• Jean Ponsignon, souffrant, ne pourra pas projeter son audio-visuel sur la Côte d'Or vue du ciel

    Cette projection est repoussée au mois de février.

    Bonne convalescence Jean, et à bientôt en pleine forme !

    La Côte d'Or à tire d'ailes

    Ce montage a pour but de permettre au plus grand nombre de spectateurs de s’émerveiller devant la Côte d’Or vue du ciel. Cet audiovisuel permettra de découvrir certaines des richesses du département sous un angle nouveau, de mieux apprécier sa diversité.

     Nous évoquerons tour à tour, après une introduction avec cartes, les thèmes suivants :

     Première partie

    • La nature : les forêts du Châtillonnais, les paysages verdoyants de l’Auxois et du Pays d’Ouche, les zones humides de la vallée de la Saône.
    • Les cultures et les vignobles : des champs de blé et de colza, aux prairies d’élevage et aux coteaux luxuriants de la Côte.

     Deuxième partie

    • Les vestiges visibles des temps anciens.
    • Les maisons fortes et les châteaux : plus de 100 d'entre eux choisis parmi les 200 châteaux de Côte d’Or.
    • Les églises et les abbayes : de l’humble St. Vorles de Châtillon à la cathédrale St. Bénigne de Dijon, en passant pat St. Thibaud dans l'Auxois, St. Andoche de Saulieu et bien d’autres : de Molesme à Cîteaux.

    Troisième partie

    • Les agglomérations : villages, bourgs et villes : villages enjambant la Seine ou blottis à flanc de coteaux, villes marquées par l’histoire : Châtillon-sur-Seine, Montbard, Semur-en-Auxois, Vitteaux, Saulieu, Auxonne, Beaune, et bien entendu Dijon.
    • Les équipements de loisir : circuit automobiles, hippodromes, plans d’eau aménagés et stade de ski nautique, stades et tennis, terrains de golf verdoyants, parcours de moto cross, …
    • Les activités industrielles, commerciales et de transport : tracés d’autoroute et de TGV, usines sidérurgiques, centre commerciaux, sans oublier base aérienne et aérodromes.

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  • "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

    Après la descente du Yang Tsé Kiang, Jean Ponsignon nous a présenté, sous l'égide de l'Association Culturelle Châtillonnaise, un magnifique montage sur l'île de Bali où il s'est rendu avec son épouse Sophie.

    Tous deux m'ont donné leurs textes et leurs photos. Elles étaient très nombreuses, aussi j'ai dû faire un tri, avec regret, tant elles étaient superbes...mais il ne faut pas trop charger le blog pour que tout le monde puisse y avoir accès .

    Merci Sophie et Jean pour votre générosité !

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

    Bali est une petite île fertile, de la dimension d’un département français, très peuplée avec plus de 2,5 millions d’habitants, située au milieu du cordon d’îles de l’archipel indonésien. Située à 8 degrés au Sud de l’Equateur, on y trouve des rizières qui descendent des collines en marches géantes, des volcans actifs qui s’élèvent au dessus des nuages, une jungle tropicale dense, et de longues plages de sables alternant avec des falaises où le ressac vient se briser.

    Le port de Bénoa abrite une flottille de pêche peu nombreuse, car le balinais craint la mer , et puis les bateaux ne sont pas très neufs.

    Il sert de point d’arrivée à l’hydrofoil qui fait la liaison avec l’île de Lombok.

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

    En dépit de la densité de population de 440 habitants par km2, la jungle conserve ses droits dans maintes parties de l’île.

    Des cascades offrent des paysages de naissance du monde.

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    A leur pied les chercheurs d’or tamisent le sable aurifère.

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

    Au flanc des collines les cultures abondent ; il s’agit de jardinage intensif autant que d’agriculture.Voici un arbre à cacao.

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     Les clous de girofle sèchent au soleil.

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    Les fleurs et les arbres forment une exubérante symphonie de couleurs et de formes.

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    Les oiseaux s’enorgueillissent de leurs couleurs de clown.

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    Ce petit jecko à la peau tachetée et l’œil vif :

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    Son cousin à l’aspect préhistorique, le dragon de Komodo est fort impressionnant, celui là avait au moins deux mètres de long.

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    Les singes sont nombreux, sans gène comme il se doit, et parfois agressifs dans l’enceinte de certains temples, où leur grand plaisir consiste à venir chiper les lunettes du visiteur, en les lui arrachant du nez, pour le narguer ensuite depuis la branche d’un arbre.

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    Le riz est la culture principale de Bali ; non seulement il constitue un produit de base pour la cuisine, mais le paysage entier a été sculpté, modelé, pour le faire pousser. L’organisation complexe nécessaire pour faire pousser le riz est un facteur important de la vie communautaire balinaise où le « subak » ou association de cultivateurs de riz, doit soigneusement planifier l’utilisation des eaux d’irrigation. Ils obtiennent deux récoltes par an.

    Vous voyez tour à tour le riz pousser, puis être repiqué, puis récolté et enfin vanné.

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    Le travail de l’homme a joué un rôle prépondérant dans l’aménagement du paysage naturel, le rendant magnifique, avec ses terrasses cyclopéennes comme des marches pour géants, et avec son réseau compliqué d’irrigation.

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    Le canard fournit un plat de fête ; de nombreuses familles en élèvent un troupeau, qui, le jour est mené pour se nourrir dans une rizière inondée. On les conduit avec un bâton surmonté d’un petit drapeau que l’on plante dans la rizière. Le soir, les canards se rassemblent d’eux mêmes autour d'un fanion.

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    Les villages à l’écart des routes ont conservé une architecture et un aménagement que le modernisme semble ne pas avoir effleuré.

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    Scènes de marché sous les halles couvertes de la capitale Dempasard, agrumes, piments, étals de poissons, volailles dans les batteries locales...

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    Et un cochon dans son emprisonnement de bambou.

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    L’artisanat local est très vivace, Les scènes de la vie quotidienne inspirent les peintres.

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    Les sculpteurs fabriquent des meubles, des animaux décoratifs. et des divinités.

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    Les mobiles de bambou et de papier, comme les cerfs-volants font partie des amusements traditionnels.

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    La population est paisible, joyeuse et fraternelle.

    En fin de journée , la mère et la fille portent leurs offrandes au temple hindouiste...

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    Les mobylettes vrombissent...

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    Les horticulteurs sont nombreux aux abords de Dempasar.

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    Voici comment on s’installe pour abattre un cocotier.

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    Les buffets garnis des restaurants sont une invite permanente à la découvertes de mets exotiques et épicés.

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    Cet ensemble de bronze ripoliné évoque un héros national ayant lutté contre les colons hollandais.

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    L’étranger ne vient plus en colon honni, mais en touriste bienvenu, avide de sable chaud, de mer tiède et de vents marins.

    La pratique du parachute ascensionnel est fort répandue.

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    Le soir venu les orchestres de gamelan, les dragons et les danseuses vous initient à des sons et à des postures d’une culture bien différente de la nôtre.

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    Les combats de coqs constituent une autre activité fort prisée des hommes où les paris vont bon train dans un climat de grande excitation.

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    Dans la vie courante, tout est prétexte à décoration : la préparation de la visite d’un officiel, ou une fête religieuse.

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    Vous croyez peut-être que c’est un temple ? Perdu, c’est un magasin. Imaginez chez nous une entrée similaire pour « Monsieur Meuble » par exemple.

    Les autels domestiques sont quotidiennement décorés d’offrandes fraîches.

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    Les temples et les statues reçoivent aussi leur lot de fleurs et de pétales Pour les Balinais, les esprits sont partout ; les offrandes déposées chaque matin rendent hommage aux bons esprits et apaisent les mauvais. On ne prend pas de risques.

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    A l’entrée des grands temples, les conditions de visite, inhabituelle chez nous, sont précisées.

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    Certains temples ont été taillés à l’intérieur de rochers.

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    Le centre de l’île est occupé par un volcan actif, le Bahur, haut de 1717 m. De son flanc ouvert s’échappent des fumeroles. Une violente éruption en 1917 tua des milliers de villageois t détruisit 60 000 maisons et 2 000 temples.

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    Le temple de Kintamani qui fait face au volcan a été reconstruit après l’éruption.

    Chaque temple possède au minimum deux cours dans lesquelles on pénètre par une porte principale, située au dessus de deux marches, que l’on n’ouvre que pour les fêtes importantes.

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    Les statues des gardiens qui se veulent féroces protègent les entrées et repoussent les mauvais esprits.

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     Les temples sont vides la plus grande partie de l’année mais s’animent et se parent de mille couleurs lors des grandes fêtes.

    Suivons ces femmes qui cheminent dans la forêt en direction de la mer.

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    Les prières et les offrandes se font devant et à proximité de la mer.

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    Pour les Balinais religion est synonyme de divertissement dont les mortels peuvent jouir, tout comme les dieux ; les innombrables jolis plats d’offrandes, chefs d’œuvre d’art populaire, sont confectionnés pour les dieux, mais une fois que ceux ci en ont absorbé « l’essence », il reste assez de « substance » pour organiser une grande fête et un abondant repas. L’hindouisme des Balinais diffère totalement de celui pratiqué en Inde, car il s’est ajouté et mêlé à des cultes animistes. Deux traits principaux caractérisent la religion à Bali : elle est partout et elle divertit. Vous ne pouvez y échapper : il y a au moins trois temples dans chaque village, des autels dans chaque champ et des offrandes dans chaque coin de maison ou de magasin.

    Le visiteur est prié en signe de respect de porter une écharpe jaune ou orange autour de la ceinture.

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     L’un des célébrants bénit la foule avec une eau sacrée, puis chacun repart chez soi avec les offrandes en équilibre sur la tête.

    Le temple de Bédulu est construit autour et au milieu de bassins remplis d’énormes poissons rouges,

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    Et dispose de bassins et fontaines destinées aux ablutions sacrées.

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    Celui de Bedugul se dresse au bord d’un lac d’altitude qui donne au site une atmosphère irréelle et magique.

    Franchissant un large fossé, nous pénétrons dans le temple de Taman Ayoun ; il est orné d’une multitude de clochetons à toits multiples : les merus.

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    Ce temple construit de pierre et de briques domine la mer ; ses sculptures nous paraissent particulièrement baroques.

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    De retour aux abords de la capitale, nous rencontrons une des processions fréquentes en fin d’après-midi, qui se dirige vers la mer. La circulation s’arrête et le chef de cérémonie, le sifflet à la bouche, dirige son monde avec bonheur. Après quelques hommes pour ouvrir la marche, suivra la procession des offrandes portées par les femmes ; l’ensemble ruisselle de lumière, de couleurs vives, de gentillesse, symboles d’une humanité pacifiée. Le gamelan ferme la marche au son des flûtes et des tambours. Ici le sacré est lieu commun.

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

    Chaque étape de la vie balinaise est rythmée par des cérémonies dont la dernière – la crémation – en représente souvent le summum. A Bali une crémation est un événement étonnant, spectaculaire, coloré et bruyant. En fait il faut parfois tant de temps pour l’organiser qu’elle peut avoir lieu plusieurs années après le décès. Durant ces préparatifs le corps est temporairement enterré. Comme la cérémonie est très onéreuse, de nombreuses familles peu fortunées préfèrent se réunir pour brûler leurs morts ensemble, une fois la date propice choisie.

    Ce cérémonial représente pour les étrangers une occasion exceptionnelle d’admirer l’incroyable énergie déployée pour créer de véritables œuvres d’art éphémères. Ce n’est pas seulement un corps que l’on brûle, mais c’est aussi la haute tour dans lequel le défunt est transférée. Haute de plusieurs étages, elle est réalisée en bambou, papier, ficelle, cheveux d'ange, soie, tissus, miroirs, fleurs et toutes sortes d’objets brillants et colorés.

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

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    Cet édifice est transporté sur les épaules d’un groupe d’hommes, dont la taille, comme celle de la tour, dépend du rang social du mort.

    En chemin, certaines précautions doivent être prises pour s’assurer que l’âme du défunt ne retourne pas hanter sa demeure où elle pourrait se montrer nuisible. Pour l’en empêcher, les esprits doivent perdre tout sens de l’orientation, ce que l’on obtient en secouant la tour, en la faisant tournoyer sur elle même, en l’aspergeant d’eau, bref en avançant d’une façon qui ressemble à tout sauf à un cortège funéraire solennel. Un prêtre, perché à mi hauteur de la tour, fait de son mieux pour asperger le cortège d’eau bénite. Un gamelan fournit l’accompagnement musical de rigueur.

    Il faut se rendre à l’évidence, à Bali, cérémonies et religion sont prétextes à réjouissances.

    Sur le lieu d’incinération, le corps est déchargé et le linceul ouvert pour d’ultimes bénédictions.

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

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    Enfin tout se termine dans les flammes : la tour funéraire, les linceuls, le corps. Le fils aîné accompli son devoir en recherchant dans les cendres les éventuelles parties du corps non consumées.

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

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    Nous terminerons cette évocation de Bali, l’île des dieux, en nous rendant au temple de la mer, à Tanah Lot, le plus connu et le plus visité. Perché sur un îlot rocheux, isolé à marée haute, il n’est relié à la terre qu’à marée basse.

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

    Le monument est splendide dans la lumière du soir qui le découpe avec force sur l’horizon. Partageons cet instant ou le crépuscule semble une transition vers l’éternité.

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

    Jean Ponsignon a ensuite répondu aux nombreuses questions des auditeurs, ravis d'avoir pu assister à cette si belle et riche conférence.

    "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.

    Nous avons voyagé très loin avec Jean et Sophie, en Chine, puis à Bali...quels beaux périples virtuels nous avons faits !

    Merci encore à tous les deux. "Bali, l'île des dieux", une conférence de Jean Ponsignon pour l'A.C.C.


    2 commentaires
  • Jean  Ponsignon a donné dernièrement, sous l'égide de l'Association Culturelle Châtillonnaise, une conférence double. La première partie était consacrée au voyage que tous deux ont fait en Chine, le long du Yang Tsé Kiang. La seconde partie était consacrée à Bali, l'île des dieux.

    Jean et Sophie Ponsignon ont réalisé des centaines de photos qu'ils m'ont très gentiment données, ainsi que leurs textes, merci à tous les deux pour leur grande générosité.

    J'ai choisi un certain nombre de photos illustrant la relation de leurs beaux voyages, elles étaient toutes splendides, j'ai eu du mal, mais il ne faut pas trop charger un blog, la lecture pouvant en être difficile pour certains....

    Aujourd'hui la descente du Yang Tsé Kiang...Bientôt le voyage à Bali.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Avec plus de 5 000 km d’une frontière à l’autre, la Chine présente des paysages très variés. La moitié orientale du pays est composée de plaines fertiles, de montagnes, de déserts et de steppes. La moitié occidentale est occupée par des dépressions, des plateaux vallonnés et des massifs, dont une partie du plus haut plateau du monde.

    Le relief de la Chine, d’une grande diversité est avant tout marqué par la montagne : 40 % du territoire chinois se trouve au-dessus de 2 000 mètres d'altitude.

    Le Yangzi Jiang le plus long fleuve de Chine, troisième fleuve du monde après le Nil et l’Amazone est navigable sur une grande partie de sa longueur et porte le site du barrage des Trois-Gorges. Il prend sa source au Tibet puis traverse 6 300 km au cœur de la Chine, drainant un bassin hydrographique de 1,8 million de km² avant de se jeter dans la mer de Chine orientale.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Nous débuterons la descente Yang Tsé à Chongqing. C’est une municipalité autonome après avoir été longtemps l'une des principales villes de la province intérieure du Sichuan. La municipalité de Chongqing a une superficie de 82 401 km² (c'est-à-dire comparable à la superficie de l'Autriche) et une population de 17 845 265 habitants d'après le recensement officiel de 2010. La zone urbaine compte environ huit millions d'habitants.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Alors que les trois autres municipalités chinoises, Shanghai, Pékin et Tianjin, sont situées dans l'est du pays et existaient avant la proclamation de la République populaire, la municipalité de Chongqing a été créée dans les années 1990 pour qu'elle devienne un pôle économique majeur de la Chine intérieure et pour gérer le relogement des personnes déplacées par la mise en eau du barrage des Trois-Gorges. Dans les années 2000, la zone urbaine de Chongqing a été l'une des régions chinoises à la plus forte croissance démographique.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Située à l'extrémité nord du plateau du Yunnan-Guizhou et à la limite orientale du bassin géologique du Sichuan, Chongqing est coupée par la rivière Jialing et le cours supérieur du fleuve Yangzi Jiang (nommé aussi autrefois le Yang-Tsé).

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Bâtie au confluent du Yangzi et de l'un de ses principaux affluents, le Jialing, la ville-centre présente une topographie très particulière composée uniquement de collines escarpées, ce qui en fait la seule grande ville chinoise exempte de vélos, les pentes y étant trop raides. C'est également la seule ville où le franchissement des fleuves s'effectuait partiellement à l'aide de téléphériques. Depuis l'ouverture de Chongqing à l'international, en particulier depuis 1997, de nombreux ponts ont été construits.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    La municipalité de Chongqing est considérée par certains pour la plus grande ville du monde avec plus de 30 millions d’habitants. Ce n’est pourtant pas une ville au sens où l’on peut l’imaginer, cette municipalité est encore très rurale avec des villages, des rizières, une forêt luxuriante, une grande population paysanne.

    L’attraction numéro un de la région reste les grottes bouddhiques de Dazu, à la frontière avec la province voisine du Sichuan, ou nous nous rendrons avant de commencer notre navigation

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Les sculptures rupestres de Dazu situées dans le district de Dazu, forment une série exceptionnelle de sculptures religieuses datant principalement du VIIe au XIVe siècle. Elles ont été inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO en 1999. Les plus anciennes de ces œuvres datent de 1400 ans environ, mais les plus remarquables ont été réalisées aux IXe et XIIIe siècles, période de plein épanouissement artistique de la sculpture rupestre chinoise.

    Cet art a été introduit en Chine il y a 2 000 ans grâce au bouddhisme venu d’Inde. Particulièrement localisé dans le Nord de la Chine, le long de la Route de la Soie et de la vallée du Fleuve Jaune, cet art s’est essentiellement développé pendant les périodes florissantes des Wei du Nord et des dynasties Sui. Les grottes de Dazu, un peu plus récentes, ont perpétué cet art dans le sud du pays. On dénombre 75 sites protégés, abritant à la fois des statues, au nombre de 50 000 environ, et des inscriptions et épigraphes, formées de plus de 100 000 caractères chinois.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Ces sculptures sont particulièrement remarquables par la grande richesse de leurs sujets, tant religieux que séculiers, qui font la synthèse entre le bouddhisme, le taoïsme et le confucianisme, mais offrent également une représentation de la vie à cette époque, aussi bien des princes et des personnages publics que des petites gens.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Elles sont réparties sur les flancs escarpés des montagnes des environs de Dazu, notamment sur le mont Bei : une falaise de 300 m de long qui abrite plus de 10 000 sculptures, dont plus de la moitié représentent des sujets liés au bouddhisme tantrique.

    Certaines sculptures de Dazu ont été réalisées à même la falaise. Les artistes ont fait de ces statues en trois dimensions des œuvres d’art impressionnantes utilisant des techniques tout à fait nouvelles pour l’époque. Brisant les conventions de la sculpture religieuse classique, les expressions vivantes et les traits exagérés des visages illustrent étonnamment le contraste entre le bien et le mal, la beauté et la laideur.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Nous nous rendons maintenant, sur la colline du Précieux Dung, dont les milliers de roches sculptées à même la montagne entre le IXe et le XIIIe siècle constituent un témoignage extraordinaire du syncrétisme bouddhique, taoïste et confucianiste.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Nous regagnons les bords du fleuve et embarquons sur le Victoria Sophia, les amarres sont larguées, et nous partons pour une descente du fleuve sur 2300 km jusqu’au Pacifique à Shanghai

    Voici la passerelle, à droite le commandant.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Le personnel de bord est avenant.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

     La cabine agréable...

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

     Et le dîner appétissant.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Dès le départ nous sommes attirés par l’intense trafic du fleuve.

    De multiples ponts enjambent les vallées.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Les chantiers de constructions navales sont nombreux.

     Nous traversons des villes immenses ; jusqu’à 3 millions d’habitants les chinois les considèrent comme des villes moyennes

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Quelques km en aval, voici une gorge où un bac accoste près de l’escalier qui monte au village.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Les flancs des montagnes sont systématiquement reboisés pour éviter l’érosion.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Un ancien fort a été entretenu.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Les bateaux de pèche abondent.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    La majeure partie de l’énergie de la Chine est tiré du charbon.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Les dragues ressemblent à des monstres rouillés.

    La descente du Yang Tsé Kiang, une conférence de Jean et Sophie Ponsignon

    Chargement de sacs de ciment :

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    La nuit tombe. Dans quelques heures nous arriverons aux écluses du fameux barrage des Trois-Gorges.

    Le barrage hydraulique des Trois-Gorges est un situé au sur le Yangtsé, dans la province du Hubei. Il a été mis en production par étapes de 2006 à 2009. C'est le plus grand barrage hydraulique ainsi que la plus grande centrale hydro-électrique au monde.

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    La décision de construire le barrage a été prise à l'Assemblée Populaire en 1992, avec un nombre record d'abstentions et d'oppositions au projet. Le chantier a démarré en 1994 et en 2000, le fleuve Yangzi Jiang est dévié, alors que le barrage monte jusqu’à 80 mètres de haut. C'est un barrage poids, long de 2 335 mètres et haut d'environ 140 mètres. sa construction a nécessité vingt-sept millions de m3 de béton.

    D'une superficie de 1 084 km2, le réservoir contient un volume d'eau emmagasiné qui est de 39,3 km3 (39,3 milliards de m3,). La puissance des jets qui sortent du barrage a nécessité la construction de « tremplins » afin d'éviter l'érosion du pied du barrage. Le bassin versant qui alimente le réservoir mesure 1 million de km2.

    Le franchissement du barrage est assuré par deux moyens :

    1. Un gigantesque escalier d'écluses à double sens de près de 1 500 m de long (4 sas de 280 m et 1 sas de 350 m de long et 34 m de large) dans chaque sens. Cette échelle d'écluses à 5 niveaux permet le passage de navires de 10 000 tonnes. Le dénivelé franchi est de 113 m, soit plus de 20 m à chaque sassée.
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    Les 26 générateurs de 700 MW3 de la centrale ont une puissance installée de 22500 mégawatts4, soit l'équivalent d'une vingtaine de tranches de centrales nucléaires). La hauteur de chute est d'environ 90 m. Officiellement le coût de la construction serait de 23 milliards d'euros. Coût équivalent à une seule grande inondation antérieure à la construction du barrage.

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    Wuhan sur les rives du Fleuve Bleu est la capitale de la province du Hubei. C'est la douzième ville la plus peuplée du pays, et la deuxième plus grande ville de l'intérieur, après Chongqing. Sa population est de 9,1 millions d'habitants.

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    La ville est considérée comme l'un des trois « fours » de la Chine, en raison des températures très élevées atteintes en été.

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    C'est une révolte dans une caserne de Wuhan le 10 octobre 1911, initiée par Sun Yatsen, qui déclencha la Révolution chinoise de 1911 provoquant, avec la chute de la dynastie Qing, la fin du régime impérial et l'avènement de la première République de Chine.

    Après la guerre de l'opium, la ville compta cinq concessions étrangères. La concession française, installée en 1896, fut l'objet d'une première rétrocession au gouvernement par le régime de Vichy en 1943. confirmée en 19462. Il y a de nouveau aujourd'hui une communauté française importante à Wuhan, et un consulat de France.

    Pendant la guerre sino-japonaise, la ville devint momentanément, après le massacre de Nankin, la capitale du gouvernement du Guomindang et fut durement éprouvée par l'armée impériale japonaise qui utilisa entre autres les armes chimiques à 375 reprises afin de s'assurer la domination de la région à l'automne 1938.

    Les monts Huang, ou monts Jaunes sont un massif montagneux de l'Anhui méridional. La région est connue pour sa beauté, qui repose sur la forme des pics de granite, sur celle tourmentée des conifères, et sur les nuages qui entourent fréquemment le massif. Cette montagne mythique change sans cesse de visage au gré des vents et des bruines... désespérant parfois les artistes qui désirent en fixer la beauté. Ce qui fut le cas pour nous.

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    Ces montagnes sont un sujet privilégié pour la peinture et la littérature chinoises traditionnelles.

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    Destination touristique prisée, les monts Huang reçoivent plus d'un million de visiteurs par an. Un téléphérique moderne permet de se hisser jusqu'à 1 800 mètres d'altitude au pic du Lotus. Là, le regard embrasse une forêt d'aiguilles granitiques, noyées de brume et piquetées de pins aux formes tourmentées.

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    Nankin : littéralement « capitale du Sud », par rapport à Pékin, « capitale du Nord »), immédiatement en amont du delta du Yangzi Jiang, le premier fleuve chinois, est la capitale de la province du Jiangsu. La ville compte aujourd'hui plus de huit millions d'habitants. Elle a joué un rôle considérable dans l'histoire chinoise. La prise de la ville par les Japonais en 1937 s'accompagna d'un massacre de grande ampleur.

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     Nankin a un climat subtropical humide, sous l'influence des moussons d'Asie de l'est. Les saisons sont différenciées, avec des étés très chauds et de la pluie tout au long de l'année. Il y a en moyenne 117 jours de pluie par an.

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    Nankin est une des plus anciennes villes de la Chine du Sud devenue une capitale en 229, quand Sun Quan du royaume de Wu, jusqu'à ce que la dynastie des Sui détruise toute la ville. La ville a été reconstruite durant la dynastie Tang,.

    Après s'être imposé comme vainqueur, le fondateur de la dynastie Ming, établit de nouveau la capitale à Nankin en 1368,. Il construit ce qui s'avérait être la plus grande ville du monde à l'époque, avec 200 000 ouvriers qui achevèrent ce projet au bout de 21 ans..

    Nankin fut la capitale du royaume Taiping au milieu du XIXe siècle, Quand le général Zeng Guofan reprit la ville en 1864, un massacre de grande ampleur eut lieu : 100 000 personnes périrent en combattant ou en se donnant la mort.

    Le traité de Nankin est l'accord qui mit fin à la première guerre de l'opium, qui s'est terminée en 1842 par une nette victoire du Royaume-Uni sur la Chine. Le traité ouvre aux Européens de nouvelles possibilités commerciales dans un pays auquel ils n'avaient encore qu'un accès restreint. Il ouvre quatre nouveaux ports au commerce et proclame la cession de l'île de Hong Kong au Royaume-Uni. La Chine est aussi dans l'obligation de verser des indemnités de 21 millions de dollars1 sur 4 ans, pour la drogue détruite en 1839 Il fut signé à Nankin le 29 août à bord d'un vaisseau de guerre britannique, HMS Cornwallis.

    En 1911, le soulèvement de Wuchang à Wuhan marque le début du succès de Sun Yat-sen qui a lancé avec le Kuomintang une révolution renversant la dynastie Qing et fondant la République de Chine en 1912, avec Nankin comme capitale ; c'est la période dite de la République de Nankin. La capitale fut ensuite déplacée à Pékin quand Yuan Shikai devint président. En 1928, Tchang Kaï-chek prend le pouvoir du Guomindang établit de nouveau sa capitale à Nankin :.

    Le 13 Décembre 1937, l'armée impériale japonaise conquiert Pékin et procède au bombardement stratégique de Nankin, la capitale officielle. Afin d'échapper à l'invasion, le gouvernement du Kuomintang déménage alors à Wuhan, avant de s'installer à Chongqing,. À la suite de la chute de Nankin, un massacre de grande ampleur (300 000 morts) mené par l'envahisseur nippon a lieu en décembre dans la capitale.

     Nous sommes arrivés dans la région de Shanghai, mais avant de pénétrer dans la métropole nous gagnons à ,100 km au Sud Suzhou, le berceau de la culture wu. Et la capitale de la soie. En raison de ses nombreux canaux, Suzhou est appelée la Venise de l'Est.

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    Aujourd'hui, elle compte plus de deux millions d'habitants Le climat relativement tempéré et le sol fertile de la région font que le riz y a été cultivé très tôt, il y a environ 6 000 ans.. Marco Polo aurait dit que Suzhou possédait 6 000 ponts sur ses nombreux canaux. C'était exagéré, un plan datant de la dynastie Song en montre 314. De nos jours, il y a environ 160 ponts dans la ville et autant en périphérie. Dès le XIIIe siècle, Suzhou fut célèbre pour sa production de tissus de soie, c'était le centre industriel pour le delta du Yang tze. Par ailleurs, de nombreux jardins traditionnels sont disséminés sur son territoire.

     Shanghai est la ville la plus peuplée de Chine et constitue aussi l'une des plus grandes mégapoles du monde avec plus de 24 millions d'habitants.

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    L'émergence de la ville comme centre financier de l'Asie-Pacifique, au XIXe siècle et au XXe siècle, s'est faite dans la douleur, avec l'occupation étrangère de la ville pendant plusieurs décennies

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    Cependant, ce n'est qu'après les guerres de l'opium et la présence étrangère que le développement économique de la ville a pris l'envergure qui a fait sa réputation. Pendant la première guerre de l'opium, les forces britanniques ont temporairement tenu la ville. Américains et Français suivront, précédant les Russes et les Japonais. La guerre a cessé en 1842 avec le traité de Nankin, établissant l'ouverture commerciale des ports chinois, dont Shanghai. Avec le traité du Bogue, en 1843, et le traité sino-américain de Wangxia, en 1844, des nations étrangères ont eu le droit de s'établir sur le territoire chinois : c'est le début des concessions étrangères.

    La petite enclave française de Shanghai s'est établie sur une zone marécageuse en 1849. Elle fut à la fois un havre pour les réfugiés de toutes les nationalités et un lieu de culture et de plaisirs.

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    Avec la révolte des Taiping en 1850, Shanghai fut occupée par une triade associée au mouvement appelé Société des Petites Épées. La guerre faisant rage dans les campagnes, de nombreux Chinois se réfugièrent dans la ville, qui leur était théoriquement inaccessible : en 1854, de nouvelles lois permirent aux Chinois d'y acquérir des terrains, provoquant une inflation immobilière. En mars 1854, l'empire chinois a signé un accord avec les Européens présents dans les concessions leur demandant de construire rapidement de nombreux logements, une grande partie de la ville ayant été détruite par une révolte.

    Jeu, opium et prostitution sont alors les activités les plus lucratives de cette ville qualifiée alors de « plus grand bordel du monde ». Son parrain, menait ses trafics en collaborant étroitement avec la police de la concession française.

    Dans les années 1920 et 1930, Shanghai a été le théâtre d'un formidable essor culturel qui a beaucoup contribué à l'aura mythique et fantasmatique qui est associée à la ville depuis cette époque.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, Shanghai devint temporairement un centre pour les réfugiés d'Europe : c'était alors la seule ville ouverte inconditionnellement aux Juifs. En 1941, sous pression de leurs alliés nazis, les Japonais reçurent les réfugiés juifs dans un ghetto, où les maladies pullulaient. L'immigration juive fut finalement stoppée par les Japonais le 21 août 1941.

    Les Japonais prirent le contrôle total des concessions le 8 décembre 1941. Durant l'occupation japonaise, les citoyens des pays Alliés travaillant pour l'administration municipale demeurèrent à leur poste jusqu'en février 1943, date à laquelle ils furent internés.

    Entre 1942 et 1945, sous l'effet combiné de la corruption du Gouvernement de Nankin et de l'occupation japonaise, le nombre de banques atteint 300, soit le double de celui de 1936.

    Durant la guerre, le conseil municipal des concessions étrangères fut aboli deux fois, à quelques mois d'intervalle, par deux gouvernements ennemis. En février 1943, le gouvernement du Royaume-Uni signa avec la République de Chine un traité acceptant le principe d'une rétrocession. En juillet de la même année, les Japonais rétrocédèrent le conseil municipal au gouvernement collaborateur de Wang Jingwei. Après la guerre, une commission de liquidation fut mise en place pour gérer la rétrocession à la République de Chine.

    Les huit années d'occupation, puis la victoire, en 1949, de Mao Zedong sur les troupes du général Tchang Kaï-chek précipitèrent le déclin de la ville.

    Au début des années 1990, en une décennie, la « perle de l'Orient » est redevenue un centre économique de première importance, qui compte en 2005 pour 20 % de la production industrielle nationale pour seulement 1,5 % de la population. Elle se destine aujourd'hui à devenir le centre financier de la Chine, grâce au quartier de Lujiazui.

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    Après la fondation de la République de Chine et la guerre sino-japonaise (1937-1945), l'avènement de la République populaire de Chine a muselé la ville économiquement et culturellement, considérée comme un foyer de bourgeois et de dépravation, jusqu'à ce que Deng Xiaoping en 1992 décide de promouvoir le développement de la ville. sa mutation cosmopolite et son essor culturel, l'appellent à devenir une métropole mondiale Elle a accueilli l'Exposition universelle de 2010.

     


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  •  Jean Ponsignon et son épouse Sophie ont visité de très nombreux pays, dont la Chine.

    Tous deux ont réalisé un superbe diaporama sur ce pays, encore bien mystérieux, que Jean nous a présenté le 13 octobre.

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    Jean et Sophie ont eu la grande gentillesse de m'offrir le texte et beaucoup des magnifiques  photos de leur conférence, merci à eux !

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    Voici l'itinéraire qu'ont suivi les deux voyageurs :

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    La première partie de la conférence nous a dévoilé l'histoire de la Chine.

    La civilisation chinoise est une des plus anciennes. Depuis plus de 4000 ans, des dynasties successives ont développé un système bureaucratique élaboré. La Chine de la dynastie Shang du XVème au XIIème avant J.C. possédait déjà une culture avancée, avec des cités-palais, une écriture, des pratiques divinatoires, la métallurgie du bronze et l'utilisation de chars.

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    Vers 220 av. J.-C., le prince Yin Zheng se proclame premier empereur de la dynastie Qin sous le nom de Qin Shiuangdi.

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    Bien que son règne ne dure qu'onze ans, il réussit à soumettre et à unir son territoire avec gouvernement étroitement centralisé basé près de Xi'an. Les fonctionnaires sont recrutés au niveau central et une grille des salaires est établie pour créer un système qui perdure encore de nos jours. Les Qin entreprennent l'unification de la monnaie, des poids et mesures ainsi que de l'écriture : Qin Shi Huandi parvient ainsi à imposer une culture commune à l'empire. Il débute également la construction de ce que l'on appelle aujourd'hui la Grande Muraille.

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    Cependant son successeur Qin Er Shi n'est pas en mesure de poursuivre son œuvre. La dynastie des Qin s'effondre et la dynastie Han lui succède après une période de guerres civiles
    La route de la soie désigne un réseau ancien de routes commerciales entre l'Asie et l'Europe : il relie la ville de Xi'an en Chine à la ville d'Antioche, en Syrie médiévale. La route de la soie était un faisceau de pistes par lesquelles transitaient de nombreuses marchandises, et qui monopolisa les échanges Est-Ouest pendant des siècles, avant d'être supplantée par la voie maritime.

    Caravane sur la route de la soie :

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    La Grande Muraille est un ensemble de fortifications militaires chinoises construites, détruites et reconstruites en plusieurs fois entre le IIIe siècle av. J.-C. et le XVIIe siècle pour marquer et défendre la frontière nord de la Chine.

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    En 1115, la dynastie Jin arrive sur le devant de la scène, et dirige la Chine du Nord. Elle a été fondée par un mandchou et a pris fin en 1234 par l'invasion des Mongols de Gengis Khan. S'ensuit une période de paix dans à peu près toute l'Asie, appelée pax mongolica. les Mongols se partagent entre ceux qui veulent rester dans les steppes et ceux qui veulent adopter les coutumes du peuple conquis. Kubilai Khan appartient au dernier groupe. Il établit la dynastie Yuan, la première qui dirige tout le pays, avec Pékin comme capitale.

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    Mais le ressentiment de la population vis-à-vis des Mongols se traduit finalement par une révolte qui marque le début de la dynastie Ming en 1368. Cette dynastie arrive au pouvoir lors d'une période de renaissance culturelle et économique. Sous le règne de l'empereur Yongle, des expéditions chinoises explorent des terres et surtout des mers inconnues.

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    L'apogée de cette période exploratrice est l'épopée de Zheng He, eunuque chinois qui va jusqu'en Afrique
    Au cours du XIXe siècle, le pouvoir des Qing s'affaiblit et la prospérité diminua. La Chine subit une forte agitation sociale, une stagnation économique, une croissance démographique explosive, et des ingérences de plus en plus marquées de la part des puissances occidentales.

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    Frustrés par les résistances de la cour impériale aux réformes, de jeunes fonctionnaires, officiers et étudiants, inspirés par les idées révolutionnaires commencent à envisager le renversement de la dynastie Qing au profit d'une république. Une révolte militaire, le 10 octobre 1911 à Wuhan, déclenche la révolution Xinhai, qui entraîne l'abdication du dernier empereur Qing, Puyi. Un gouvernement provisoire est formé à Nankin le 12 mars 1912, présidé par Sun Yat-sen.

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    La République de Chine est proclamée. Le gouvernement républicain se décomposa et une ère de « seigneurs de la guerre » s'ouvrit, pendant laquelle la Chine fut ravagée par les luttes entre des coalitions mouvantes de chefs militaires provinciaux.

    Dans les années 1920, Sun Yat-sen établit une base révolutionnaire dans le Sud, et commence à réunifier la nation. Recevant l'assistance des Soviétiques, il s'allia au petit Parti communiste chinois (PCC). Après la mort de Sun en 1925, un de ses lieutenants Tchang Kaï-chek prit le contrôle de son parti, le Kuomintang « parti national du peuple », et réussit à contrôler l'essentiel de la Chine du Sud et du Centre.

    Ayant vaincu les seigneurs de la guerre. à partir de 1927, il se retourna contre les communistes, ce qui déclencha la guerre civile chinoise. En 1931, un nouveau front s'ouvrit en Chine avec l'invasion japonaise de la Mandchourie. En 1934, défaits par les nationalistes et chassés de leurs bases dans les montagnes, les communistes entreprirent la Longue Marche, à travers les régions les plus désolées du pays, vers le Nord-Ouest.
    Au cours de la Longue Marche, les communistes se réorganisèrent autour de Mao Zedong.

    La guerre civile reprit après la défaite japonaise de 1945. En 1949, le PCC occupait l'essentiel du pays. Tchang Kaï-chek se réfugia dans l'île de Taïwan avec les restes du gouvernement et des forces armées du Guomindang, et proclama Taipei capitale provisoire de la République de Chine, en attendant de pouvoir reconquérir le continent.

    Les maoïstes contrôlaient l'ensemble du continent en 1949, et proclament la République populaire de Chine à Pékin, le 1er octobre 1949 . Le Parti communiste chinois, vainqueur encourage Mao Zedong à lancer son Grand Bond en avant en 1958. Mais les efforts forcenés dans la sidérurgie par des paysans s’avèrent finalement un désastre. Vingt à cinquante millions de Chinois seraient morts de la famine dans l'aventure.
    En 1966 débute la Révolution culturelle. Les étudiants sont agités afin de nettoyer la Chine des « nouveaux capitalistes », ils deviennent les gardes rouges de la révolution, défendant les idéaux communistes, et organisant des expéditions punitives partout en Chine. Mais la mort de Mao Zedong, le 9 septembre 1976, ouvre la lutte pour la succession.
    L'arrivée de Deng Xiao Ping qui lance la phase de réformes.

    Il légitime la quête de biens matériels comme étant une phase transitoire avant le communisme, il ouvre la Chine aux investissements étrangers, crée des « zones économiques spéciales » et propose l'idée d'« un pays, deux systèmes » (socialiste et capitaliste) comme pouvant parfaitement coexister.

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    La seconde partie de la conférence de Jean Ponsignon nous a montré la Chine d'aujourd'hui, celle qu'il a pu découvrir avec son épouse.

    L'agriculture en Chine  emploie plus de 300 millions d'agriculteurs. La Chine occupe le premier rang de la production agricole, notamment de céréales , produisant essentiellement du riz, du blé, mais aussi des pommes de terre, du sorgho, de l'arachide, du thé, du millet, de l'orge, du coton, des oléagineux, du porc et du poisson. Le secteur agricole représente encore aujourd'hui 15 % du produit intérieur brut de la Chine et assure 40 % de l'ensemble des emplois. Les terres  sont actuellement détenues par les collectivités villageoises qui les louent à des agriculteurs, Cette semi-privatisation s'est accompagnée d'un boom de la productivité et de la production.

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    Le conférencier nous a fait frémir : ces "bouchers" sont en train de dépecer...des chiens afin d'en vendre la viande !

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    Confucius ou Kongzi a vu le jour en l'an 551 avant J.-C. à Zou et est décédé à 71 ans. Il est présenté comme étant le premier "éducateur" de la Chine et il a apporté une grande influence sur la civilisation chinoise. Une des premières lois bienveillantes qu'il prononcera sera « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'il te fasse ». Selon lui, l'homme doit adopter cinq règles de vertu : la bonté, la sagesse, la droiture, la bienséance et la loyauté.

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    Introduit en Chine au milieu du Premier siècle , le bouddhisme y est devenu à partir de la fin du troisième siècle  l’un des trois principaux courants idéologiques et spirituels avec le confucianisme et le taoïsme L’Association bouddhique patriotique fut fondée en 1953 à Pékin, avec pour objectif de faciliter le contrôle des autorités communistes sur l’ensemble des activités monastiques. Depuis la fin des années 1970, le bouddhisme connaît, comme les autres religions, une phase d’expansion sous un contrôle étroit du gouvernement de la République populaire de Chine. Il existerait actuellement en de 70 à 150 millions de bouddhistes.

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    La numérologie chinoise procède directement de la cosmogonie chinoise, Selon cette pensée, l'univers évolue constamment, non pas de façon linéaire, mais suivant de nombreux cycles qui s'imbriquent les uns dans les autres à la manière, pourrait-on dire, des poupées russes. L'astrologie chinoise fait usage des cycles de 8, 10,12 et 64

    Nous visiterons Xi'an, capitale de la province du Shaanxi, et l'une des plus anciennes villes de la Chine , avec plus de 3.100 ans d'histoire. Xi'an est l'une des quatre grandes capitales antiques de la Chine , après avoir tenu la position sous plusieurs des plus importantes dynasties dans l'histoire chinoise et le point de départ de la Route de la Soie. Depuis les années 1990, dans le cadre de la relance économique de l'intérieur de la Chine en particulier pour les régions du centre et du nord-ouest, la ville de Xi'an a réapparu comme un centre culturel, industriel et éducatif important de la région centre-nord-ouest, avec des installations pour le programme d'exploration spatiale de la Chine.

    Puis nous gagnerons Pékin. La place Tian'anmen ou « Place de la porte de la Paix Céleste ») est située au centre de Pékin. Et commandait l’entrée sud de la cité impériale. Troisième plus grande place du monde, elle doit sa célébrité aux nombreux évènements qui s'y sont déroulés dans l'histoire chinoise, dont des changements de gouvernements. Mao Zedung souhaitait que cette place soit un espace très vaste où l’on pourrait rassembler « 1 million de personnes », pour des manifestations de masse.

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    En dehors de Chine, la place est surtout connue pour avoir été le centre des manifestations de la place Tian'anmen en 1989 demandant des réformes politiques et démocratiques et dénonçant la corruption. Elles se termineront par l'instauration de la loi martiale par le gouvernement et la mort d'au moins plusieurs centaines de personnes. La Cité interdite est le palais impérial dont la construction fut ordonnée par Yongle, troisième empereur de la dynastie Ming, et réalisée entre 1406 et 1420 

    Depuis le début du XVe siècle, le cœur de Pékin se trouve autour de la Cité interdite, aussi appelée Palais impérial des Ming  et des Qing. Il s'agit du plus vaste complexe architectural de Chine : une véritable ville dans la Cité impériale, dans laquelle l'Empereur de Chine et son entourage étaient quasiment assignés à résidence, ne sortant de l'enceinte que dans de très rares occasions.

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    Elle couvre un quadrilatère de 72 ha dont 50 ha de jardins, s'étendant sur 960 m de long du nord au sud, et de 750 m de large d'est en l'ouest, entourée d'une muraille de 10 m de haut, elle-même cernée d'une douve large de 52 mètres, à laquelle on accède par quatre portes. La cité compte 8 704 pièces, La construction de la Cité interdite a duré 14 ans et plus d'un million d'ouvriers réduits à l'esclavage y auraient travaillé.

    Durant la Révolution culturelle, le premier ministre Zhou Enlai eut vent que les gardes rouges avaient prévu d’entrer dans la Cité Interdite. Sachant comment les gardes rouges avaient agi dans d’autres monuments historiques, Zhou ordonna que les portes restassent bouclées et fit garder le palais par la troupe

    De nos jours, il est devenu un musée, qui conserve les trésors impériaux de la civilisation chinoise ancienne et de très nombreuses œuvres d'art chinois : peintures, bronzes, céramiques, instruments de musique, laques.

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    Quelques très beaux portraits de Chinois(es) :

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    A la fin de cette conférence passionnante , Jean Ponsignon a répondu aux nombreuses questions de l'auditoire qui a été véritablement captivé par ce pays mystérieux, cette Chine qu'il a rendue finalement assez sympathique !


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  • "Les traces de l'humanité vues du ciel", de superbes projections de Jean Ponsignon

    Ce montage, réalisé par Jean & Sophie Ponsignon, grâce à la collaboration d’une cinquantaine de photographes aériens issus de 3 continents, a eu pour objectif de partager, avec ceux qui n’ont pas la chance de voler et de photographier en vol, la beauté du monde, l’émerveillement que la vision de la terre vue du ciel peut apporter. Ils ont pensé en effet, que ceux qui avaient eu cette chance, devaient la partager en étant des « passeurs de beauté » pour un plus grand nombre, en témoignant de la diversité de l’infatigable activité de l’homme.

    Or, la terre vue du ciel offre à notre regard une nouvelle dimension, celle d’une vision qui n’est plus bridée par des murs, ou par un horizon. Elle vous offre une compréhension globale d’un paysage, d’un écosystème, d’une topographie, d’un plan d’urbanisme.

     Jean Ponsignon, en compagnie de François Gaillard , a présenté les deux montages musicaux qu'il a réalisés, aux Châtillonnais.

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Ce montage a évoqué, tour à tour,  en parcourant les 5 continents.

     La préhistoire et antiquité...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Puis l'apparition des villages, des bourgs et des villes dont la diversité a surpris le spectateur...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Nombre de villes sont devenues mégapoles : les villes ont enflé, les banlieues sont devenues tentaculaires...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Presque toujours l’homme a dû se protéger des intrusions belliqueuses de son voisin développant une architecture défensive...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Puis les périodes de prospérité et de paix venant, l’homme a voulu témoigner de sa puissance et de sa richesse avec des constructions ostentatoires...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    Depuis toujours l’homme a construit des édifices pour honorer ses morts, pratiquer sa religion et exprimer sa foi...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    Il a voulu honorer et enterrer ses morts :

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Enfin nous avons constaté avec émerveillement que l’homme est présent partout, même dans les endroits les plus insolites ou les plus inhospitaliers : jungles, déserts, zones inondées, banquise, îlots isolés au milieu du Pacifique, mais aussi à flanc de montagne où l’air est raréfié...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     et même hors de notre terre dans la Station Spatiale Internationale...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Pour terminer ce magnifique diaporama, Jean Ponsignon nous a fait admirer la nuit qui tombe sur la terre ...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    Jean Ponsignon fut très applaudi, il répondit ensuite aux nombreuses questions des spectateurs...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Puis il nous présenta un autre audio-visuel :

      "La Nature dans le Châtillonnais "

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Dans le Châtillonnais, la forêt, les rivières, les étangs et les étendues dégagées abritent une faune et une flore attachante ; en suivant le cycle des saisons, nous avons fait connaissance avec la nature et ses divers aspects.

    Ont été évoqués tour à tour 3 milieux naturels : les forêts, les milieux humides, les grands espaces dégagés à travers lesquels nous nous sommes promenés en quête de beauté et d’imprévu.

    Les amateurs de botanique et de champignons ont reconnu (grâce à l’aide apportée par Marie-Geneviève et François Poillotte, et par quelques amis photographes naturalistes) les fleurs emblématiques du Châtillonnais, et ses champignons...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    Ceux qui préfèrent les insectes et les arachnides ont retrouvé chenilles, papillons, libellules, ou épeires.

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Mais pour d’autres, têtards, grenouilles, escargots ou salamandres des milieux humides, n'ont pas manqué d’intérêt.

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Hiboux, rapaces, hérons et Col-vert nous ont introduit auprès des oiseaux...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

     Les évocations suivantes ont été  pour le peuple de la forêt : chats sauvages, martre, renards, biches et cerfs, blaireaux et sangliers...

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    Pour tous ce magnifique audiovisuel a été l’occasion d’avoir envie de se promener dans une nature encore relativement préservée.

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    "Les traces de l'humanité vues du ciel", et "la nature dans le Châtillonnais", de superbes projections de Jean Ponsignon

    Merci à Jean et Sophie Ponsignon de nous avoir offert un merveilleux spectacle, avec plusieurs centaines de très belles photos, bien plus belles que celle que je vous ai présentées. En effet les miennes ont été prises d'après l'écran, elles sont donc de faible qualité.

    J'espère que vous avez été nombreux à suivre ces magnifiques audio-visuels l'après-midi et le soir du 27 mai, ce n'est pas si souvent que l'on peut assister à pareil spectacle.

     

     


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  • Jean Ponsignon a présenté ses deux audio-visuels sur la Nature vue du ciel, en première partie, et sur le Châtillonnais vu du ciel en seconde partie, devant un public venu nombreux, plus de 450 personnes m'a-t-il dit .

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Le premier diaporama, "La nature du Monde vue du ciel", nous a-t-il dit, rassemble des photographies aériennes prises au dessus de la terre entière, parfois à faible altitude, d'autres fois à de très hautes altitudes, par de grands photographes de renommée mondiale. Ces clichés nous ont montré les océans et les mers, les fleuves, les montagnes, les volcans, les steppes et déserts, les animaux qui peuplent notre si belle terre.

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Voici quelques photos que j'ai pu "voler" pendant la projection, elles ne sont qu'une infime partie des merveilles qui nous ont été présentées.

    Le diaporama durait 40 minutes et était accompagné de très belles musiques.

    Les espaces marins :

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Les fleuves et rivières :

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Les volcans en activité et ceux qui sont inactifs :

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Les montagnes :

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Les steppes et les déserts :

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Les forêts :

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Les animaux sauvages qui peuplent cette merveilleuse nature :

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Et pour finir , une vision de la nuit qui tombe sur les beautés de notre terre :

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    "Nature du monde vue du ciel" et "Châtillonnais vu du ciel" , deux très beaux audiovisuels, projetés au Select de Châtillon sur Seine, par Jean Ponsignon

    Jean Ponsignon a été très applaudi, ainsi que le travail de tous les photographes qui ont réalisé ces merveilleux clichés.

    L'après-midi s'est poursuivie par la projection d'un autre magnifique diaporama nous montrant les paysages du châtillonnais, ses vestiges anciens, ses industries, et pour finir le survol de tous les villages des cinq cantons : Aignay le Duc, Châtillon sur Seine, Baigneux-les-Juifs, Laignes et Montigny sur Aube.

    Pas de photos "volées" cette fois publiées sur le blog, car ces photos superbes ne méritent  pas d'être peu nettes. Mais  elles pourront être admirées à la Mairie de Châtillon sur Seine, il faudra s'adresser à François Gaillard pour les voir.

    Jean Ponsignon a été encore une fois très applaudi pour cette belle après-midi qu'il nous a offerte...

    Merci à lui .


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