Aujourd'hui des paysages, joliment peints par les aquarellistes de Villiers le Duc..

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 Le Tour de Côte d'Or cycliste s'est arrêté à Châtillon sur Seine lors de sa seconde étape, samedi 28 mai 2011.

L'arrivée a eu lieu rue Courcelles-Prévoires, contrairement à ce qui avait été annoncé dans la presse : des informations fantaisistes le faisaient arriver par la rue Philandrier et s'arrêter rue Maréchal Leclerc !!

Ces fausses infos ont dérouté les amateurs de "petite reine", ce qui fait que les spectateurs n'étaient guère nombreux, c'est dommage.

Précédés de motards de la Gendarmerie et des voitures officielles voici enfin les cyclistes...

Pendant l'attente de l'arrivée de la course , trois jeunes cyclistes acrobates faisaient la joie des spectateurs ..

Bernard Thévenet suivait la course, il a répondu avec gentillesse et compétence aux questions de l'animateur...toujours sympa et en forme Nanard !! quel plaisir de le revoir...

Et voici que les vainqueurs montent sur le podium..

Tout d'abord le vainqueur de l'étape Is sur Tille-Châtillon sur Seine  Benoît Drujon (Aubervilliers) récompensé par une belle coupe offerte par Hubert Brigand, maire de Châtillon sur Seine.

Le maillot jaune revient à Romain Delalot...

Le maillot vert est attribué à François Lamiraud..

Là, je sèche, je ne sais plus qui a reçu le maillot blanc, si quelqu'un sait...

Le maillot à pois rouges a été revêtu par Anthony Thévenot..

Un autre maillot, inconnu pour moi : le bleu...

Le Maire de Châtillon sur Seine , Hubert Brigand, a reçu une belle plaque qui figurera en bonne place dans la Mairie.

Une très bonne nouvelle : l'an prochain une étape du Tour de Côte d'Or cycliste partira de Châtillon sur Seine, j'espère que la foule sera au rendez-vous !

Un tirage au sort a permis à une spectatrice de gagner un ...maillot jaune !! on a vu qu'elle en a été ravie !

Des jeux cyclistes avaient été installés Cours l'Abbé, avec un compteur de vitesse, les enfants en ont bien profité..

A l'année prochaine pour le départ d'une étape..

J'espère, messieurs les journalistes, que vous  informerez correctement vos lecteurs...

Et merci au fidèle René Drappier pour ses photos !

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Le dernier concert de la Lyre Châtillonnaise a eu lieu devant un très nombreux public, mercredi 1er juin 2011.Denis Bourtequoy, son président , a présenté le programme de la soirée qui a commencé par la prestation du groupe Akrofolk et sa musique des Balkans.

Plusieurs membres d'Akrofolk font d'ailleurs partie de la Lyre : Pascaline, Christine, Annabel, Marlène, Bertrand..

Christine a vérifié le "la" de tous les instruments..

Le directeur de la Lyre, Jean-Pierre Rambaud, présenta avec humour chacun des nombreux morceaux qui allaient être joués devant un public conquis..

"Danse avec les loups", "Spirit of the Celts", "It's Raining Men"," Take my breath away"( thème du film "Top Gun"), Acapulco avec la magnifique trompette de Bernard Nicolas,"le dernier des Mohicans""Hard Rock Allelujah" etc.....et du classique avec "Peer Gynt" et le thème de "Casse Noisette" de Tchaikowsky..

La Lyre est généreuse : elle a eu l'idée de faire un don à une oeuvre caritative .Cette année ce sont "les Restos du Coeur" qui ont reçu un chèque de 220 euros, chèque qui  fut remis à ses représentants par Elisabeth Studer..

Un nouveau musicien , le talentueux clarinettiste parisien, en résidence d'été au Puiset, Roland Pinsard, joua magnifiquement en solo le "Petit Concerto pour clarinette"

Monsieur le Maire de Châtillon sur Seine vint féliciter la Lyre pour ses concerts toujours tant appréciés..

Le final fut très applaudi et bissé : "les lacs du Connemara" dont on ne se lasse pas, enthousiasmèrent le public  !

Bravo la Lyre qui nous enchantera encore longtemps, très longtemps, car j'ai remarqué qu'elle s'est enrichie de nombreux jeunes musiciens et musiciennes, issus de l'Ecole Municipale de Musique, ce qui est un atout pour son avenir...

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La chorale des 100 voix, sous la direction de Bruno Pignalet, a donné deux magnifiques représentations les 27 et 28 mai dans la salle des fêtes de Vanvey, village rebaptisé "Vanvum" . 

En effet, nous avons fait un bond en arrière de plus de 2000ans, nous retrouvant en Gaule, sous le joug des Romains !

Bruno Pignalet, le chef de choeur, était un César  plus vrai que nature, il a mené sa troupe de façon... impériale ..

Les décors et les costumes étaient magnifiques, les voix étaient au diapason , bref ce fut une soirée éblouissante..Il va être difficile de faire aussi bien l'année prochaine, mais connaissant la volonté du chef et de sa troupe, nul doute que le résultat sera encore au rendez-vous !

Les couleurs des toges changeaient suivant l'éclairage, ne vous étonnez donc pas des différences de tons..Quelques projecteurs au sol rendaient certains visages un peu psychédéliques, dommage !

Pas de chants gaulois ni romains...mais des chansons  célèbres de notre temps:je suis un homme,chariot, le géant de papier, il jouait du piano debout, SOS d'un terrien en détresse..

Vivre pour le meilleur, savoir aimer, pour un flirt...

La bonne du curé, sarabande, femmes, femmes, femmes, une chanson composée par Bruno Pignalet: la chorale..et Oh Happy day , un magnifique gospel ..

La doyenne, Madeleine, a fêté cette année ses ...92 ans, toujours présente aux répétitions, toujours gaie, un exemple pour tous..

Florence a chanté en solo, accompagnée par l'ensemble de ses ami(e)s, quelle voix magnifique..

Bruno nous a confié abandonner la chorale pour ouvrir un restaurant.... mais ce n'était qu'une blague destinée à introduire la chanson de Pierre Perret , le tord boyaux..

"Au tord-boyaux, le patron s'appelle Bruno..."

Petit souvenir photographique pour César...

De talentueux musiciens accompagnaient la chorale des 100 voix. A l'accordéon et à la Direction Musicale : Mathieu Chocat

A la guitare : Gérard Fabre

(un regard qui en dit long sur leur complicité  !)

Au piano : Jean-Jacques Genevard ..qui était le pianiste de Nicoletta lorsqu'elle est venue à Dijon donner un concert, excusez du peu !!! Bruno sait s'entourer de spécialistes !

Je n'ai pu malheureusement photographier Steve Fabre, qui était aux percussions et qui chantait également , il était caché par les solistes et la barre des micros.

L'assistance en délire a fait une ovation à notre Chorale Châtillonnaise, et c'était amplement mérité

Bravo à tous les chanteurs, et aux petites mains pour la confection des costumes..

Prochains rendez-vous :

-2 juillet 2011 à 21heures à l'église de Charrey (21)

-15 octobre 2011 au théâtre d'Orchamps (25)

-8,9,10 juin 2012 au théâtre Gaston Bernard de Châtillon sur Seine (21)

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  Rencontrer les auteurs provoque l’envie de lire. Et c’est bien ce rôle que doivent jouer les bibliothèques : donner de l’envie, susciter la découverte, ouvrir des chemins…

C'est le but du Festival des Buissonnières qui a eu lieu en Côte d'Or du 26 au 28 mai 2011, à l'initiative du Conseil Général.

A Laignes, la médiathèque a accueilli un auteur de livres pour enfants et adolescents : Bernard Friot.

Avant son arrivée, Laurence Pocheveux, la responsable de la Médiathèque de Laignes a présenté l'auteur à une classe de troisième du Collège de Laignes.

Avant de se consacrer à l’écriture, Bernard Friot était professeur de lettres puis formateur de professeurs des écoles. Depuis, il a écrit de nombreuses histoires courtes (ses fameuses « Histoires pressées »), des romans pour adolescents et de la poésie, et a traduit une trentaine d’ouvrages. S’il n’enseigne plus depuis une dizaine d’années, il est resté en contact avec les jeunes grâce aux rencontres en bibliothèques et dans les écoles. 

Sa profession a conduit Bernard Friot vers l’écriture. Passionné de livres dans sa jeunesse, il avait particulièrement à cœur de transmettre le goût de la lecture à ses élèves alors éloignés des lieux culturels. La curiosité est toujours présente dans son écriture qui varie d’une forme à l’autre. Tantôt courte, tantôt recueils de poèmes incomplets, tantôt éventail de fins à choisir pour terminer une intrigue, autant de jeux ludiques que l’auteur comme son lecteur prennent plaisir à partager. 

Bernard Friot aime particulièrement rencontrer les lecteurs qui alimentent ses histoires. L’occasion pour lui d’avoir un autre regard sur ses textes, mais aussi  de présenter des auteurs et des textes majeurs de la littérature étrangère à travers les textes qu’il traduit : des échanges enrichissants pour son travail à venir et pour les lecteurs, déjà fidèles ou en devenir. 

Voici Bernard Friot qui salue les élèves et leurs professeurs , avant de commencer à dialoguer avec eux.

Les collégiens étaient très intimidés..Ils avaient néanmoins préparé des questions fort pertinentes, auxquelles Bernard Friot a répondu avec gentillesse et humour.

L'Inspiration existe-t-elle pour vous, monsieur Friot ?

Non, pas d'inspiration , pas de "muse" que l'on attribuait autrefois à l'écrivain, mais des idées, des rencontres..Il faut savoir "capter " des choses et les transmettre.Peu importe le sujet, il faut regarder autour de soi..Par exemple, un simple stylo bleu sur une feuille blanche peut vouloir dire quelque chose.

Des souvenirs d'école peuvent être une source d'inspiration, et puis si le texte ne vient pas, eh bien on abandonne et on cherche autre chose...

Il faut démonter les obstacles: tout le monde peut écrire, chacun forcément a quelque chose à dire, mais il faut tout de même développer son style, trouver la bonne façon de s'exprimer !

Bernard Friot ne compose pas que des récits, mais il écrit aussi des poèmes, il en a lu quelques uns à son auditoire attentif, tirés de son nouveau livre "la vie sexuelle des libellules"

Rassurez vous pas d'érotisme dans ses poèmes, mais beaucoup de tendresse et d'humour..

Bernard Friot confie aux jeunes collégiens qu'il n'a jamais voulu être auteur..Il a écrit de courts récits humoristiques pour intéresser des enfants en difficulté à la lecture, lorsqu'il était enseignant. Ces récits ont plu à un éditeur  qui l'a poussé à les publier.

Et ce fut le succès..

Comment composer un récit, un poème ?

Tout d'abord il faut penser à une idée après, par exemple, s'être baladé dans la rue et avoir regardé autour de soi, puis écrire un premier jet, retravailler son texte, perfectionner le style. Lorsqu'on lit le récit, on aura l'impression qu'il est improvisé...erreur, il est tout sauf improvisé !!

Avez vous Monsieur Friot, l'angoisse de la page blanche ?..

Non, il me suffit par exemple de froisser une feuille de papier, de la défroisser et voilà qu'elle dit quelque chose ! On peut aussi écrire de bas en haut et reconstruire le regard que l'on a sur soi..

Ce qui m'a beaucoup aidé c'est le fait d'avoir traduit en français des textes étrangers: démonter le livre et le remonter avec un vocabulaire différent , et un style particulier a été très enrichissant.

Combien de temps vous faut il pour réaliser un récit ?

Ce temps ne peut être mesuré..par exemple, il y a 15 ans, j'ai eu une idée que je n'ai pas exploitée, dernièrement je l'ai reprise et l'écriture a été réalisée en trois mois.

La grammaire est-elle importante ?

Bien sûr, la grammaire est le "squelette" du texte , il faut donc bien l'utiliser .La langue n'existe que si elle exprime quelque chose.

Pour Bernard Friot, l'écriture est une sorte de "bricolage", un texte brut peut être découpé, ses éléments changés de place, pour réaliser un nouvel assemblage.

Quels sont les différences entre les récits et la poésie ?

Le récit a une logique, une contrainte, la poésie pour moi c'est la liberté, une sorte de récréation...

Les collégiens avaient écrit à l'intention de Bernard Friot, un petit récit humoristique que voici :

Les enfants de l'école primaire de Laignes, avaient dessiné quelques unes des histoires de ses livres "histoires pressées".

J'ai fait l'achat de plusieurs des livres de Bernard Friot, je les lui ai fait dédicacer pour mon petit fils, et le soir ..je les ai lus, et je vous assure que j'ai bien ri, tant son humour est contagieux !

Sur la couverture il est dit "à partir de 9 ans", mais on ne dit pas quel est l'âge limite !! eh bien pour moi il n'y en a pas, si pour Hergé, Tintin était destiné aux lecteurs de 7 à 77 ans, je dirai que pour Bernard Friot, ce serait de 9 à ..120 ans..

Je suis donc dans les temps !

Laurence Pocheveux m'a dit que Bernard Friot avait été impressionné par la beauté de la médiathèque de Laignes , située dans l'ancien "café des chiens", peut-être un de ses récits futurs l'évoquera-telle ??

Pourquoi pas ?

En tout cas, merci à lui d'avoir si bien partagé avec des jeunes de Laignes, et des moins jeunes, son amour de l'écriture, avec une si agréable affabilité...

D'autres photos, prises par Laurence , de Bernard Friot dialoguant, avec cette fois des enfants de Primaire, sont visibles sous forme de diaporama (en bas de page) , en cliquant sur ce lien :

http://mediatheque-laignes.e-monsite.com/accueil.html

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Je ne sais pas encore grand chose du club des Abeilles de Châtillon sur Seine, mais sa présidente Colette Roussel, m'avait dit qu'un repas réunissait ses membres pour fêter la fête des Mères.

Je suis donc allée prendre quelques photos des joyeux convives, salle Luc Schréder à Châtillon sur Seine, et je me promets d'aller leur rendre, plus tard, une petite visite lors de leurs réunions.

Les mamans ont reçu une magnifique rose rouge, moi aussi, à ma grande surprise, j'ai beaucoup apprécié cette gentille attention !

La présidente, Colette Roussel n'était pas encore arrivée, j'ai rencontré monsieur Florion qui est le Président d'Honneur  du Club des Abeilles, vous le voyez  ici avec Louise Bauer, secrétaire.Monsieur Odin est le trésorier de l'Association.

A bientôt pour un prochain article sur ce club dynamique ...

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