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René Drappier m'envoie quelques photos sur les travaux sur ce qu'il appelle malicieusement : "Le Rond Point de la Grogne"
Les travaux du rond point ont repris et avancent à grands pas, des matériaux en stock attendent la pose .
Voici quelques photos dont une de ce conducteur de pelleteuse très attentif à son travail... c'était son dernier jour d'activité, il partait à la retraite le soir même.
Nous lui souhaitons ...Bonne retraite cher Monsieur...
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L'ancienne église Sainte-Anne, de la fin du XVIIème siècle, abrite le Musée d'Art Sacré de la ville de Dijon..
C'est un édifice de plan circulaire à dôme de cuivre.
Le Musée renferme le mobilier religieux, recueilli en Côte d'Or, depuis vingt ans. ( Pendant la Révolution on y transporta, déjà, quantité d'objets religieux provenant des monastères de la région)
Le Maître-Autel de l'église Sainte-Anne est en marbre et stuc. Il a été exécuté en 1672 par Jean Dubois, sculpteur dijonnais.
On remarque la magnifique "Visitation de la Vierge à sainte Elisabeth". Les deux statues de bronze sont placées sous un baldaquin en porphyre de Bourgogne.
Un autel baroque de 1769 :
Un de ses candélabres :
Bâton de procession de la Confrérie de Saint Sacrement :
De très beaux bâtons de procession :
C'est une conférence donnée à l'Association Culturelle de l'université pour tous sur les bâtons de procession, qui m'a donné envie de visiter ce Musée . Le Conférencier, monsieur Bernard Sonnet, nous avait incités à nous y rendre, et j'avoue que je n'ai pas regretté ma visite, tant ce Musée est riche !
Le Musée d'Art Sacré contient de nombreuses très belles Vierges à l'Enfant, en voici quelques unes :
Celle ci est du XIIème siècle.
Quelques tableaux provenant de l'église d'Esbarres (XVIème siècle)
La Nativité de la Vierge :
L'Immaculée Conception :
L'Annonciation :
Une belle Pieta : :
Saint Eloi, en pierre calcaire du XVème siècle provenant de l'église de Veuvey sur Ouche.
Une autre salle contient, sous vitrines, tous les objets du culte : crucifix, finement décorés d'émaux, calices, allant du XIIIème au XIXème siècle.
Dans cette vitrine, des objets de culte ayant appartenu à Bénigne Joly :
Une autre salle présente les habits et des ornements sacerdotaux :
On trouve aussi dans le Musée, des objets peu habituels et surprenants , comme cette réduction d'une cellule de religieuse :
Un "petit Jésus" provenant sans doute d'une crèche :
Des armoires de reliques :
L'armoire des reliques de Saint Bernard, que j'ai déjà présentée ici :
Le Petit Roi de Grâce du Carmel de Beaune:
Un bel Ecce Homo :
Le Musée d'Art Sacré contient aussi beaucoup de tableaux dont je n'ai photographié qu'un exemplaire tellement je les trouve peu attirants, et de style un peu pompier...trop modernes pour moi, ils sont sans doute datés du XIXème siècle,du style Saint-Sulpicien.
Allez donc visiter ce beau musée qui sort de l'ordinaire...et puis il se trouve à côté du Musée de la Vie Bourguignonne (Ex Perrin de Puycousin de mon enfance) qui est extraordinaire aussi.
http://www.christaldesaintmarc.com/le-musee-de-la-vie-bourguignonne-de-dijon-a91833595
Les entrées sont gratuites, il n'y a donc pas à hésiter !!
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Michel Lagrange est l'auteur de deux très beaux ouvrages poétiques intitulés "Pleurants, deuillants et fraternels" et "L'ambiguïté de Champmol est partout et nulle part".
Pour écrire ses ouvrages, il s'est intéressé de très près aux règnes des Ducs de Bourgogne qui durèrent de 1364 à 1477, et en particulier à ceux de Philippe le Hardi et de Jean sans Peur, les deux Ducs qui firent construire les magnifiques tombeaux qui font l'admiration , encore aujourd'hui, du monde entier.
Le Duc de Bourgogne Philippe le Hardi était le fils du roi Jean II de France, dit Jean le Bon. Michel Lagrange nous rappelle que c'est lui qui , lors de la bataille de Poitiers, criait "père gardez vous à droite, père gardez vous à gauche".
Jean le Bon récompensa son fils de son courage, en lui faisant donation du Duché de Bourgogne, en 1364.
Par son mariage avec Marguerite de Flandres, Philippe le Hardi agrandit son duché par le nord, englobant par exemple des villes comme Bruges et Gand.
(Le duché s'agrandit, plus tard, encore, avec les terres que les Ducs, qui lui succédèrent, acquirent par mariage: Jean Sans Peur, Philippe le Bon et Charles le Téméraire.)
Très pieux, Philippe le Hardi, protégeait l'ordre des Chartreux, en particulier la grande Chartreuse, fondée par Saint Bruno, mais aussi la Chartreuse de Lugny près de Châtillon sur Seine.
Il désira créer une Chartreuse près de Dijon, dans un endroit humide, longé par la rivière l'Ouche, d'où son nom de "Champmol". Le terrain fut acheté en 1348, les bâtiments furent terminés en 1385.
Le but de cette création était de fonder une nécropole, où tous les Ducs de Bourgogne pourraient être inhumés.
Ce plan, dessiné par Aimé Piron en 1686, montre un immense cloître entourant un espace où se dresse le "Puits de Moïse", dont Michel Lagrange nous parlera plus tard.
La Chartreuse de Champmol possédait, bien sûr, une église dont voici le portail .
Philippe le Hardi s'entoura d'artistes prestigieux comme Jean de Marville, Claus Sluter et Claus de Werve son neveu. Ce sont eux qui ont réalisé les si belles sculptures de ce portail.
Philippe le Hardi avec Saint Jean-Baptiste :
La Vierge du trumeau central :
Marguerite de Flandre, épouse de Philippe le Hardi avec Sainte Catherine d'Alexandrie :
Philippe le Hardi a servi de modèle au Jérémie du Puits de Moïse : même menton prognathe, même nez fort...
Philippe le Hardi mourut en 1404, en Flandres. Il fut éviscéré, son cœur fut déposé à Saint Denis, son corps fut ramené à Champmol, en parcourant ainsi 550 kilomètres ! Notons que sa dépouille fit une halte à Châtillon sur Seine le 26 mai. On lui célébra un service dans l'église Saint Nicolas.
A l'arrivée à Champmol, il fut inhumé, vêtu d'une robe de Chartreux, sous le magnifique tombeau qu'il avait fait réaliser.
C'est celui qui se trouve actuellement au Musée des Beaux Arts de Dijon :
Son fils, Jean sans Peur, fut aussi inhumé à Champmol, cette fois avec son épouse Marguerite de Bavière.
Ces splendides tombeaux sont l'œuvre de Jean de Marville, Claus Sluter et Claus de Werve pour Philippe le Hardi, Jean de la Huerta et Antoine le Moiturier pour Jean sans Peur.
Sous chaque dalle de marbre noir, soutenant les gisants, se promènent des pleurants d'albâtre... Ils ont fait dernièrement l'admiration des Etats-Unis, de l'Allemagne, ils sont sublimes et tous différents !
Dans l'église de la Charteuse de Champmol, se trouvaient des retables magnifiques, eux aussi visibles maintenant au Musée des Beaux Arts de Dijon, comme ce retable de la Crucifixion , dû à Jacques de Baerze (1391):
Portail de gauche :
portail de droite :
Le martyre de Sainte Catherine d'Alexandrie :
La décollation de Saint Jean-Baptiste :
Les retables de Melchior Broederlam d'Ypres:
L'annonciation :
Dieu en haut du retable de l'Annonciation :
La présentation de Jésus au Temple et la fuite en Egypte :
Voyez le regard surpris de l'enfant Jésus à sa mère...Il se demande ce qui va se passer, nous dit Michel Lagrange...quelle finesse et quelle émouvante beauté !
Le retable de Saint Georges :
D'autres œuvres qui appartenaient à la Chartreuse de Champmol se trouvent dans d'autres musées comme le retable de Saint Denis qui est au Louvre :
L'annonciation de Simone Martini qui se trouve au musée d'Anvers :
Les cellules des moines possédaient elles-aussi de très belles peintures médiévales comme celle-ci :
Mais au cours du temps, les goûts évoluèrent. Les chartreux vendirent ces magnifiques tableaux du XIVème pour acheter ce genre de peintures, hélas ...
La Chartreuse de Champmol échappa aux guerres de Religion. Tous les rois et les reines de France y vinrent en pélerinage.
Malheureusement, à la Révolution, la Chartreuse de Champmol fut profanée, son cloître démantelé (une partie, nous dit Michel Lagrange , se trouverait au jardin de l'Arquebuse à Dijon), ses œuvres picturales vendues à l'étranger, les Chartreux en furent chassés.
En 1792, les tombeaux seront transférés à la Cathédrale Saint Bénigne de Dijon, sans destruction.
Les bâtiments furent achetés par un certain Emmanuel Cretet qui se fit nommer, par Bonaparte, comte de Champmol !!
Heureusement, dès 1792, François Devosge s'intéressa à la Chartreuse de Champmol, et fit l'inventaire de ce qui subsistait. En 1838 le site fut restauré et classé.
Mais plus tard, les bâtiments restants abritèrent (et abritent toujours) un asile d'aliénés.
Lors de ma petite enfance dijonnaise, avant, plus tard, de découvrir le Puits de Moïse et l'histoire des Ducs de Bourgogne, je croyais que le mot "Chartreuse" désignait uniquement un endroit où l'on enfermait les fous...
C'est cette ambiguïté qui a intéressé Michel Lagrange, la proximité de la folie et du spirituel qui existe en ce lieu.
Lieu magique, hors du commun, lieu mythique que transcende l'érosion du temps...
Michel Lagrange nous a lu quelques passages de son ouvrage.
Fidélité d'un lieu sans trahison,
Sans défaillance à son histoire.
Les imagiers venus des Flandres,
Et la réclusion des Chartreux
Ont libéré dans l'air un espace impatient,
Une émotion inachevable,
Une envie de dépassement
Qui ne peut retomber.
Rien n'est passé.
La terre a forcément gardé de l'ossuaire ancestral
Une énergie, plus haut tenue
Que les brouillards sanglants de la Révolution.
Le sol est le dépôt de la mémoire,
Un reliquaire.
Fil rouge et musical, grégorien quasiment,
Le temps qu'on a vandalisé jadis
Se recompose.
Il est de tous les âges,
Et nul ne peut le mesurer, le circonscrire,
Mais l'avenir est fécondé
Par cette basse continue....
Michel Lagrange nous a ensuite présenté le chef d'œuvre de l'art médiéval , l'œuvre admirable de Claus Sluter, qu'est le Puits de Moïse.
Le Puits de Moïse se trouvait au centre du cloître de la Chartreuse de Champmol, c'était la réserve d'eau des moines.
Claus Sluter l'édifia à partir de 1387. Au centre du réservoir, il dressa un socle hexagonal, et sur la plate-forme un calvaire , depuis détruit par un effondrement du plafond.
Six anges soutiennent la plate-forme, et dans les niches se dressent les six prophètes de l'Ancien Testament, statues qui magnifient les sentiments humains.
Moïse est le personnage le plus impressionnant. Il a le regard fixé sur l'immensité, et porte les tables de la Loi. C'est un personnage d'une puissance remarquable, de 1,70 de hauteur...
Le Moïse de Sluter est beaucoup plus impressionnant et moins "maniéré" que le Moïse de Michelangelo Buonarroti (dit Michel-Ange) dans son tombeau de Jules II (1542) :
Les autres prophètes portent des phylactères sur lesquels sont inscrites, en latin, des devises.
Daniel :
Isaïe :
David :
Jérémie :
Zacharie :
Les anges ont des attitudes liturgiques ou simplement humaines qui montrent qu'ils sont désespérés par la Crucifixion du Messie (je rappelle qu'un Golgotha existait autrefois au dessus du Puits de Moïse):
Michel Lagrange a été longuement applaudi, par la nombreuse assistance, pour cette magnifique conférence sur un sujet qui lui tient particulièrement à cœur.
Robert Fries, au nom des Amis du Musée du Pays Châtillonnais-Trésor de Vix, lui a remis un présent, un livre sans doute...
Michel Lagrange a répondu aux questions de l'assistance...puis a, à son tour, offert aux Amis du Musée un cadeau exceptionnel !
Un poème sur le trésor de Vix qui a enthousiasmé les auditeurs.
Merci à lui pour son exposé enrichi de très belles photos qui nous a fait découvrir une part de notre histoire bourguignonne, peut-être un peu méconnue, mais qu'il ne faut surtout pas oublier.
Le livre de Michel Lagrange, "Pleurants, deuillants et..éternels" a été présenté ici :
Ce livre a émerveillé le compositeur Jean-Louis Gand, qui en a tiré une merveilleuse cantate , "la Cantate des Pleurants", interprétée en automne dernier à Dijon, par le Quatuor Manfred.
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Des moulages des personnages figurant sur le Puits de Moïse ont été réalisés au XIXème siècle.
Ils sont exposés, depuis peu, dans une nouvelle salle du Musée des Beaux-Arts de Dijon, où je les ai photographiés.
Ici on voit la réduction du Puits de Moïse tel qu'il était au temps de Philippe le Hardi, avec le Golgotha qui le surplombait. Les couleurs d'origine ont été reconstituées. :
Les prophètes :
Moïse :
David :
Daniel :
Isaïe :
Jérémie :
Zacharie :
Les Anges :
Au Musée archéologique de Dijon, j'ai photographié ce magnifique Christ, qui, pense-t-on, était celui qui se trouvait crucifié sur la croix qui se trouvait autrefois au sommet du Puits de Moïse . Il est attribué à Claus de Werve.
Il a donc toute sa place dans cet article.
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Voilà ce que Buffon, le naturaliste, nous disait de la cigogne noire dans sa célèbre "Histoire Naturelle" :
Sauvage et solitaire, la cigogne noire fuit les habitations, et ne fréquente que les marais écartés. Elle niche dans l'épaisseur des bois, sur de vieux arbres, particulièrement sur les plus hauts sapins. Elle est commune dans les Alpes de Suisse, on la voit au bord des lacs, guettant sa proie, volant sur les eaux et quelquefois s'y plongeant rapidement pour saisir un poisson. Cependant elle ne se borne pas à pêcher pour vivre, elle va recueillant les insectes dans les herbages et les prés des montagnes: on lui trouve dans les intestins des débris de scarabées et de sauterelles.Et lorsque Pline a dit qu'il avait vu l'ibis dans les Alpes, il a pris la cigogne noire pour cet oiseau d'Egypte (VII, p.272-273)
Antoine Rougeron, membre de la Ligue de Protection des oiseaux, est venu présenter les cigognes noires aujourd'hui, et les mesures mises en place pour les protéger.
Je ne suis pas allée à sa conférence, mais je me suis rendue au Musée Buffon pour voir l'exposition "Cigogne noire"qu'il a laissée à la vue de tous, jusqu'au 10 mars 2014.
Plusieurs panneaux, très bien faits, nous permettent de tout savoir sur cet oiseau mythique, dont plusieurs couples nichent en Châtillonnais.
Plusieurs belles photos de cigognes noires agrémentent l'exposition :
Voici ce que disait Buffon de la cigogne noire au XVIIIe s. Mais que sait-on de cet oiseau aujourd’hui ?
Antoine Rougeron de la LPO présentera les cigognes noires aujourd’hui et les mesures mises en place pour les protéger, lors d'une conférence le vendredi 14 février 2014 à 18h.
L'intervention sera suivie de l'inauguration de l'exposition "Cigogne noire" présentée dans le hall d'accueil du Musée Buffon et visible jusqu'au 10 mars 2014. - See more at: http://www.cotedor-tourisme.com/bourgogne/agenda-culturel/la-cigogne-noire_fmabou0210019922_fiche.html#sthash.UxaAglVo.dpufVoici ce que disait Buffon de la cigogne noire au XVIIIe s. Mais que sait-on de cet oiseau aujourd’hui ?
Antoine Rougeron de la LPO présentera les cigognes noires aujourd’hui et les mesures mises en place pour les protéger, lors d'une conférence le vendredi 14 février 2014 à 18h.
L'intervention sera suivie de l'inauguration de l'exposition "Cigogne noire" présentée dans le hall d'accueil du Musée Buffon et visible jusqu'au 10 mars 2014. - See more at: http://www.cotedor-tourisme.com/bourgogne/agenda-culturel/la-cigogne-noire_fmabou0210019922_fiche.html#sthash.UxaAglVo.dpuf
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L'un des gérants de La Belle Boîte, Bernard Tridon, (l'autre gérant étant François Longu) nous a présenté son entreprise, située 4 rue Jean-Philippe Rameau à Châtillon sur Seine.
La Belle Boîte, située aux limites de la Bourgogne et la Champagne, est spécialisée dans la fabrication de coffrets vinicoles, présentoirs, stands.
Du choix du bois de provenance française au montage, en passant par la sérigraphie, le marquage et la fabrication de pièces spécifiques, elle maîtrise chaque phase de la chaîne de fabrication.
Un gage d’efficacité et de qualité renforcée par un savoir-faire reconnu et des moyens de stockage et de production modernes.Deux salles ont été aménagées pour nous faire connaître toutes les productions de La Belle Boîte, qui sont nombreuses : confection de coffrets, de caisses sérigraphiées, de présentoirs, de stands..
La Belle Boîte réalise des coffrets de tous styles, de toutes tailles, à glissière, à clouer, avec couvercle ou fermoir, peints, vernis, avec marquage.
Quelques exemples de coffrets sérigraphiés :
La Belle Boîte produit aussi d'autres objets comme des paniers, par exemple pour aller aux champignons...
Mais aussi un surprenant "atelier à mouches" destiné aux pêcheurs ...
La Belle Boîte crée aussi des présentoirs de formes diverses , des bacs en contreplaqué-peuplier montés sur ossature en bois massif.
Ces présentoirs destinés aux magasins, sont très beaux et vraiment réalisés avec goût, comme ce "tube Citroën"...
Ils sont originaux comme ce traîneau, et ce pont du Rialto de Venise
Le pont du Rialto, surplombant une gondole, est d'ailleurs utilisé actuellement dans le magasin Intermarché de la ville nous dit le responsable fruits et légumes de l'établissement...
Le voici justement, photographié hier lors de mes courses...:
D'autres présentoirs tous plus beaux les uns que les autres :
Un présentoir-barbecue !
Bernard Tridon montre ici la photo d'un magasin entièrement customisé par La Belle Boîte :
Un exemple de présentation de bouteilles, qui sera réalisé en bois massif...
comme sur cette photo :
La Belle Boîte réalise aussi de beaux stands sur mesure, en différents matériaux: mélamine, stratifié, bois massif...
et "habille" de bois des vitrines réfrigérées...
Les visiteurs ont été très intéressés et vraiment conquis par toutes les réalisations de La Belle Boîte. C'est une entreprise qui mérite de réussir tant ses produits sont de qualité et ne manquent pas d'imagination.
Hubert Brigand, Maire de Châtillon sur Seine, a souhaité que La belle Boîte, dans ses nouveaux locaux, connaisse un succès qu'elle mérite largement, au vu de ses très belles réalisations.
Rappelons que la Belle Boîte était autrefois basée à Poinçon les Larrey. Elle est installée à présent dans les anciens locaux de Ferriot-Cric que la ville avait achetés en 2012, et qu'elle loue à cette entreprise.
Quelques vues de l'usine où se fabriquent toutes les créations de La Belle Boîte :
Les découpes-défonçages sont réalisées avec l'aide du centre d'usinage numérique.
Ici nous voyons la réserve des bois divers utilisés par La Belle Boîte : pin, chêne, peuplier et douglass.
Le site de La Belle Boîte à visiter :
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