à leur "queue rouge" , autre nom que certains leur donnent.(en réalité pour moi: orange)
Le mâle est presque noir :
La femelle est beaucoup plus claire :
Que faisaient-ils donc dans le bûcher ?
En levant la tête, nous avons compris : ces rouges-queues bâtissaient un nid sur une poutre.
Peu de temps après, la femelle a pondu un certain nombre d'œufs, combien ? mystère...en tout cas elle a couvé pendant une dizaine de jours.
Les petits yeux noirs de cette maman inquiète suivaient mes déplacements, lorsque je passais par là pour me rendre au garage...
Au bout d'un certain temps, un ballet incessant a commencé : le mâle et la femelle allaient et venaient, des proies dans le bec.
Pendant que l'un entrait dans le bûcher, l'autre attendait son tour perché un peu partout : pluviomètre, fil à linge et même girouette !
Les petits étaient donc nés, leurs parents devaient les nourrir, mais on ne les voyait pas encore, ils devaient être serrés les uns près des autres au fond du nid...
En tout cas la nourriture ne leur manquait pas !
On voit ici le rôle indispensable de ces oiseaux dans un jardin, au nombre d'insectes, de chenilles et de vers qu'ils rapportent, c'est phénoménal...
Au bout de quelques jours, un premier oisillon a sorti la tête du nid...
Puis deux
Puis trois...
Puis quatre...
Puis cinq ! La femelle avait donc pondu cinq œufs...
A l'éclosion, Dieu qu'ils étaient laids !!
Mais petit à petit les plumes ont poussé...
Les parents ont chassé de plus en plus pour nourrir ces becs terriblement affamés...
Et puis un jour nous avons vu des petits qui étaient tombés à côté du nid...allaient-ils se fracasser sur le sol de pierre en chutant de si haut ?
Et le lendemain...nous en avons vu deux à terre, pas fracassés du tout !
Un autre avait déjà repéré un espace entre les bûches, il s'y était caché. Les deux autres l'ont suivi...
Le surlendemain, il n'y avait plus personne dans le nid, les cinq oisillons étaient bien à l'abri des bûches, au sol.
En consultant ma documentation j'ai lu ceci : Les jeunes quittent le nid entre 12 et 18 à 20 jours après la naissance. Ils restent cachés au sol, avant leur premier vol, à l'âge de 32 à 35 jours.
Les parents ont continué leurs allées et venues de plus en plus souvent...mais nous ne les avons pas dérangés, nous avons fermé le bas de l'entrée du bûcher, à cause de notre chienne et des chats de passage qui auraient pu se régaler...(ma chienne dernièrement a tué un petit merle dans la haie !)
Et voilà qu'un jour, les oisillons, devenus des "juvéniles" sont sortis de leur cachette, ils ont volé maladroitement, se sont posés sur les bûches...
ou sur des supports imprévus...
Ils poussaient de petits cris pour appeler leurs parents, tsip-tsip-tsip... mais ceux-ci s'en sont peu à peu désintéressés..."il est temps de vous nourrir vous-même, nous allons prendre un peu de repos !", leur ont-ils sans doute fait comprendre...
Hélas, plus de joli spectacle dont nous nous régalions depuis notre véranda, nous étions un peu tristes !!
Mais voilà, que le 20 juin, en passant sous le nid , j'ai levé la tête et j'ai vu que la femelle en avait repris possession !!
Formidable, l'aventure pouvait recommencer !
Depuis, la maman couve de nouveau sous la tôle du toit du bûcher, avec la canicule, ça doit être dur...elle s'en échappe tout de même de temps en temps pour manger, et boire dans la tonne à eau que nous avons laissée un peu entr'ouverte...
Je ne dérangerai plus, cette fois, la petite famille avec mes éclairs de flash...mais il faut croire qu'elle n'a pas eu peur et qu'elle ne s'en est pas offusquée, puisque la mère a repris possession du nid pour faire une seconde couvée...
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Après avoir réalisé des enluminures, destinées à apparaître dans une exposition sur le 900ème anniversaire de la fondation de Clairvaux par saint Bernard :
(article complété ce jour par les enluminures terminées, vues dernièrement)
les élèves de la Moyenne et Grande Section de l'Ecole Maternelle Cailletet ont été initiés à la sculpture sur pierre par Arno Mercier, célèbre sculpteur châtillonnais..
Arno Mercier a réalisé ce superbe buste de Louis Cailletet qui se trouve devant le Groupe Scolaire qui porte son nom.
Reynald Fry, Directeur de l'Ecole Maternelle Louis Cailletet, et professeur des écoles chargé de la Moyenne et de la Grande Section, a eu la très belle idée de faire graver sur des carrés de pierre, en écriture gothique :
C L A I R V A U X
1 1 1 5 - 2 0 1 5
Reynald présente aux enfants les carrés de pierre qu'ils devront graver...
tandis qu'Arno sort ses outils de sculpteur...
Très pédagogue, Arno présente ses outils aux enfants...
Les ciseaux :
Les massettes, les ciseaux, la gradine...et les lunettes que l'on doit absolument porter pour être en sécurité.
Tout est en place, le travail peut commencer.
Une démonstration par l'artiste...
La pose des lunettes obligatoires :
Puis c'est au tour des enfants...
Je suis partie sans bruit, laissant les petits artistes travailler...
Voici quelques réalisations vues le lendemain...
Ces lettres gravées seront aussi visibles lors de l'exposition que Châtillon-Scènes organise, salle des Conférences, le 4 septembre 2015.
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Quelques images de cette jolie fête champêtre qui s'est tenue sous un temps caniculaire...mais le soleil vaut quand même mieux que la pluie, et les visiteurs sont quand même venus en nombre !
Voici quelques membres de l'association "Bien Vivre à la Campagne" qui a mis sur pied la fête du lac de Marcenay.
Les maisons d'oiseaux étaient fort nombreuses, toutes plus belles et originales les unes que les autres !
La LPO de Côte d'Or...
et son Président( à droite )
Les Amis du Châtillonnais :
Le club Mycologique Châtillonnais :
Et des stands très divers et bien achalandés...
On pouvait se restaurer, s'hydrater...
en écoutant de la musique.
Pierre Magès a réalisé une vidéo, merci à lui !
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