-
Les adhérents de la Société Mycologique du Châtillonnais se sont retrouvés au bord du lac de Marcenay à la recherche de champignons d'hiver, en particulier les pézizes écarlates qui illuminent de rouge les bords de chemins au mois de février.
Voici le groupe de mycologues, on peut agrandir la photo en cliquant dessus !
Et voici qu'apparaissent nos ravissantes pézizes écarlates (nous n'en trouverons pas de jaunes cette année)
Le parcours autour du lac est assez accidenté et boueux, mais rien n'arrête les mycologues !
Sur le bois mort, on admire de superbes trametes....
certaines sont au garde à vous, et nous regardent passer....
Un vieux polypore soufré...
et un autre bien plus jeune que nous montre Luc Lefray, Président de la Société Mycologique du Châtillonnais...
En regardant les arbres on s'aperçoit des ravages provoqués par les scolytes....
Un plan nous indique que de l'eau arrive depuis les étangs Bailly.
Voici le chenal d'arrivée de l'eau des étangs Bailly (situés sur le territoire de Larrey).
Au bout du chemin, se dresse l'observatoire aux oiseaux. Durant toute la balade nous avons entendu les cris des foulques macroules, nombreuses sur le lac, c'était bien sympathique !
Au pied de l'observatoire une collybie à pied velouté :
Depuis le haut de l'observatoire on peut voir l'étendue du lac, bordé de roseaux. Au loin, très loin, une foulque macroule plonge et replonge...
Avec mon petit zoom, j'ai quand même pu en photographier une....
Après cette belle balade , les mycologues se sont retrouvés pour partager un moment très convivial, dans la salle des fêtes de Cérilly.
Deux adhérentes avaient préparé de bien goûteuses pâtisseries : Joëlle Gurga avait réalisé de délicieuses "garguesses" et Josiane Deparrois des galettes des Rois somptueuses, quel régal, merci mesdames !
Un roi parmi d'autres....
Pendant ce sympathique goûter, Luc Lefray a montré d'autres champignons récoltés au cours de la balade comme cette pleurote en huitre.
1 commentaire -
Voici le programme des animations des vacances d'hiver chez KING JOUET , alors, à vos agendas !
Attention, vu la forte demande, il est fortement conseillé de réserver, les places sont limitées.
Lors de votre réservation, n'oubliez pas de préciser le prénom et l'âge de l'enfant ainsi que la session souhaitée : matin ou après-midi.
Animation gratuite, les enfants doivent être impérativement accompagnés.
Très belle journée à tous
1 commentaire -
Lundi 05 février 24, le Zonta Club de Châtillon sur Seine avait rendez-vous avec l'antenne locale des Restos du Cœur.
Un plein chariot de couches, boîtes de lait maternisé et de Blédine a été remis aux bénévoles.
Soit un don d’un montant de 500.00€, bénéfice du marché de Noël de décembre 2023.
votre commentaire -
-
FONTAINE-EN-DUESMOIS
A. Roserot écrit aussi : Fontaines-en Duesmois (1924)
992 Fontanae, altare sancti Germani
1173 Fontaines
1266 Fontanae in Duismo
1365 Fontaignes
1366 Fontaignes en Duymois
Vers 1371 Fontenes en Dihumois
1391 Fontaingnes
1392 Fontaines en Duysmois
1393 Fontaignes en Duesmois
1404 Fontaignes en Duismois
1423 Fontannes
1446 Fontaingnes en Duismois
1501 Fontaines en Duesmoys
1549 Fontainne en Deux Moys
1561 Fonteine en Dumoys ou Fontaine en Duismoys
1568 Fontaine ou Fontaines
1574 Fontaine en Deusmois
1585 Fontaine en Deux Mois
1587 Fonteine en Duymois
1619 Fonteine en Duesmois ou Fontenne en Duesmois
1657 Fontaine en Duesmois
1673 Fonteinne en Duesmois
1701 Fontaine en Duesnois
1757 Fontaine en Duêmois
18ème siècle Fontaine en Duesmois
Origine des sources principales consultées et citées par A Roserot : cartulaire de Flavigny, Abbaye Notre-Dame de Châtillon, Abbaye de Fontenay, Archives Nationales. Arbaumont, Ban. Cassini. Archives de la Côte d’Or
Il y avait dans ce village, dès 1372 une maison-forte dont il restait des ruines. En 1789, le bourg dépendait de la province de Bourgogne, bailliage de la Montagne. Son église, sous le vocable de saint Germain était le siège d’une cure du diocèse d’Autun, archiprêtré de Duesme, à la pleine collation de l’évêque. Pendant la période intermédiaire, le village fit partie du canton de Villaines-en-Duesmois (A.Roserot 1924)
LES ÉCARTS
-Damotte, ferme, commune de Fontaine-en Duesmois, entièrement brûlée au mois de décembre 1914 ; ancien moulin (A.Roserot 1924)
-Emorots, hameau, 2,5km au sud-ouest, 8 feux, 33 habitants (Insee 1951)
C’était une ancienne grange de l’abbaye de Fontenay (A.Roserot 1924)
1201 Frater Dominicus magister de Moraus
1206 Moros
1217 Les Moraux
1276 grangia des Moreaux ou Les Moraus
1282 grange de Moraux
1423 grange de Moraulx
1520 Les Mouraulx
1574 grange de Morotz
1619 Les Moraulx
1642 Esmoraux
1657 Les Morots
1783 Emorots ou Emorot
19ème siècle Esmorots
Origine des sources principales consultées et citées par A.Roserot : abbaye de Fontenay.Archives de la Côte d’Or. Dictionnaire des Postes. Courtépée. Liénard
-La Tuilerie, détruite (A.Roserot 1924)
1619 la meix de la Tulerye (Archives de la Côte d’Or)
-Le Moulin 0,5km à l’est-nord-est 0 feu 0 habitant (Insee 1951)
A. Roserot écrit : Le Moulin-à-Vent, détruit, bâti en 1672
1673 le moulin à vent (Archives de la Côte d’Or)
-Les Vignées 0,8km au nord-est 0 feu 0 habitant (Insee 1951)
A.Roserot propose : La Vigne, maison isolée (1924)
AUTRES LIEUX
-Darcée, fontaine, commune de Fontaine-en-Duesmois (Garnier, cité par A.Roserot)
-Saint-Nicolas, fontaine (Garnier)
votre commentaire -
Napoléon est né dans une île, a vécu deux exils dans une île, et s’est éteint dans une île.
Et si l’Empereur n’était qu’un insulaire ?
Et si, cherchant à fuir cette prédisposition en consacrant sa vie à la conquête d’un continent, il n’avait pas toujours été ramené dans une île pour y jouer son destin ?
Cette conférence rappelle que neuf îles ont rythmé la vie de Napoléon : la Corse où il grandit ; la Sardaigne où il connaît son premier baptême du feu ; Malte où il transite pour atteindre l’Égypte ; l’île de la Cité où il se fait couronner ; le radeau de Tilsit où il signe la première paix avec le tsar Alexandre ; l’île de Lobau où il bivouaque avant la bataille de Wagram ; l’île d’Elbe où il vit son premier exil ; l’île d’Aix qui marque ses derniers instants en France ; Sainte-Hélène où il meurt.
Un portrait inattendu, intense et flamboyant de la figure dominante du XIXe siècle…
Historien, rédacteur en chef de Napoléon 1er Revue du Souvenir napoléonien, directeur des Sites patrimoniaux de la ville de Rueil-Malmaison, David Chanteranne est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le Premier Empire et Napoléon. Parmi ses livres : L’insulaire. Les neuf vies de Napoléon (Le Cerf, 2015) ;Napoléon les derniers témoins racontent (avec Jean-François Coulomb des Arts, Le Rocher, 2021) ;Les douze morts de Napoléon (Passés composés, 2021) ;Napoléon empereur de l’île d’Aix (Le Trésor, 2021) ; Chroniques des territoires (Passés composés, 2023).
1 commentaire