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Le Musée de la ville de Sens occupe les bâtiments de l'ancien archevêché et du palais synodal, qui bordent la cathédrale du côté sud.
Les ailes François Ier et Henri II, abritent des découvertes pré- et protohistoriques.
On peut y voir un important outillage de pierre du paléolithique...
Les plans d'une maison du néolithique ...
Des objets de l'âge du bronze...
On peut admirer le "Trésor de Villethierry" qui est le fonds d'un artisan-bijoutier . Ce fonds a été enfoui intégralement, peut-être pour le protéger des invasions, le mystère reste entier.
Sous la cour du musée , des fouilles ont mis à jour les bases d'un édifice thermal du IVème siècle, on peut en admirer les façades, les mosaïques...
Au sous-sol on a installé des vestiges gallo-romains...
Lors de la découverte des thermes, on a trouvé de très beaux peignes en os.
Au premier étage du Musée on admire des œuvres modernes comme cette statue de Rodin "L'âge d'airain"
et cette tête magnifique.
Dans le musée de Sens, on peut aussi visiter le merveilleux ""Trésor de la cathédrale", dont j'ai fait la relation ici :
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Le premier étage du Musée de la Vie Bourguignonne nous présente des commerces dijonnais d'autrefois.
Les devantures ont été démontées et reconstituées, ainsi on peut reconnaître la boucherie de la rue du Bourg :
Une chapellerie :
Un salon de coiffure :
La "Permanente" d'autrefois.. J'ai vu ma grand-mère sous ce terrifiant engin qui me faisait peur...
l'Epicerie modèle du Père Fagart...
Le fourreur Bailly :
La boutique de l'horloger :
La pharmacie Moderne :
La boutique du photographe :
Un atelier de repasseuse :
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Le Musée de la Vie Bourguignonne a remplacé le musée Perrin de Puycousin , situé autrefois rue des Forges.
Ce Musée est installé dans les bâtiments du cloître du monastère des Bernardines, édifié vers 1680.
Dans les différentes salles du rez-de-chaussée, des mannequins de cire évoquent la vie en Bourgogne autrefois :
Les travaux de couture, la confection des coiffes, la broderie, la dentelle...
La jeunesse qui se prépare à aller au bal...
Les vielleux...
Le mariage...
La couronne de fleurs d'oranger conservée sous un globe...
La famille...
La chambre...
L'armoire bourguignonne...
Le berceau...
L'enfance...
La première Communion...
La cuisine
Les chapeaux sont des chapeaux bressans...
La lessive,qu'on appelait la "bue"...
Une vitrine évoque les nourrices morvandelles...
Leur coiffe à rubans...
Les premiers biberons...
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Entre Saint Marc sur Seine et Bellenod sur Seine, se trouve le charmant village d'Origny sur Seine.
Dans ce village subsistent les ruines d'un ancien château, et près de lui une ferme attenante.
Ce château date du XIVème siècle, il a été remanié au XVIème siècle, mais il est à présent en ruines.
Seules subsistent des tours rectangulaires.
Les fossés, taillés dans le roc, pouvaient avoir 9 à 10 mètres de large et étaient remplis d’eau provenant de sources abondantes alimentant le village.
Il existe des casemates qui étaient destinées probablement à l’approvisionnement du château en temps de guerre.
La chapelle (1re tour N6E) renferme des fresques bien détériorées, mais que l’on peut encore lire.
A l’angle Sud Ouest, de l’une des tours, un cartouche, entouré d’une couronne, avec cette devise : « PLEV A DIEV. »
Origny était entouré de hauts murs flanqués de tours.
La tradition ne rapporte guère de renseignements sur les divers châtelains, sinon que le dernier fut M. de Saint Maure, à la Révolution.
On croit savoir que les premières pierres de ce château auraient été posées par les d’Anglure, Seigneurs de Jours, Origny et autres lieux.
On rapporte, en outre, qu’en 1792 la majeure partie des papiers et des archives furent brûlés par les habitants d’Origny et Bellenod dans un pré situé non loin de la Seine et appelé Clos Baudot.On voit sur cette photo le pigeonnier encore intact de la ferme attenante au château. Il a été depuis décapité.
Dans son "Voyage d'un touriste dans l'arrondissement de Châtillon sur Seine", E. Nesle déclare, au sujet du château d'Origny :
Le château d'Origny, dont les ruines se dressent fièrement en haut de la colline qui domine le chemin d'Aignay, à peu de distance de Saint Marc, atteste un vieux manoir sur lequel on a greffé à différentes époques de nouvelles constructions. Il était en 1361, la demeure du chevalier Oudart de Mépont. Les sires de Chandio en devinrent ensuite propriétaires.
Antoine et François de Chandio affranchirent Origny en 1519, Marguerite, leur tante,avait déjà affranchi le hameau de La Maison, près de Bellenod, qui dépendait de la baronnie parce que les habitants avaient contribué à la rançon de son mari Guillaume de la Tournelle, fait prisonnier par les anglais en 1433.
Un membre de la famille des Gellan possédait Origny en 1555, Pierre Millet, maître des comptes à Dijon en 1567.
Il passa depuis aux d'Anglure, Bourgeois de Crespy. Le chevalier Duchâtelet,comte de Lomont, rebâtit le château en 1690, et il appartint enfin à Charles Damas de Crux, colonel du régiment d'Auxerrois.
Il y a eu à Origny une abbaye de l'ordre de Saint-Benoît, qui a été réunie à celle de Saint-Martin de Molome, près de tonnerre.
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Mussy appartenait aux évêques de Langres jusqu'à la Révolution. En avril 1218 l'évêque de Langres, Guillaume de Joinville, fonda en l'église de Mussy un chapitre qui fut supprimé en 1779. En 1269, l'évêque réunit la seigneurie de la ville. En 1654, l'évêque Sébastien Zamet établit des Ursulines de Châtillon à Mussy.
L'église est un ouvrage de la fin du 13e siècle : sa construction a été attribuée sans preuve à maître Geoffroy, qui habitait Mussy en 1297. Au 16e siècle, des chapelles ont été ajoutées entre les culées des arcs-boutants : d'après une inscription, la quatrième à gauche a été bâtie en 1594 aux frais du chanoine F. Béjard. L'édifice en mauvais état dès le 18e siècle, a été fortement restauré en 1881. Le toit de la tour-clocher est une invention de 1907. L'église du 13e siècle rappelle par le dessin de son abside et de son portail l'église Saint-Urbain de Troyes. Le dessin si particulier des fenêtres-hautes de l'abside est probablement emprunté à l'architecture normande, voire à l'architecture anglaise (Edmond de Lancastre, frère du roi d'Angleterre, avait épousé la veuve du comte de Champagne et assuré le gouvernement de Champagne jusqu'en 1284). La chapelle Saint-Jean-Baptiste (bras droit) a un plan intérieur octogonal ; peut-être était-elle dès l'origine une chapelle des fonts : son entrée est divisée en trois par des colonnettes, comme souvent dans les églises champenoises. L'église présente aussi des traits singuliers, sans doute d'origine. La tour-clocher antérieure s'étend en façade sur un espace traité comme un vestibule sur la largeur du vaisseau central recoupé en trois travées. L'abside est ceinturée par un couloir qui traverse les contreforts.(Source : le recensement du patrimoine mobilier des églises de l'Aube)
La collégiale Saint Pierre-ès-Liens est en rénovation, on ne peut voir l'ensemble de la nef puisqu'une toile y a été fixée pour éviter les chutes de pierres sur les paroissiens, durant l'Office.
Car, même en travaux, elle n'a pas été fermée au culte.
L'autel est fait de marbres de différentes couleurs, tous veinés, et surmontés d'un placage en bois.
La Collégiale de Mussy est incroyablement riche en statues. On dit qu'un atelier de sculpture était autrefois installé dans la ville, ce qui expliquerait cette abondance. Véritable Musée, l’église de Mussy abrite plus de 60 statues !
J'ai toujours été en admiration devant ces gisants monolytes qui représentent les donateurs de la Collégiale, Guillaume de Mussy et son épouse, au sein d'Abraham.
Cette magnifique sculpture date du premier quart du XIVème siècle.
Le chien favori du Sire et de la Dame de Mussy, dort aussi à leurs pieds...
La deuxième très belle sculpture de la collégiale, c'est celle d'un Christ aux liens qui date de 1509
Et la troisième merveilleuse statue, c'est ce Saint Jean-Baptiste, de près de deux mètres, qui allie la grâce de la sculpture de l'école Champenoise à la vigueur du style bourguignon. Il est daté fin XIIIème, début du XIVème siècle.
D'autres statues, non moins belles :
L'éducation de la Vierge,milieu XVIème siècle
Un calvaire du XVIème siècle, la Vierge, le Christ en croix, Saint Jean :
Un groupe sculpté : la Vierge, l'enfant Jésus, Joseph, un ange, le bœuf et l'âne, du XVIIème siècle.
La Sainte Trinité, du XVème siècle:
Saint Michel terrassant le démon, à ses pieds le donateur agenouillé...du XVème siècle
Une Vierge à l'enfant du XIVème siècle :
Une Vierge de Pitié du début du XVIème siècle :
Sainte Marguerite et le dragon, datée de 1552 :
Saint Côme et Saint Damien, de la fin du XVIIème siècle.
Sainte Marie-Madeleine de 1594 :
Une descente de croix de la première moitié du XIVème siècle :
Le chanoine Bréjard en prière, milieu du XVIème siècle :
Une belle clé de voûte :
et un gracieux bénitier.
Sur les murs, et ici sur les fûts des colonnes de la nef, on voit encore des fresques.
Au dehors on remarque un fin cadran solaire...
La collégiale est encore en travaux pendant quelques années, lorsqu'elle sera rénovée, elle sera véritablement magnifique. J'espère pouvoir, un jour, la voir dans sa future splendeur.
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René Drappier s'est rendu à la cérémonie en souvenir du 18 juin, il en a rapporté quelques photos, écoutons-le :
C'est devant un parterre de quelques Châtillonnais se souvenant de cette période, qu'a eu lieu cette cérémonie commémorant l’appel du 18 juin.
Gilles Surirey a lu la lettre du ministre.
François Gaillard, assisté des adjoints et des conseillers municipaux, a officié cette cérémonie.
Monsieur Gaillard, au cours du vin d'honneur fit un discours de circonstance, sur le thème de cette journée historique, avec la verve que nous lui connaissons .
Il fut chaleureusement applaudi.
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Le restaurant "La Calmagne" de Baigneux les Juifs, a ouvert ses portes depuis trois ans.
Nous nous y sommes rendus dernièrement et nous avons été très surpris par la grande qualité de l'accueil, l'excellence des produits cuisinés sur place, la salle claire et de bon goût...
Un restaurant que je vous invite à découvrir et à apprécier.
(je précise comme d'habitude que personne ne m'a demandé de faire un article sur ce restaurant...c'est un coup de cœur que je tenais à partager avec les lecteurs du blog !)
Le samedi midi où nous y sommes rendus (après la visite du moulin du Bœuf à Bellenod sur Seine et avant l'inauguration de l'orgue de Molesme !) nous avons eu droit au menu brasserie .
Pour 12,50 euros : le buffet de hors-d'œuvres avec charcuteries et salades réalisées par le chef, ensuite un délicieux steak de viande de bœuf bio (voir ci dessous sa provenance) accompagné de frites maison, un non moins délicieux fromage blanc de la laiterie des Marronniers d'Origny, suivi d'une divine mousse au chocolat maison.
Un si bon repas, servi avec le sourire, et constitué de produits de la région...qui dit mieux pour le prix ?
Les patronnes de la Calmagne (l'une cuisine, l'autre s'occupe des achats et accueille les clients) ont choisi de recourir le plus souvent possible aux produits bios comme les viandes du GAEC de la Seine de Billy les Chanceaux :
et aussi pour la viande de porc bio à l'EARL de la Creusotte à Darcey.
Le restaurant se fournit aussi en produits bios chez Jean-Baptiste Zarat à Saint Broing les Moines : lentilles, farine..
Les fromages proviennent de la fromagerie des Marronniers d'Origny sur Seine, sans aucun doute les meilleurs fromages du Châtillonnais ...
Quand vous irez à Dijon, à Alésia...ou simplement pour le plaisir de bien vous restaurer, avec des produits de grande qualité, dans une ambiance très sympathique, faites donc une halte à la Calmagne, vous ne le regretterez pas !
Le restaurant est ouvert le midi tous les jours, et trois week-end par mois (samedi et dimanche).
Des menus plus raffinés que le service-brasserie sont bien sûr proposés.
Plus d'indications sur cette carte :
Une vidéo pour découvrir Baigneux les Juifs :
Baigneux les Juifs "Communes en Question" par TV-NET(Des commentaires sur le thème de l'article seraient les bienvenus, ils me montreraient que ce blog vous intéresse et ils me donneraient envie de continuer à l'alimenter .
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Le troisième dimanche du mois de juin, c'est la fête de Saint Vorles dans notre bonne ville de Châtillon sur Seine.
Ce jour là une messe, le matin, est dite dans l'église Saint Nicolas, et les vêpres de l'après-midi, le sont dans l'église saint-Vorles qui domine la ville . ( c'est la photographie de cette église que j'ai choisie en logo pour ce blog.)
Pour ces cérémonies, les confrères de la Confrérie Saint-Vorles portent le buste-reliquaire de de notre saint-Patron dans les deux églises .
La messe de juin 2012 a été relatée ici , avec un rappel de ce qu'est la confrérie saint-Vorles :
Cette année je me suis rendue aux vêpres, pour rendre hommage à saint Vorles, mais aussi parce que c'est sans doute la dernière fois que le prêtre de la paroisse de Châtillon sur Seine, le père Lionel Canat, célébrait cette cérémonie traditionnelle.
J'aime le regard admiratif de cet enfant pour saint Vorles, qui, il le sait assurément, sauva un enfant des flammes après s'être "biloqué", lorsqu'il était prêtre à Marcenay....
La famille Taouk, qui est devenue membre de la Confrérie cette année 2013, est là, au grand complet :
L'entrée du saint dans son église :
Les antiennes ont été lues par le père Canat.
Le chœur de chant a parfaitement accompagné ces vêpres de saint Vorles.
A la fin des vêpres, les confrères, et le père Canat, ont reconduit le buste-reliquaire de saint Vorles sur son autel.
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L'an dernier, lors de cette journée des moulins, je m'étais rendue à Chaume les Baigneux, voir la reconstruction totale du moulin du village .
http://www.christaldesaintmarc.com/renaissance-d-un-ancien-moulin-a-chaume-les-baigneux-a47854466
Cette année c'est avec joie, et aussi émotion, que je me suis rendue au "Moulin du Bœuf" à Bellenod sur Seine.. J'ai été dix années institutrice à Bellenod, et c'est au moulin du Bœuf que, durant les belles journées d'été, je venais rejoindre mon amie Reine Charlot, qui gardait ses vaches dans les prés attenants, pour papoter ou faire de la couture...
Le moulin qui appartenait à la famille Charlot, était en ruine à l'époque et jamais on aurait pu penser qu'un jour il renaîtrait !
Eh bien, oui, ce moulin va renaître grâce à Gilles Bouqueton, qui est architecte, mais aussi passionné et amoureux du patrimoine rural.
Le moulin qui se trouve à droite, sur la route entre Saint Marc et Beaunotte, s'appelle en réalité le "Moulin des Planches". Son nom de "moulin du Bœuf" vient d'une déformation du nom de son premier propriétaire, Jean-Baptiste Lebœuf. Au début on l'appela "moulin Lebœuf" puis "moulin du Bœuf" (qui se prononce d'ailleurs "bœu" on ne sait pourquoi.)
Le moulin appartiendra ensuite aux Thévenin et aux Charlot. Déjà détruit vers 1820 par un incendie, il sera reconstruit. Un deuxième incendie en 1944 le laissera ensuite à l'abandon.
(l'histoire du moulin a été retrouvée et confiée à Gilles Bouqueton par Georges Lucotte, la mémoire de ce coin du Châtillonnais, disparu récemment)
On voit sous le bâtiment la belle voûte...
A cet endroit se trouvait la roue.
Sous l'auvent, Gilles Bouqueton a affiché des documents : plans, actes d'acquisition anciens.. Il est heureux de nous les montrer.
Dans la maison d'habitation qu'il aménage peu à peu, il nous montre les représentations réalisées par ordinateur du moulin réhabilité.
Voici le projet futur qu'il a réalisé.
La roue sera refaite et tournera un jour...
Dans la rivière, Gilles a retrouvé des morceaux de métal appartenant à l'ancienne roue.
et ce palier de roue appelé aussi coussinet:
Je souhaite au nouveau propriétaire, amoureux du lieu, (qui ne le serait pas ?) de réhabiliter ce témoin du patrimoine rural, qu'hélas bien souvent on oublie ou on détruit. Et je suivrai avec un très grand plaisir sa reconstruction.
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Joël Andriot, que je remercie infiniment, m'a confié les photos qu'il a prises de Montliot dévasté par la tornade apocalyptique du 19 juin 2013.
La vidéo de l'Est Eclair :
Mini-tornade en Côte d'Or ( Chatillonnais) 20... par lest-eclairLa tornade sur F3 Bourgogne :
Côte d'Or : Etrochey et Montliot-et-Courcelles... par France3-BourgogneL'analyse de la tornade :
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Pascaline Kromicheff, créatrice de "La Voix au Chapitre" est "mémographe". Elle a écrit avec les résidents du foyer Coallia , de la rue de la Feuillée " un ouvrage intitulé "Voyages au cœur de la pension de famille".
Pascaline m'a envoyé quelques photos de la remise du livre aux participants, photos que je publie volontiers ci-dessous .
Pour plus de compréhension, voici le texte du journal "Le Châtillonnais et l'Auxois" que Pascaline (qui écrit dans le journal) m'a envoyé :
Un voyage littéraire à la pension de famille Coallia
Sept résidents et une salariée de la Pension de Famille Coallia La Feuillée ont participé, durant quelques mois, à un “atelier de paroles écrites” mené par l’écrivain mémographe (et correspondante de notre hebdo) Pascaline Kromicheff.
Michel, Didier, Christelle, Nathalie, Sylvie, Nathalie, Catherine et Marius ont accepté de dévoiler une partie d’eux-même, une partie de leur histoire, de leur voyage dans la vie. Ceci a donné lieu à l’édition d’un livre tout à fait original intitulé “Voyages au cœur de la pension de famille”, illustré et photographies et de dessins.
“Vingt-cinq personnes résident à la Pension de Famille Coallia de la Feuillée. C’est un “public” en “grande précarité et isolement social”. Voilà, c’est dit, le cadre est posé. L’idée est justement de ne pas s’arrêter à ce cadre peu valorisant, mais de peindre un tableau en couleurs de la pension, avec la complicité des pensionnaires” explique l’écrivain en préambule de son ouvrage, divisé en deux parties : la première expliquant comment s’est déroulé l’atelier en coulisses, et la seconde étant composée des écrits des résidents, véritables tranches de vie agrémentées de photos.
L’atelier mis en place, dépassant le cadre de l’écriture, a mené les participants à visiter la galerie des artistes singuliers Jean et Andrée Moiziard, à Aisey-sur-Seine, puis la grande exposition dédiée à Salvador Dali au Centre Pompidou à Paris. Cela n’a pas manqué d’être une belle source d’inspiration pour les participants, qui ont à leur tour réalisé des dessins et des compositions plastiques de belle qualité.
Le tout était exposé à la pension Coallia pour la remise officielle du livre aux participants, en présence des responsables et partenaires de Coallia, du maire Hubert Brigand, des artistes Andrée et Jean Moiziard, de l’écrivain Michel Lagrange, de l’écrivain mémographe et des membres de la toute nouvelle association “De la Voix au Chapitre” qui a pour but de promouvoir, soutenir et favoriser des activités d’écriture et de collecte de mémoires.
A noter qu' on peut se procurer l’ouvrage en remplissant un bulletin de souscription à la Librairie du Musée, 29 rue du Maréchal Leclerc à Châtillon-sur-Seine.
“Voyages au cœur de la pension de famille”, éditions Scripta, 89 pages dont 20 pages couleurs, 16 euros.(Des commentaires sur le thème de l'article seraient les bienvenus, ils me montreraient que ce blog vous intéresse et ils me donneraient envie de continuer à l'alimenter .
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Après l'encensement, par le père Canat, curé de la paroisse, de l'orgue de l'église Sainte Croix de Molesme, suivi d'un pélerinage à l'ermitage où vécut saint Bruno (fondateur plus tard du monastère de la Grande Chartreuse), le 6 octobre 2012...
Ce fut, samedi 15 juin 2013, son inauguration "républicaine ".
Un écran avait été placé dans le chœur de l'église. Sur cet écran on pouvait voir défiler les différentes étapes de la rénovation de l'orgue.
Des Officiels avaient été conviés par le maire de Molesme, Jacques Lazzarotti, a assister à l'inauguration de cet orgue magnifique :
Le président du Conseil Régional François Patriat, et Hubert Brigand, conseiller Général.
Il faut savoir que, outre la contribution de la ville de Molesme et les dons privés, des subventions ont été données par le Conseil Régional et le Conseil Général.
Les adjoints au maire de Molesme étaient présents, ainsi que l'ancien titulaire de l'orgue, Jacques Noël et le nouveau Stéphane Besanceney, le facteur d'orgue Jean Deloye et Sylvain Pluyaut, organiste.
Sylvain Pluyaut a dit sa joie de pouvoir jouer sur un orgue si magnifiquement réhabilité.
Jean Deloye, très ému, a rappelé les étapes de la rénovation de l'orgue, rénovation qui a duré deux ans.
Il a remis les "clés" de l'orgue au nouveau titulaire Stéphane Besanceney.
Avant le concert proprement dit, Jacques Noël a joué de l'antiphonel.
Rappelons ce qu'est l'antiphonel :
L’antiphonel, ou "suppléant de l'organiste" est un mécanisme fort simple qui s'adapte sur toutes les touches du clavier d'un orgue quelconque, et qui permet à toute personne étrangère au jeu de cet instrument d'y exécuter des accompagnements et morceaux de musique, et de les transposer instantanément et à volonté dans tous les tons chromatiques d'une octave. Il a été inventé par Alexandre François Debain en 1846.
L'écran du chœur a permis de voir ce qui, habituellement, est invisible, le jeu de l'organiste...
Le concert a ensuite commencé, interprété avec brio par le nouveau titulaire de l'orgue, Stéphane Besanceney : Sarabande en Ré mineur HWV 437 de G.F.Haendel, et Toccata en Ré mineur BWV 565 de J.S. Bach
Puis c'est Sylvain Pluyaut, organiste, professeur d'orgue au Conservatoire de Dijon qui nous a enchantés avec une heure de musiques du temps de l'orgue de Molesme (1832-1860)
Concerto en Ré,mineur, prélude, allegro de C.B. Balbastre, Offertoire en sol mineur de Gervais François Couperin, Cavatine d'un "Turc en Italie" de G. Rossini,Fugue en Mi mineur, Récit de cromorne en taille et Andante con moto de P.F.A. Boëly, L'adoration des bergers de Nicolas-Joseph Wackenthaller, Boléro élévation en mi mineur sortie en Mi bémol majeur de L.J.A. Lefébure Wély, La méditation de Thaïs de Jules Massenet et la Canonade de C.B. Ballastre.
Les spectateurs ont longuement applaudi les deux interprètes, en se retournant cette fois...
Je n'oublie pas le caméraman qui nous a permis d'admirer le jeu des deux organistes, jeu très impressionnant et peu connu, puisque toujours caché, quelle virtuosité !
Dans la salle saint-Robert, Jean Deloye , le facteur d'orgue qui a si magnifiquement restauré l'orgue de Molesme, présentait une exposition sensationnelle sur ce fabuleux instrument de musique, qui existait déjà trois siècles avant notre ère !
Dans l'église Sainte-Croix, des photographies nous montraient les différentes étapes de la restauration de l'orgue.
Si la restauration de l'orgue de Molesme vous intéresse, vous pourrez consulter les deux articles que j'avais publiés lors de mes visites :
http://www.christaldesaintmarc.com/l-orgue-de-l-eglise-de-molesme-c18900001
http://www.christaldesaintmarc.com/la-restauration-de-l-orgue-de-molesme-est-terminee-a57559647
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Denis Bourtequoy, président de la Lyre Châtillonnaise vous communique:
Cette année , la lyre châtillonnaise vous proposera un concert dans le quartier de Château-Gaillard (près de l'hôpital) le vendredi 21 juin 2013 vers 21 h 15 /21 h30 ( sauf pluie).
Lieu de ce concert: le parking école Cailletet.
Venez nombreux applaudir la Lyre !
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Pour la treizième année, l'Amicale de Brion sur Ource a organisé son exposition traditionnelle "Passion-Peinture". Des peintures, certes, mais aussi des photographies, du travail du bois, de la sculpture...
Les expositions avaient lieu dans les lavoirs, en plein air, dans la salle des fêtes.
Ici ce sont des œuvres des participants de l'atelier peinture de Brion sur Ource, dirigé par Ghislaine Baillade.
Sur la place de la salle des fêtes, des tableaux étaient accrochés sur un support naturel !
Trois membres de la section-peinture des Amis du Châtillonnais exposaient à Brion .
Amalia Cailletet présentait ses belles aquarelles...
Jean-Pierre Loget ses "trompe-l'œil"....
Dominique Masson exposait aussi , mais dans l'autre lavoir, ses peintures seront montrées plus loin.
Des photographes présentaient leurs clichés : Thierry Nespoulous qui a réalisé de très belles photographies en noir et blanc , prises avec un appareil argentique, dans le village de Montigny sur Aube.
Jean-Pierre Gurga, dont je publie souvent les belles photos, présentait des photos numériques en couleur: insectes, champignons, fleurs, paysages...
Jean-Pierre a fait composer un magnifique album rempli de ses plus belles photos, intitulé "Passionnément nature".
En voici quelques pages :
Dans l'autre lavoir, celui de la route de Thoires, (très inondé en mai 2013, une plaque le rappelle !) d'autres œuvres picturales...
Voici les tableaux de Dominique Masson :
Une sculpture inconnue, un bien joli pied !
Nathalie , de l'atelier de la Faîne, avait apporté ses créations en bois...
Et elle "tournait" sous le grand soleil...
Un autre tourneur sur bois, Daniel Fraeye, un ancien habitant de Montigny sur Aube qui réside maintenant à Tart le Haut, faisait de même.
Ses beaux stylos en bois :
Un stand présentait des objets fabriqués par des Haïtiens :
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Lecture "L'art de la sieste, instant poétique" par le Collectif Impulsions
Samedi 22 juin à 15h30 au centre socioculturel et de loisirs, suivie à 16h30 de la remise des prix du concours de poésie organisé par la bibliothèque municipale.
*Spectacle pour adultes et jeunes à partir de 10 ans.
Deux comédiennes (Séverine Recouvrot et Fany Buy) glisseront à l'oreille des auditeurs leurs plus beaux mots : poèmes et proses sur la sieste, chansons pour la détente, haïkus... Poésie aérienne et légèreté philosophique.
Prendre le temps, s'arrêter, stopper la course, histoire d'affirmer notre goût pour les mots, notre choix pour la lenteur, et notre droit à l'oisiveté (profitons-en, cela ne dure qu'un temps !).
Les auteurs qui seront lus : Pierre Sansot, Sylvain Tesson, Jean-Philippe Toussaint, Alphonse Daudet, Philippe Delerm...
VENEZ NOMBREUX !
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Les Amis du CSCL ne se retrouvent pas seulement pour faire de la cuisine...certains d'entre eux, d'entre elles plutôt, ont demandé à réaliser ensemble des travaux d'aiguille: broderie, crochet, tricot.
C'est Alice qui a eu cette idée, qui a paru intéressante à Christel, référente famille au CSCL, et à Magali, conseillère en économie sociale et familiale à l'Accueil-Solidarité-Familles du Conseil Général.
Cet atelier "de fil en aiguille" a eu un succès fou, bien au-delà de ce qu'espéraient Christel et Magali !
Alice, c'est celle qui a eu l'idée de cet atelier épanouissant pour toutes : convivialité, réalisations où tout le monde s'aide, se soutient, enseigne aux novices, quelle belle réussite....Magali ( qui se trouve derrière elle) a pris en charge l'atelier.
Pour travailler la laine, le canevas, la broderie, il faut du matériel que certaines ne possédaient pas. L'association "LZ, Elles aident" dont vous voyez ici trois représentantes, a fait un don de 150 euros aux Amis du CSCL. Ce qui a permis d'acheter laine, coton à broder, canevas, aiguilles et..
Un beau geste ! merci mesdames !
Durant l'exposition, toutes les tricoteuses, brodeuses, ont continué leurs réalisations...
Et voici quelques photos du très beau travail des artistes de l'atelier :
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Cette année c'est Christian Marchand qui m'a remplacée à la cérémonie du Monument de la Forêt, merci à lui.
Voici ses belles photos cliquables :
Le matin du même jour, a eu lieu une cérémonie au monument d'Essarois.
Ce monument commémore le décès de cinq résistants massacrés dans le parc du château.
Voici quelques photos que m'a adressées Jenry Camus :
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Monique Hérard, membre de la Section Peinture des Amis du Châtillonnais, expose jusqu'au 30 juin ses beaux tableaux à l'Annexe 17, une charmante galerie de peintures de Recey sur Ource.
Monique avait convié tous ses amis, peintres, non peintres, mais amateurs de belles peintures, au vernissage de son exposition.
Monique est ici en compagnie des propriétaires de l'Annexe 17.
Tous ont trinqué à la réussite de cette exposition . Allez la voir, c'est un feu d'artifice de couleurs et de bonne humeur, car Monique sait très bien faire passer dans ses toiles sa joie de vivre et son dynamisme.
Deux de ses toiles:
Je vous montrerai d'autres tableaux quand l'expo sera terminée, mais rien ne vaut leur vision réelle, allez donc à Recey les admirer !
(Des commentaires sur le thème de l'article seraient les bienvenus, ils me montreraient que ce blog vous intéresse et ils me donneraient envie de continuer à l'alimenter .
Merci.)
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Par Christaldesaintmarc dans -La Société Archéologique et Historique du Châtillonnais le 14 Juin 2013 à 06:00
La traditionnelle sortie de la Société Archéologique et Historique du Châtillonnais, (la SAHC), a eu lieu samedi 8 juin 2013, une sortie à la rencontre des églises célébrant les saints de la vallée de la Laignes : Saint Vorles à Marcenay, Saint Valentin à Griselles, et de l'abbaye de Molesme où Saint Robert fut Abbé .
Pour commencer cette visite, riche en découvertes, nous avions rendez-vous devant l'église de Marcenay, nouvellement et magnifiquement rénovée. En voici quelques images :
http://www.christaldesaintmarc.com/l-eglise-de-marcenay-c22466021
Bruno Chaume , président de la SAHC, nous a annoncé que Christian Sapin, spécialiste de l'époque médiévale, qui devait nous accompagner, était souffrant et qu'il n'avait pu venir.
C'est donc Dominique Masson, Président des Amis du Châtillonnais, qui l'a remplacé, au pied levé, avec une grande compétence .
Cette église , qui fut celle où Saint Vorles était curé, a subi beaucoup de transformations au cours des siècles, ses parties anciennes sont en quelque sorte "masquées" par les nouvelles.
Le seul témoin extérieur de l'église ancienne, c'est cette petite fenêtre romane:
Sous l'église de Marcenay, se trouve une crypte...
Et dans cette crypte, on peut voir un sarcophage, qui, dit-on, serait celui où le corps de Saint Vorles a séjourné, avant le transfert de ses reliques, à Châtillon sur Seine, en l'an 800.
Sous une autre grille, on voit le reste de l'abside primitive:
Saint Vorles est bien sûr vénéré dans l'église de Marcenay: statue, buste reliquaire, inscriptions...(plus de photos dans le prochain article sur l'église)
Nous nous sommes ensuite rendus à l'église de Griselles, où nous attendait Anne Bouhélier qui est une enfant du village.
Anne nous a conté l'histoire de Saint Valentin, jeune prêtre, qui fut un des premiers à évangéliser la région.
Un sarcophage existe dans la crypte de l'église, il a reçu le corps de Valentin.
Anne nous apporte des précisions très intéressantes :
Concernant le tombeau qui est dans la crypte de l'église de Griselles, il est depuis toujours considéré comme celui de St Valentin et les remarquables travaux de Mr Sapin ne mettent pas en cause cela. Des reconnaissances de reliques ont à différentes époques attestées de la présence d'ossements humains dans le sarcophage. Une datation avec les techniques modernes permettrait de confirmer qu'il s'agit bien d'un corps du VIe siecle mais bien d'autres éléments montrent l'exeptionnel rayonnement qui s'est exercé autour de ce corps dès son inhumation. Il n'y a pas lieu de douter sur la présence de ce saint local qui impulsé la diffusion du christianisme dans le Châtillonnais. Ce qui est plus contestable à Griselles, c'est l'attribution primitive du sarcophage à Sabinus le rebelle lingon.
Près de l'église on a découvert des sarcophages et des pierres un peu sculptées. Peut-être des stèles gallo-romaines, alors que les sarcophages paraissent mérovingiens.
Anne a aussi évoqué le mystérieux château qui se trouvait autrefois sur la butte de Griselles .
Un article sur l'église de Griselles, avec l'histoire de Saint Valentin, telle que nous l'avait contée Anne Bouhélier, lors d'une précédente visite :
http://www.christaldesaintmarc.com/l-eglise-de-griselles-c22666751
Et un autre sur le village et son château :
http://www.christaldesaintmarc.com/griselles-et-saint-valentin-c127735
Nous avons ensuite déjeuné au restaurant "Le Magny" à Ricey-Haut. Nous étions plus de quarante adhérents.
Le menu fut délicieux, précédé par le non moins délicieux crémant de Sylvain et Anne Bouhélier.
Bruno Chaume nous a quittés à la fin du repas, il devait faire la visite guidée des fouilles du Mont Lassois de Vix.
Après le repas nous nous sommes rendus à l'abbaye de Molesme, le "nombril du monde cistercien" comme l'appelle Michel Diey !
C'est en effet de Molesme que débuta le mouvement universel des Cisterciens, par la grâce de son abbé, Robert, devenu Saint Robert qui créa Citeaux.
Nous avons été reçus par la propriétaire des lieux, madame Gélis, qui, avec son mari a relevé l'abbaye de ses ruines, un travail de titan !
Nous sommes entrés dans la salle du chapitre des moines, superbe salle où, le long des murs, sont exposées des photos de l'abbaye avant sa restauration.
C'est le Vice-Président de la SAHC , Michel Petot, qui a évoqué l'abbaye et ses moines, dans une conférence magistrale.
Un précédent article sur l'abbaye de Molesme ( une conférence très détaillée de François Poillotte):
http://www.christaldesaintmarc.com/molesme-au-temps-de-saint-robert-a44910755
Nous nous sommes ensuite rendus dans l'église de Molesme .
La châsse qui contient les reliques de Saint Robert est toujours très admirée.
D'autres reliques ont été placées dans un coffre sous l'autel.
Le sceau de l'archevêque de Dijon vérifie les reliques et les certifie :
Madame Claudie Guillier a été notre guide dans l'église de Molesme.
Un précédent article sur l'église de Molesme :
http://www.christaldesaintmarc.com/l-eglise-de-molesme-c360155
Pour terminer cette enrichissante journée, Gérard Dumaire, trésorier de la SAHC, nous a conduits chez monsieur Anson qui possède un pigeonnier ancien.
Ce pigeonnier est celui que possédaient les moines de l'abbaye de Molesme
La plage d'envol :
Le plafond du rez de chaussée du pigeonnier est construit avec des pierres qui forment des lignes concentriques, il est vraiment très beau.
(Des commentaires sur le thème de l'article seraient les bienvenus, ils me montreraient que ce blog vous intéresse et ils me donneraient envie de continuer à l'alimenter .
Merci.)
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