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Après avoir refait la Croix des 4 tilleuls à Saint Marc sur Seine en 2011, la Croix à la dévolution de J Baptiste Bouchard et Rayne Veuillot à Semond en 2012, le nouveau projet s'est centré sur la restauration de la cabotte qui se trouve sur la route de Fontaine en Duesmois. Après avoir tout débroussaillé, toute l'équipe s'est mobilisée pour renforcer les murs de la cabotte, pour faire un escalier d'accès et surtout pour installer une grande table en pierre. Ce lieu aménagé sera idéal pour y faire un pique nique.
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"Stabat Mater de Pergolesi" le concert final de la Semaine de Saint Vorles fut une pure merveille !!
Par Christaldesaintmarc dans -La Semaine Musicale de Saint Vorles et du Châtillonnais le 3 Septembre 2013 à 06:00Michel Lagrange, devant un public encore plus nombreux que les années précédentes, a présenté le concert final de la Semaine de Saint Vorles, consacré au "Stabat Mater" de Pergolesi. Ce concert a été le dix-huitième, présenté par l'Association Saint Vorles, sous la direction du "Concert de l'Hostel Dieu" de Lyon.
Le Vice-Président de l'Association Saint Vorles a rappelé les buts de l'Association qui œuvre pour le bien-être des enfants. La Semaine de Saint Vorles a été aussi associée aux manifestations qui ont salué le centenaire de la disparition de Louis Cailletet, grand savant châtillonnais.
Franck-Emmanuel Comte a découvert, dans les archives lyonnaises, un manuscrit très ancien du "Stabat Mater" de Giovanni Battista Pergolesi (1710-1736), une version réorchestrée pour trois solistes, sept instruments et un chœur mixte. Il a présenté cette version sous le titre :
Polyphonies traditionnelles napolitaines et tarentelles, Miserere, Stabat Mater
Il existe en Campanie une légende selon laquelle Pergolèse aurait composé ce Stabat Mater après avoir été témoin d’une scène dramatique. Sur une place publique de Naples, une foule est rassemblée pour assister à un triste spectacle : un jeune larron est pendu par l’occupant espagnol pour avoir volé quelques pommes. Sa mère se tient à ses pieds, submergée par la douleur.
A partir de cette légende, Franck-Emmanuel Comte a imaginé une interprétation de l’œuvre de Pergolèse totalement nouvelle : associer au Stabat Mater des polyphonies traditionnelles, chantées lors de la Semaine Sainte. Cette alternance a mis en avant l’expression première du texte et les contrastes violents, tout en soulignant les liens entre l’héritage populaire du sud de l’Italie et le talent cosmopolite de Pergolèse.Les instruments : trois violons, un basson, un violoncelle, un théorbe et un orgue :
Trois solistes, ici Heather Newhouse, soprano :
Anthéa Pichanick, mezzo :
Un soliste : Hugo Peraldo, ténor, ici avec Anthéa Pichanick :
et avec Heather Newhouse :
Franck-Emmanuel Comte joue de l'orgue, mais il dirige aussi solistes et chœurs.
Les tarentelles instrumentales, et d'autres chantées, étaient associées à la flûte à bec qui scandait le rythme hypnotique et endiablé de cette danse traditionnelle d'Italie du sud.
Les tarentelles étaient jouées au cours de cérémonies qui pouvaient durer des journées entières, afin de guérir ceux qu'on croyait victimes de morsure d'une araignée, la tarentule.
La tarentelle la plus acclamée fut "La Cicerenella"", chantée merveilleusement par Heather et Hugo.
Ce "Stabat Mater" , ponctué de tarentelles (association toute personnelle, nous dit Franck-Emmanuel Comte) fut un moment de pur plaisir musical. Les auditeurs ne s'y sont pas trompés puisqu'ils ont applaudi longuement, debout, tous les musiciens et chanteurs du Concert de l'Hostel Dieu. Plusieurs morceaux furent bissés, dont la tarentelle "A cantina" qui nous a donné à tous une furieuse envie de danser, bien que n'ayant pas été piqués par une tarentule !
Un petit, tout petit extrait du concert, à la fin, un extrait de "la cicerenella""...
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Après sa superbe étude sur l'église Saint Vorles, à lire ici:
David Loiselet s'est intéressé à la bourgeoisie Châtillonnaise, à travers les tombes du cimetière qui jouxte l'église Saint Vorles.
Déambuler dans un cimetière peut sembler être une activité bien lugubre. Pourtant, certains cimetières sont, de part l’identité des défunts qui y reposent et leur organisation, de véritables témoins de l’histoire, et c’est justement le cas de celui de l’église Saint-Vorles. Il serait alors dommage de ne pas s’y promener, car outre les vues que ce dernier offre sur la cité châtillonnaise et sur le chevet de l’église, il est le lieu où gisent de nombreuses personnalités qui firent la gloire de la ville, et dont le prestige a été éternellement gravé sur leurs pierres tombales. Il méritait donc que ces sépultures soient étudiées.
David Loiselet
Cliquer sur ce lien :
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Par Christaldesaintmarc dans -La Semaine Musicale de Saint Vorles et du Châtillonnais le 1 Septembre 2013 à 06:00
Pour la troisième année, les musiciens et chanteurs du Concert de l'Hostel Dieu de Lyon, ont donné un concert dans la si jolie église de Faverolles les Lucey. Un concert, nous a dit Michel Lagrange en prologue, dédié à la femme...
Laurent Schembri, le Maire de Faverolles les Lucey, s'est dit très heureux de voir son église remplie de tant d'auditeurs fidèles qui aiment la musique de qualité.
Franck-Emmanuel Comte, le chef d'orchestre du Concert de l'Hostel-Dieu, a présenté le concert composé pour la majeure partie, d'œuvres du compositeur Allessandro Stradella qui a beaucoup aimé les femmes, et qui d'ailleurs est mort assassiné en raison de sa passion !
Entre chaque morceau interprété par Heather Newhouse accompagnée par les musiciens François Costa (violon), Etienne Galletier (théorbe et guitare), Annabelle Louis (violoncelle) et Franck-Emmanuel Comte(clavecin), ce dernier nous conta la vie rocambolesque d'Alessandro Stradella, celui qui aimait trop les femmes....
La soliste était la superbe soprano Heather Newhouse, à la voix d'or...
Franck-Emmanuel Comte, clavecin et direction :
Annabelle Louis au violoncelle, Etienne Galletier au théorbe :
Etienne Galletier à la guitare :
François Costa au violon :
Les musiciens ont joué, seuls, une tarentelle échevelée...
On prétendait, en effet, en Italie, que la tarentelle, dansée de plus en plus rapidement par des personnes mordues par une tarentule était sensée les guérir ...
Beaucoup d'applaudissements et de rappels ont salué la beauté de ce magnifique concert.
Durant le concert, un couple d'hirondelles, qui niche en haut du retable de l'église de Faverolles les Lucey, a volé au dessus des spectateurs pour leur plus grande joie !
Laurent Schembri a ensuite convié musiciens et spectateurs à un pot amical, durant lequel il a remercié les organisateurs de la Semaine de Saint Vorles, Louise Bauer sa présidente et Michel Lagrange son vice-président, d'avoir choisi Faverolles les Lucey pour la troisième année.
La famille de Louis Cailletet était bien sûr présente...
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