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Ce "Festival Francis Carco" a été imaginé par l'Association Châtillon-Scènes, en hommage à l'écrivain qui passa ses années d'adolescence dans notre ville.
Pour lancer le festival, les membres de l'Association ont préparé une belle exposition, illustrée de documents mis en valeur par la photographe Judith Baudinet : la naissance de Francis Carco à Nouméa, les endroits qu'il fréquenta durant sa jeunesse à Châtillon sur Seine, sa découverte de Paris, la guerre de 14-18, ses amis, les femmes qu'il fréquenta, ses romans, ses poèmes, ses chansons....
Francis nous attendait dans la salle des Conférences de l'Hôtel de Ville...
Son regard magnétique nous a suivis durant tout le festival, il était là, parmi nous !
La photo de son amie Colette l'accompagnait : Francis Carco et Colette ont été très amis toute leur vie. Une conférence a d'ailleurs a été consacrée à cette amitié durant le festival.
Aujourd'hui je vous montrerai le vernissage de l'exposition où ont été présentés les documents sur la vie de cet écrivain hors du commun.
Hubert Brigand a ouvert le Festival Francis Carco en se réjouissant que pareille manifestation ait été organisée à Châtillon sur Seine. Il a complimenté l'Association Châtillon-Scènes, représentée par sa Présidente Yolande Estrat, pour avoir eu l'idée de ce magnifique hommage en l'honneur du grand écrivain qui a vécu dans notre ville.
Yolande Estrat a ensuite commenté les différents panneaux, réalisés avec des documents offerts par des Châtillonnais, documents mis en valeur par Judith Baudinet.
Monique Marmorat, que des liens familiaux rattachent à la Nouvelle Calédonie, s'est mise en relation avec des personnalités de l'île. Ils lui ont fourni de nombreux documents sur le bagne de Nouméa, ville natale de Francis Carco où son père était Inspecteur des Domaines de l'État. Des souvenirs s'attachent encore là-bas, à la famille de l'écrivain(rue, maison)
Le père de Francis Carco fut nommé ensuite en France, à Châtillon sur Seine, toujours en tant que conservateur des hypothèques. Toute la famille le suivit, elle habitait rue des Avocats.
Le père de Francis (qui s'appelait encore alors François Carcopino-Tusoli) était violent envers son fils aîné. Confronté à cette violence et aux souvenirs affreux du bagne de Nouméa, Francis se réfugia dans l'écriture de poèmes.
Un de ses très beaux livres, qui parut en 1939, intitulé "mémoires d'une autre vie", nous le montre à Châtillon sur Seine avec ses amis, ses amours enfantines..
Un livre à posséder par tout châtillonnais qui aime sa ville !
Après Châtillon sur Seine, nouvelle affectation pour le père de famille : Villefranche sur Rouergue. Francis se dévergonda énormément...et finit par partir à Paris, pour mener une vie de bohême....
Francis Carco aimait les femmes, les femmes des bas quartiers, qu'il décrit très bien dans ses romans, mais aussi celles des quartiers "rupins"..
Il eut une aventure amoureuse avec Katherine Mansfield, et une amitié indéfectible avec Colette.
Il se maria deux fois.
Francis Carco, atteint de la maladie de Parkinson, s'éteignit à Paris en 1958, près de la Seine qu'il aimait tant...la Seine qu'il avait découverte à Châtillon sur Seine !
Utrillo fut un ami de Francis Carco. Ce peintre réalisa plusieurs toiles représentant notre église Saint Vorles. Michel Serex en a découvert plusieurs, il nous a fait part de ses belles trouvailles.
J'ai évoqué ses recherches ici , je viens d'y ajouter des infos importantes : l'original du tableau de Marie-Françoise est actuellement en vente au...Japon !
A lire ici :
http://www.christaldesaintmarc.com/utrillo-et-saint-vorles-la-saga-continue-a112550978
Le vernissage de l'exposition était ponctué par de magnifiques interventions de France-Accordéon, orchestre dirigé par Elisabeth Studer.
Les jeunes accordéonnistes et leur directrice ont ravi les spectateurs, c'était magique !!
Certains se sont même mis à danser....
D'autres documents étaient exposés, sur des étagères et dans des vitrines.
Bernadette Michel qui fait partie du Ciné-Club de Châtillon sur Seine, a convié les spectateurs à venir assister au Select à la projection d'un film dont le scénario est de Francis Carco et dans lequel il joue !! Ce film est présenté en collaboration avec Châtillon-Scènes.
Donc, allons tous au Select jeudi 25 septembre 2014, à 20heures 30, Francis sera parmi nous !
Châtillon-Scènes remercie infiniment tous ceux et celles qui ont permis la réalisation de ce merveilleux festival Francis Carco .
Au cours de ce vernissage j'ai eu le plaisir de rencontrer un grand photographe, Côte d'Orien et Parisien, David Bordes, qui aime beaucoup Francis Carco. Il n'a pu assister au festival car il travaillait, les deux journées du Patrimoine au château de Bussy Rabutin, en photographiant les visiteurs dans sa caravane transformée en château !
http://www.davidbordes.com/accueil_home.html
Demain et les jours suivants, je publierai la suite du Festival: conférence Carco-Colette, atelier d'écriture, musique, théâtre...
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"Les vendanges ont eu lieu cette année...par un temps de juillet !" m'a dit malicieusement Ghislain Brigand... En effet le soleil et la chaleur ont été bien présents lors des premiers coups de sécateurs, dans les vignes du domaine Brigand de Massingy.
On voit ici les vendangeurs au lieu dit "le clos de l'Abbaye".
Le raisin vendangé c'est du pinot noir....
et du Chardonnay...
Gilbert Brigand supervise la vendange avec sa belle-fille Karine. Il me confie que certains pieds ont gelé au printemps, mais cette année pas de grêle ni de tornade, heureusement.
La vendange se fait dans la bonne humeur !
Les raisins sont cueillis manuellement pour rentrer des grappes entières.
Les vendangeurs remplissent leur seau et vont le vider dans des caisses qui sont percées pour préserver l'intégrité des fruits, en évitant l'oxydation.
Les caisses sont descendues avec un brancard...
Puis elles sont chargées sur la remorque du tracteur. Celui-ci les emporte ensuite au pressoir.
Il fait si chaud qu'une pause boisson est nécessaire !
Un peu d'eau sur la tête , ça rafraîchit !
Karine surveille la cueillette, indique aux vendangeurs les rangs où couper les raisins.
Je suis ensuite descendue voir la pressée. Elle se terminait, le moût coulait encore sur la maie. Il était aspiré et envoyé dans une cuve en hauteur.
Deux pressoirs sont utilisés.
Le pressage est terminé, il faut enlever le jus restant sur la maie...
et la nettoyer à fond...
ainsi que le sol de la vinée...
Il faut maintenant vider le pressoir de ses "marcs", composés des rafles, peaux et pépins.
Ces "marcs" ne seront pas jetés mais vendus à des transformateurs qui en tireront de l'alcool.
Le domaine Brigand ne distille plus depuis longtemps.
Ghislain mesure la température du moût, 21 degrés !
Les vendanges vont se poursuivre encore quelques jours, elles seront sans doute terminées lorsque paraîtra cet article.
A présent le travail le plus délicat va commencer : la transformation du moût en vins tranquilles, puis plus tard en crémants.
Pour en savoir plus, consultez le site du domaine Brigand :
http://www.domainebrigand.com/
Ghislain et Karine ont réalisé un superbe jardin voué à la vigne, le "Jardin d'Ampelopsis", je vous le montrerai prochainement.
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Il y a quelques années, Jenry Camus avait publié un article sur notre journal local "le Châtillonnais", où il évoquait une peinture d'Utrillo représentant Saint Vorles...
Or pour illustrer l'article, Jenry avait reproduit une toile qui est différente de celles découvertes par Michel Serex et de celle de Marie Françoise Dody (qui est une reproduction réservée il doit y en avoir que 15, un tampon certifie cette reproduction )
http://www.christaldesaintmarc.com/utrillo-et-saint-vorles-a112474846
en effet il n'y a aucun personnage visible sur cette peinture....
Cette peinture, me dit d'ailleurs Dominique Masson, a été reproduite autrefois par l'Office du Tourisme de Châtillon sur Seine, présidé à l'époque par monsieur Caron et vendue aux visiteurs. (voir plus bas, ce n'est finalement qu'une lithographie)
Voici l' article de Jenry Camus (où il évoque le marchand d'Art Coquiot qui pourrait-être aussi celui qui envoya une carte postale à Utrillo) :
Il y a donc TROIS peintures d'Utrillo représentant notre belle église !!
Donc trois envois de cartes postales à Utrillo.... par qui ?? Kiki de Montparnasse? Francis Carco ? Gustave Coquiot ? Auguste Renoir ? pourquoi pas Camille Pissaro marié à une habitante de Grancey sur Ource ? le mystère reste complet.
Michel Serex m'a confié qu'il va faire des recherches pour retrouver les deux peintures originales qu'il a découvertes ce week-end du Patrimoine 2014, plus celle de Marie-Françoise Dody.
Celle utilisée à l'Office du Tourisme de Châtillon sur Seine n'est qu'une lithographie .Elle fait partie d'une production d'images religieuses à partir d'une édition "Biblicalpaintings.org". (D'ailleurs je trouvais bien que la taille du clocher était disproportionnée par rapport à ceux peints par Utrillo)
Eh bien, Michel Serex a retrouvé l'original du tableau de Marie-Françoise !!
Il est actuellement en vente au...Japon ! Son prix a l'air assez élevé...
Rappel de qui était Gustave Coquiot :
http://www.christaldesaintmarc.com/le-village-de-puits-a47830382
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Pour la troisième année consécutive, l'Association "Demain en main" , sous l'égide des producteurs de la Fédération Départementale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FDSEA21) et des Jeunes Agriculteurs (JA21) a organisé des fermes ouvertes "Nos fermes ont la cote !".
Dans le Châtillonnais, cette année, nous pouvions visiter la ferme du G.A.E.C. de l'Epicéa à Puits, une ferme où l'on pratique la production céréalière et l'élevage de bovins de très grande qualité.
Le G.A.E.C. de l'Epicéa , 16 route de Nesle à Puits, canton de Laignes, est composé de trois associés : Denis Chauve, le père, Nicolas et Arnaud Chauve les fils. Un salarié travaille avec eux depuis plus de trente ans.
C'est Nicolas qui nous a, tout d'abord, présenté l'exploitation céréalière qui est typique du Châtillonnais : de la culture de blé, d'orge et de colza sur 300 hectares, et 100 hectares d'herbage.
On voit ici les superbes machines agricoles du G.A.E.C., modernes et parfaitement entretenues.
Ces cultures et ces herbages sont nécessaires à l'activité principale du G.A.E.C. qui est l'élevage de bovins de race "Blonde d'Aquitaine"
Arnaud a présenté au public intéressé, venu nombreux, cette race, remarquable par sa taille : il s'agit de la plus grosse vache allaitante avec un rendement de viande et une qualité bouchère très intéressants. En effet le rendement de poids-carcasse est lourd.
De plus les femelles vêlent très facilement.
Quelques vaches avec leurs veaux étaient présents dans la stabulation, les autres étaient au pré dans l'Auxois. Il faut savoir que le G.A.E.C. de l'Epicéa possède 85 mères blondes d'Aquitaine, toutes inscrites à l'U.P.R.A. de la race.
En hiver, de novembre à mars toutes les bêtes, deux cents au total, sont présentes dans la stabulation.
Vingt à vingt-cinq génisses sont utilisées pour le renouvellement, les autres sont vendues à d'autres élevages, le reste allant en boucherie. Elles sont abattues à Venarey les Laumes chez Bigard.
Quant aux mâles que l'on appelle "broutards", ils sont vendus à l'âge de six à huit mois , au poids d'environ quatre-cents kilos, surtout en Belgique et en Hollande, mais aussi en Italie.
Le G.A.E.C. de l'Epicéa possède cinq taureaux, mais le plus beau d'entre eux, c'est Gaulois que l'on voit ici.
Gaulois est une star, il a été primé au Concours National de Biarritz en 2014, il a reçu le second prix mâle .
Il va partir au concours inter-régional de Lunéville et est présélectionné pour le salon de l'Agriculture qui se tiendra à Paris en 2015.
Ses propriétaires sont confiants dans ses futurs résultats, ils ont raison, c'est une bête magnifique qui pèse 1250 kilos, une tonne 250 !!!
Voyez son arrière-train, cette particularité transmise à ses descendants, donnera sûrement une viande exceptionnelle !
La Blonde d'Aquitaine donne une viande toute en force et en finesse.
En attendant que les 200 bêtes reviennent, les éleveurs ont entreposé leur foin et leur paille dans la deuxième stabulation.
Que mangent les animaux ?? En priorité du foin .
On y ajoute un mélange de blé, d'orge en farine, de la luzerne et de la pulpe de betteraves déshydratées et un aliment complémentaire.
Le tout est mélangé dans cette machine que nous présente Nicolas.
Ce beau blé régalera les bêtes cet hiver...
Quelques génisses sevrées , mais pas encore capables d'aller au pré à 40 kms de Puits, sont ensemble dans cette étable.
Je tiens à dire que cette exploitation agricole nous a impressionnés par sa tenue exceptionnelle, les soins donnés aux bêtes, la propreté extrême, et l'entretien méticuleux de son matériel.
Nicolas et Arnaud Chauve sont passionnés par leur métier et ils savent communiquer cette passion !
Arnaud est d'ailleurs Président des Jeunes Agriculteurs des cantons de Châtillon sur Seine-Laignes-Montigny sur Aube, il a été une des chevilles ouvrières de la fête de l'Agriculture sur les terrains de la Barotte en 2013.
Arnaud Chauve et Victor Matrat de Prusly ont présenté le bilan de cette fête et l'évolution de l'agriculture en Côte d'Or, lors d'une Assemblée Générale du Crédit Agricole, voici le lien :
Quelques poules et moutons complètent l'exploitation, mais seulement pour la consommation familiale.
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UTRILLO et ST VORLES
En 2009, Marie-Françoise Dody m'avait signalé être en possession d'un tableau (peut-être une copie ?? mais peut-être un vrai ??) de l'église Saint Vorles peinte par Utrillo.
Voici le lien de l'article :
http://www.christaldesaintmarc.com/saint-vorles-vue-par-utrillo-a503856
Or ces jours-ci j'ai reçu un mail de Michel Serex, me parlant de deux toiles d'Utrillo représentant notre belle église.
Voici ce qu'il me dit :
Durant des années , plusieurs châtillonnais dont je fais partie, ont tenté de trouver une œuvre d' UTRILLO représentant ST VORLES. En vain.
Mes recherches et celles de mes amis quant au dossier Francis CARCO , dont nous évoquerons la vie, lors des prochaines journées du Patrimoine (en septembre), m'ont conduit à creuser un peu plus le sujet.
La rencontre avec un passionné du quartier MONTMARTRE à Paris aux connaissances infinies, et de surcroît châtillonnais d'adoption, fut décisive, je pus voir deux reproductions lesquelles pouvaient évoquer ST VORLES, sans pour autant être authentifiées .
La piste était bonne, j'en avertissais la Conservatrice du Musée du Châtillonnais, la quête commençait.
Assez rapidement la localisation d'une première œuvre, dont la représentation pouvait correspondre à ST VORLES, fut déterminante .
C'est ainsi que « L'Eglise de Châtillon sur Seine »est apparue dans une vente aux enchères en 2003, dans la succession de Mme ALBOUY-MOORE,sous le marteau de Me LIBERT, commissaire priseur, et authentifiée par lettre de la femme d'Utrillo, comme une œuvre de 1942.
Nous ne connaissons pas l'acquéreur.
Mais la mythologie châtillonnaise faisait état d'un second tableau,.
Parfois la chance est de notre côté.
Je savais que cette toile avait été présentée dans une revue de la Compagnie Générale Transatlantique .
En « voguant » sur le net,je suis tombé sur un site où « L'Eglise de Châtillon sur Seine sous la neige »était mentionnée et même reproduite. Elle fut vendue deux fois en 1961 et 1989 chez Sotheby à Londres.
Ainsi UTRILLO avait peint deux toiles,de deux époques différentes -dont la trace est patente mais qui s'arrête au seuil des collectionneurs privés. Qui sait si , un jour, nous pourrons admirer ces deux œuvres ? Pour le moment présent ,les châtillonnais intéressés pourront voir deux clichés photographiques lors de l'exposition présentée par Châtillon-Scènes les 19, 20, 21 septembre.
Il nous reste maintenant à déterminer comment ce peintre rencontra CHÂTILLON sur SEINE,lui qui ne quitta pratiquement jamais la BUTTE MONTMARTRE.
(Michel SEREX)
Je remets ci-dessous la photo de l'exemplaire possédé par Marie-Françoise Dody. Michel Serex m'informe que c'est une reproduction numérotée, par photographie, datée et localisée, il sera intéressant pour lui de chercher l'œuvre originale.
La signature vue de près :
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Par Christaldesaintmarc dans -La fête des sports de l'OMS de Châtillon sur Seine le 18 Septembre 2014 à 06:00
La Fête des Sports 2014 à Châtillon sur Seine a été organisée en partenariat avec la Ville, l'Office Municipal des Sports et la société Mc Donald's.
Cette dernière a organisé un "McDo Kids Sport" sur le Cours l'Abbé, une initiative qui a remporté un immense succès.
Daniel Guillaume était l'animateur de la journée. Il a déjà donné la parole à André Reynaud, franchisé Mac Donald, qui dirige le "MacDo" sur l'Actipôle de Châtillon sur Seine.
André Reynaud a présenté l'opération "McDo Kids Sport" qui offre la possibilité aux enfants, âgés de 5 à 12 ans, de s'initier gratuitement aux différents sports olympiques.
Les enfants, dans le "village McDo Kids Sport" pourront pratiquer l'athlétisme, le handball, le judo, le vélo, des multisports et du judo.
Hubert Brigand s'est dit ravi de ce partenariat avec l'enseigne McDonald's. En effet, la ville de Châtillon sur Seine, depuis l'an dernier, offre, à la rentrée, un "Pass Sport" gratuit aux enfants de 5 à 12 ans. Ces derniers ne savent pas toujours quel sport choisir...Le village McDo Kids Sport leur permettra d'avoir une idée plus précise de chaque activité proposée et d'en retenir une qui leur plaira.
Tous les clubs sportifs de Châtillon sur Seine avaient un stand sur le Cours l'Abbé, Hubert Brigand les a tous rencontrés.
Les Archers de la Fontaine des Ducs :
Un jeune champion au tir à l'arc !
La Truite Châtillonnaise :
L'Aéroclub :
Le Tennis Club :
Le Basket Ball :
La Foulée Châtillonnaise :
Le club Cyclotouriste :
Les cavaliers :
Le Football :
Le Handball et la Gymnastique :
Le Model Club :
La Musculation :
La Natation :
Le rugby :
Le Vélo Club :
La boxe :
Le Tir :
L'UCCF :
Le stand de l'Office Municipal des Sports :
On pouvait se restaurer et se rafraîchir grâce aux bénévoles toujours présents.
Et voici maintenant le village sportif McDo Kids Sport :
Les enfants devaient s'inscrire gratuitement pour participer à toutes les activités.
Avant de commencer un sport, il faut toujours s'échauffer....
Mais s'échauffer avec le clown Ronald McDonald c'est encore bien mieux !
Avant de faire du vélo il faut mettre un casque....
Un relais avec passage de témoins...
On pouvait s'essayer au tennis...
au handball...
au judo...
au tennis de table...
Un coin de détente bienvenu...
A l'entrée du Cours l'Abbé un mur d'escalade avait été installé.
L'escalade était entièrement sécurisée.
Un très beau château gonflable permettait aux enfants de se défouler...
Pierre Magès a réalisé une superbe vidéo...
La voici :
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